Du baume au cœur pour le Colonel Jacques Hogard et le Capitaine Paul Barril
Il est des nouvelles qui passent inaperçues ou sont volontairement passées à la trappe voir censurées, tellement elles dérangent la conscience de ceux qui ont pêché par manque d’analyse, de réflexion ou de discernement, à moins que ceux-ci ne faisaient que répondre à une stratégie émanant directement d’un certain Protocole de Toronto.
La longue enquête menée par la BBC, média dominant s’il en est, a fait l’effet d’une bombe médiatique exceptée en France, révélée par la voix de la journaliste Jane Corbin confirme en tous points que les massacres qui auraient été perpétrés par les Hutus sur les Tutsis étaient et sont une vaste imposture dans la présentation des faits, et pour reprendre le titre du canadien Bernard Desgagné, « La propagande des médias menteurs est complètement démolie », (dont l’article ci-joint).
http://www.vigile.net/La-BBC-confirme-la-macabre
Dans cette fuite en avant pour cacher la vérité, Paul Kagamé a ‘’fait suicider’’ ou liquider nombres de témoins gênant de son entourage proche, cependant quelques uns avaient in extremis eu le temps de témoigner avant leur mort, mais ici les preuves à charge sont apportées en complément par des anciens du FPR traqués par le tyrannicide Kagamé.
photo réglée par Africa International
L’union sacrée en 1996 entre le Président Paul KAGAMÉ et Binyamin NETANYAHU à Yad Vaschem
Cette minutieuse quête pour qu’enfin la vérité voit le jour, fait suite à plus de vingt années de mensonges et de calomnies, taxant les Hutus d’actes de génocide, ainsi que des défoulements diffamatoires à l’encontre de l’Armée Française, propos qui avaient déshonoré tout particulièrement le Colonel Jacques Hogard et le Capitaine Paul Barril qui ont été salis et accusés à tort des pires ignominies voir de complicité de génocide.
Dès les événements de 1994, en tant qu’ancien propriétaire du magazine Africa International, selon les faits et nos informations de l’époque, rapportés entre autres par notre spécialiste de la région des Grands Lacs, Jerzy Bednarek n’ont fait que suivre notre ligne éditoriale, nous avons toujours dénoncé l’affabulation et les mensonges du « Tutsi-Power » de Paul Kagamé, mensonges repris et suivis en boucle par la presque totalité de la Presse, et j’insiste à nouveau lourdement ici, ‘’mensonges relayés par la quasi intégralité de la Presse sur la couverture des faits et massacres au Rwanda’’ dont la diabolique rhétorique perdure encore aujourd’hui, alors que celle-ci est un règlement de compte dont les Hutus furent et sont encore les victimes et non l’inverse, d’un génocide qui deux décennies plus tard perdure encore et toujours.
Aujourd’hui, vingt ans après le déclenchement du drame, les massacres ont fait plus de six millions de morts, le génocide continue et Paul Kagamé égal à lui-même est invariablement au pouvoir, à qui profite le crime, cherchez l’erreur…?
Je me suis permis de joindre en annexe un texte que j’avais rédigé l’année dernière lorsqu’ayant appris que le capitaine Paul Barril était poursuivi et accusé de complicité de génocide, or, le connaissant très bien, je n’avais pas pu laisser passer sans réagir ces propos diffamatoires dont il était affublé.
Mon texte avait été repris sur le site de madame Nicole Guihaumé, celle-ci avait retrouvé un additif que j’avais rédigé en 2010 de mon exil Canadien faisant état d’une décision des enquêteurs de l’ONU qui déjà à cette époque remettait les pendules à l’heure et aurait dû mettre un terme au calvaire vécu entre autres par le Colonel Jacques Hogard et le capitaine Paul Barril, c’était sans compter avec le lobby des faussaires.
Aujourd’hui, à la lumière des révélations de la BBC, celles-ci sont une réhabilitation pour ceux qui ont été injustement salis et dont la vie a été brisée par la tournure de tous ces mensonges et fausses accusations dont la planche de salut pour nombreux survivants aura été l’exil, sans oublier les familles endeuillées de l’équipage de l’avion présidentiel du Falcon 50, dont le cas n’a apparemment pas ému grand monde.
