On a prouvé que 5 maladies répondent mieux au cannabis qu’aux médicaments prescrits

Les labos pharmaceutiques et la médecine en général ne parviennent pas à tout soigner, les meilleurs réponses ne sont pas toujours médicamenteuses, même si pour nombre de problèmes, cela peut aider, incontestablement.

Et en plus de tous les “remèdes de bonne-femme”, des astuces de grand-mères, des méthodes d’antan, il y a le cannabis, le vrai, pas celui que vous pouvez trouver pas cher avec on-ne-sait quel mélange dedans, non, le véritable cannabis qui agirait mieux que les médicaments dédiés sur 5 maladies. Cela implique que les états se doivent vraiment de modifier les lois en place quand aux cannabis thérapeutique, et uniquement thérapeutique! Le cône juste pour passer un bon moment est un tout autre sujet.

Cannabis thérapeutique

Le cannabis le fait si bien, que peu de médicaments peuvent rivaliser avec son niveau d’efficacité qui ne provoque aucun effet secondaire. Il s’agit seulement de 5 maladies qui se sont révélées mieux répondre au cannabis qu’aux médicaments, cependant, il existe de nombreuses études menées aujourd’hui qui pourraient en révéler des dizaines d’autres.
De nombreux chercheurs ont noté qu’il y avait des données « insuffisantes » depuis des décennies pour déterminer si fumer du cannabis était sûr ou efficace dans le traitement des symptômes de douleur et pour prévenir les maladies. La principale raison du manque de données était liée au National Institute on Drug Abuse, ou NIDA, qui était la seule source de cannabis pour les recherches et ils bloquaient les études les plus sérieuses en raison des liens étroits avec les laboratoires pharmaceutiques.

Ce point de vue était soutenu par le Dr David Bearman, vice-président exécutif de la Société des cliniciens de cannabis. « Une partie du problème aux États-Unis est que la NIDA a bloqué presque toutes les études sérieuses sur le cannabis», a déclaré Bearman. Bearman soutient que même si les pilules de cannabis synthétique soulagent la douleur, le cannabis est moins cher, a peu d’effets secondaires et peut être plus efficace.
Maintenant des décennies de propagande s’inversent car les scientifiques et le public sont exposés au véritable potentiel du cannabis et à sa capacité à soigner et prévenir les maladies.
On retrouve les variétés de cannabis capables de traiter les diverses conditions médicales dans les livres La Toile de Charlotte’s WebHarlequinSour Tsunami et Cannatonic.
Pensant que le cannabis a de grands effets secondaires, le juge administratif et titulaire du DEA, Francis L.Young a pris deux longues années avant de reclassifier le cannabis en 1998 :
«Presque tous les médicaments ont des effets toxiques, potentiellement mortels. La marijuana n’est pas n’a pas ces effets. Rien n’indique dans les ouvrages médicaux poussés, qu’il y ait une mortalité causée par le cannabis… En termes médicaux stricts le cannabis est beaucoup plus sûr que de nombreux aliments que nous consommons quotidiennement… Le cannabis, sous sa forme naturelle, est l’une des substances thérapeutiques actives les plus sûres qu’on connaisse.

On a prouvé que 5 maladies répondent mieux au cannabis qu’aux médicaments prescrits