Alors que tant de journalistes d’investigations, pour ne citer que Jerzy Bednarek, Bernard Lugan, Pierre Péan ou les travaux de Robin Philpot avaient depuis longtemps apporté tous les éléments de preuve de la falsification des faits dans la responsabilité chronologique de ce génocide, il est choquant de constater que ceux qui ont œuvré pour que la vérité puisse voir le jour aient été trainés dans la boue et soient taxés de révisionnistes voir de négationnistes, ces faits ont d’étranges similitudes avec une certaine coloration que Paul Kagamé a revendiqué, d’un business démontré, et démonté pièce par pièce par Norman Finkelstein de l’exploitation des souffrances que l’on veut à tout prix faire rentrer de force dans le mental des peuples au grand dam de la vérité, car dans cette course aux génocides… les falsificateurs de l’histoire auront livrés ignominieusement en pâture les sacrifiés Jacques Hogard et Paul Barril.
Dans cette réécriture de ce drame, les spécialistes de l’investigation exposeront leurs masses de preuves, mais la justice devra statuer sur le pourquoi et les raisons qui ont poussé le président Nicolas Sarkôzy de s’octroyer le droit d’interférer dans ce dossier et de démettre le juge Jean-Louis Brugière dont le travail avait été remarquable. Plus que jamais se pose le grave problème de la dissociation des pouvoirs pour une justice indépendante, honnête et libérée des réseaux et loges, comme en ont fait foi de récentes affaires où des jugements iniques et anticonstitutionnels ont été rendus par le Conseil d’Etat. Faut-il avoir été soi-même victime de dénis de justice pour en comprendre l’effroyable gravité de ces situations pour nos libertés, qui chaque jour passant font craindre le pire pour nos droits de « sans dents » et l’avenir de la République.
En conclusion, il est affligeant que la somme de ces preuves flagrantes aient été dévoyées de la sorte, la tournure de prestidigitation donnée à cette funeste tragédie par le juge Marc Trévidic sur ce dossier devait semble t-il cadrer au mieux des intérêts supérieurs des Protocoles de la caste de ce Nouvel Ordre Mondial. La BBC a parlé !
« Blessent mon cœur d’une langueur monotone ». Paul Verlaine
Christian Sébenne
H.S
Alerte! On sait maintenant ce qui trouble les eaux Suédoises:
Effrayant!
http://observers.france24.com/files/obs_article_images/403973_3173821723972_117409638_n.jpg
L’article de l’ancien ministre Canadien Richard Le Hir intitulé « Un embarras Total », passe en revu les assassinats ciblés dans le domaine du pétrole par les USA et confirme que le président Juvénal Habyarimana et son homologue du Burundi le président Cyprien Ntaryamira ont bel et bien été exécutés par les Etats-Unis et leurs officines, confirmant ainsi l’enquête de la BBC.
Notamment, un journaliste d’enquête américain réputé, Wayne Madsen, ancien officier de la marine américaine et spécialiste des questions de sécurité nationale, invité à plusieurs reprises à témoigner en tant qu’expert par la Chambre des représentants aux États-Unis, le Tribunal pénal international pour le Rwanda, et une commission judiciaire française sur le terrorisme, passait récemment en revue les cas où les États-Unis avaient délibérément orchestré des accidents aériens pour se débarrasser de personnalités politiques gênantes, et encore tout récemment d’Eduardo Campos, le colistier de Dilma Rousseff lors de la dernière campagne présidentielle au Brésil.
Sa liste des victimes des États-Unis est un véritable « Who’s who » de la politique internationale et nationale des États-Unis des soixante dernières années. On y retrouve en effet les noms de Dag Hammarskjold, secrétaire général des Nations Unies dans les années 1960, Juvénal Habyarimana, président du Rwanda, Cyprien Ntaryamira, président du Burundi, en 1994, Francisco sá Carneiro, premier ministre du Portugal, en 1980, Muhammad Zia Ul-Haq, président du Pakistan, en 1988, Sanjay Gandhi, candidat au poste de premier ministre de l’Inde, en 1980, et même des personnalités américaines comme Walter Reuther, président du très puissant (et très redouté par la droite) syndicat des Travailleurs unis de l’automobile, en 1970, l’ancien sénateur du Texas John Tower qui avait à plusieurs reprises osé défier l’extrême droite du parti Républicain, en 1991, et Paul Wellstone, senateur du Minnesota, coupable du même délit de lèse-extrême-droite, en 2002.
Selon Madsen, tous ces « accidents » d’avion portaient la signature d’au moins une des seize agences états-uniennes de renseignement, et visaient à éliminer des personnalités dont les agissements menaçaient les fondements de l’Empire Américain.
Un article paru il y a quelques jours sur le site WikiStrike prétend en outre que les Russes en seraient arrivés à conclusion que Christophe de Margerie aurait été assassiné par la CIA. En effet, leur agence de renseignement, le FSB, aurait (…)
http://www.vigile.net/Un-embarras-TOTAL