1. Cancer

Les cannabinoïdes, les composants actifs du cannabis, inhibent  la croissance des tumeurs et tuent également les cellules cancéreuses. Le tétrahydrocannabinol (THC), le principal composant psychoactif (ou cannabinoïde) de la plante de cannabis, vise les récepteurs de cannabinoïdes qui jouent un rôle très semblable aux endocannabinnoïdes, qui sont les cannabinoïdes produits naturellement dans le corps et activent ces récepteurs.
Les chercheurs ont maintenant trouvé que le cannabidiol a la capacité de «désactiver» le gène responsable de la métastase dans une forme agressive de cancer. Surtout, cette substance ne produit pas les propriétés psychoactives de la plante de cannabis.
Une équipe espagnole, dirigée par le Dr Manuel Guzmon,, voulait voir s’ils pouvaient empêcher une forme de cancer (globalistome multiforme) de se développer en coupant son approvisionnement en sang. Le globalistome multiforme est l’un des cancers les plus difficiles à traiter : il répond rarement à une intervention médicale, en particulier aux méthodes classiques qui empoisonnent et détruisent principalement les cellules comme la radiothérapie, la chimiothérapie et la chirurgie.
Les gènes associés à la croissance des vaisseaux sanguins dans les tumeurs par la production d’un produit chimique appelé facteur de croissance de l’endothélium vasculaire (VEGF) réduisent leur activité lorsqu’ils sont exposés à des cannabinoïdes.
Les cannabinoïdes stoppent la production de VEGF en produisant de la céramide.
Le Dr Manuel Guzmon a testé une solution à base de cannabinoïdes sur des patients qui avaient un glioblastome multiforme et n’avaient pas répondu à la chimiothérapie, la radiothérapie ou à la chirurgie. Les scientifiques ont prélevé des échantillons avant et après le traitement à base de cannabinoïdes, celui-ci a été administré directement dans la tumeur.
Étonnamment, les deux patients ont eu une réduction des niveaux de VEGF dans la tumeur à la suite d’un traitement à base de cannabinoïdes.
Une étude publiée dans l’édition de juillet 2002 de la revue médicale Blood, qui a constaté que le THC et d’autres cannabinoïdes avaient produit « une mort cellulaire programmée » dans différentes variétés de leucémie humaine et des lignées cellulaires de lymphome, détruisant ainsi les cellules cancéreuses tout en laissant les cellules saines intactes.
Une étude a publié dans une édition de 1975 du Journal de l’Institut national du cancer, qui a montré que le THC a ralenti la croissance du cancer du poumon, du cancer du sein et la leucémie virale chez les rats.
Intitulée Activité antinéoplasique des cannabinoïdes, cette étude a été financée par l’institut national de la santé des Etats-Unis, et réalisée par des chercheurs de la Medical College of Virginia. Malgré les résultats prometteurs, aucune autre recherche n’a été effectuée, et l’étude a pratiquement disparu des ouvrages scientifiques.
Selon un document d’une étude de 1994, le THC pourrait protéger contre les cancers malins et cela aurait été dissimulé par le gouvernement américain. L’étude de 2 millions de dollars financée par le ministère de la Santé et des Services Sociaux des Etats-Unis, a cherché à démontrer que de fortes doses de THC provoquaient le cancer chez les rats.
Au lieu de cela, les chercheurs ont constaté que de très fortes doses de THC avaient un effet positif, en fait elles ralentissaient la croissance des cancers de l’estomac. Les rats ayant reçu du THC ont vécu plus longtemps que ceux qui n’en ont pas eu.
L’étude n’a pas été publiée et les résultats ont été cachés pendant près de trois ans, jusqu’à ce qu’on les divulgue enfin en 1997. (CC#17, du THC pour les tumeurs)

2. Fibromyalgie

De plus en plus de patients atteints de fibromyalgie trouvent que le cannabis les soulage.
Voici les résultats d’un  récent sondage en ligne sur plus de 1300 sujets mené par The National Pain Foundation et NationalPainReport.com. Parmi les personnes interrogées, 379 ont déclaré avoir consommé du cannabis thérapeutique. Soixante-deux pour cent d’entre eux ont évalué que la substance était « très efficace » dans le traitement de leur maladie.
En comparaison, parmi les patients atteints de fibromyalgie qui avaient utilisé de la Duloxétine, seulement huit pour cent ont évalué le médicament comme « très efficace », et soixante pour cent ont déclaré qu’il « ne faisait aucun effet ». Parmi ceux qui avait utilisé de la Prégabaline, dix pour cent ont dit que le médicament était « très efficace », contre soixante-et-un pour cent qui n’ont noté aucun soulagement.
Commentant les résultats de l’enquête , le Dr Mark Ware, professeur agrégé en médecine familiale et en anesthésie à l’Université McGill à Montréal, a déclaré au rapport national de la douleur, « Nous avons désespérément besoin de quelqu’un pour renforcer et explorer ce potentiel pour l’efficacité du cannabis.»
Ware, dont la recherche clinique a démontré l’efficacité par inhalation chez les sujets souffrant de douleurs réfractaires difficiles à traiter, a ajouté : « Les arguments scientifiques sont là. Il y a quelque premiers essais cliniques préliminaires pour prouver l’efficacité du cannabis. Maintenant, votre étude ajoute un poids supplémentaire, les patients rapportent que le cannabis pourrait être plus efficace que les thérapies existantes. Je pense que cela devrait inciter les chercheurs à examiner de près les essais cliniques pour les explorer de manière vraiment plus détaillée. »
Certains chercheurs l’ont déjà fait.
Source et article dans son intégralité sur Infolibre via Fawkes News

 

Benji

5 Commentaires

  1. Guérison d’un bébé atteint d’une tumeur au cerveau grâce à l’huile de Cannabis.

    http://www.chaos-controle.com/archives/2014/03/01/29334962.html

  2. Fumer ou ingérer ?

    Fumer n’a rien à voir avec une pratique médicamenteuse, c’est nocif quoiqu’on fume.

  3. Je fume un joint depuis 20ans (1 par jours) …
    Je peux vous dire que le médecin ne me voit pas souvent.

    Est ce lié ?? Aucune idée.
    (Pour les détracteurs, j’ai une vie de famille et professionnelle a temps plein).

    @ tjrsaucourant, la fumée des véhicules est aussi nocive, comme celle des usines, les adjuvants des vaccins aussi, les “additifs” alimentaires aussi sont nocifs, bref TOUT est nocif de nos jours donc a choisir …

    • et si demain tu renverses quelqu’un au volant de ta voiture et que cette personne soit grâvement blessée et que la police te test positif au canabis et ben tu peux dire au revoir à ton job, ta famille………etc

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