[Mise à Jour] Ebola: la réponse internationale est “dangereusement inadaptée”….

Mise à jour: Article ajouté [MàJ2] Témoignage;

Il n’y a aucun remède contre ce virus, la situation est critique pour les pays touchés, et la réponse internationale est “dangereusement inadaptée” nous dit une coordinatrice de MSF. Soyons “naïfs” et posons deux questions qui, si elles restent sans réponses satisfaisantes, auront au moins le mérite d’avoir été posées. Y a t-il un risque avec le rapatriement de malades, dans les hôpitaux occidentaux? Nous savons que l’Italie est débordée, par les flux de migrants venant d’Afrique, et dont il est très difficile de savoir de quelle région ils sont originaires, ce pourrait ils qu’un porteur du virus, puissent contaminer les passagers et par là même, que le virus se propage dans nos pays? Qui va bien pouvoir nous répondre?………

Ebola_virus_virion  La réponse internationale au virus Ebola qui sévit dans l’ouest de l’Afrique est “dangereusement inadaptée”, affirme la coordinatrice d’urgence de Médecins sans frontières (MSF) en Sierra Leone. L’épidémie “est devenue incontrôlable depuis plusieurs mois”, selon elle.

“La communauté sanitaire internationale a mis trop de temps à réagir”, écrit l’infirmière coordinatrice Anja Wolz dans le “New England Journal of Medicine”.

L’épidémie de fièvre hémorragique Ebola s’est déclarée au début de l’année en Guinée avant de gagner le Libéria, la Sierra Leone et le Nigeria. La maladie provoquée par le virus se manifeste par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées. Son taux de mortalité est très important et il n’existe pas de vaccin homologué.

Système d’alerte en cause

 

Depuis le début de l’année, le virus a fait près de 1500 morts, selon un dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dont 392 en Sierra Leone. Au total, plus de 2615 cas ont été recensés.

Les principaux problèmes résident dans l’incapacité de recenser toutes les personnes ayant pu se trouver en contact avec des malades infectés, note la coordinatrice de MSF.

Un système d’alerte grâce auquel une équipe d’enquête et une ambulance sont envoyées dans n’importe quel village en cas de mort ou de cas suspect “ne fonctionne pas correctement”, regrette-t-elle. Le ministère de la Santé sierra-léonais ne dispose de toute façon que de quatre ambulances pour un district de 470’000 habitants.

Cas pas répertoriés

“Chaque jour, il y a des morts certainement dus à Ebola, mais ces cas ne sont pas répertoriés par le ministère de la santé, car la cause de la mort n’a pas été confirmée par un test en laboratoire”, souligne-t-elle. Elle décrit un système de surveillance “inefficace”.

“Le monde n’a jamais vu une épidémie d’Ebola comme celle-ci. Par conséquent, non seulement les bilans sont élevés, mais nous savons qu’il y a beaucoup plus de cas que ceux diagnostiqués ou signalés”, a pour sa part déclaré à Monrovia le directeur des centres fédéraux américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), Tom Frieden.

En mission au Libéria depuis plusieurs jours, il a ajouté que la situation allait continuer à empirer à court terme.

Source Romandie/News

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 Un rajout avec un article très instructif du site Santenatureinnovation.com, merci à Alain pour l’info et le lien.

Alors que le journal Le Monde parle quotidiennement de « ravages » et de « catastrophe », la réalité est que l’épidémie de virus Ebola reste d’ampleur très modeste.

La presse parle de 1229 morts entre mars et août 2014 sur l’ensemble de l’Afrique, et encore ce chiffre n’est-il pas exact.

Si vous vous rendez sur la page du site de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) traitant du sujet, vous vous rendez compte qu’il y a en fait 788 décès formellement identifiés comme causés par le virus Ebola. Les autres sont des cas « suspects » ou « probables ». [1]

Ce sont bien sûr 788 morts de trop, mais il faut comparer aux 1,2 MILLION de morts causés annuellement par le paludisme [2], ou aux 2000 morts causés annuellement en France par la grippe saisonnière. [3]

Très peu de contagion

Les images de soignants portant des masques et des combinaisons intégrales pour s’approcher des malades suspectés sont insensées et dignes d’un mauvais film de science-fiction.

Car le virus Ebola ne se transmet absolument pas si facilement :

« Il faut un contact direct avec un liquide biologique comme le sang, les selles, les vomissures. Il n’y a aucune transmission par voie aérienne. C’est-à-dire que, lorsqu’une personne parle ou tousse, elle ne répand pas le virus Ebola dans l’air ambiant. » explique le Pr Bruno Marchou, chef de service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital de Purpan, à Toulouse. [4]

Autrement dit, le virus Ebola est comparable au SIDA pour son mode de propagation. Il faut vraiment être au contact du sang ou du liquide biologique du malade pour risquer soi-même d’être contaminé.

Cela veut dire, toujours selon le Pr Bruno Marchou, que le virus Ebola :

« n’atteindra pas le stade pandémique. À Conakry (capitale de la république de Guinée), ils avaient initialement plusieurs dizaines de cas parmi le personnel hospitalier. Ils ont réussi, en appliquant des mesures d’hygiène standard simples, à endiguer la propagation du virus parmi leur personnel. »

Ces mesures d’hygiène n’ont rien de sorcier : « Quand on s’occupe d’un patient, on se couvre les mains avec des gants. Si le patient vomit, il faut aussi se couvrir le visage. C’est le b.a-ba. On fait ça tous les jours. » continue-t-il.

«La mort dans 20 à 90 % des cas »

Sandrine Cabu, de Médecins Sans Frontières, interrogée par Le Monde, explique que le virus Ebola entraîne « la mort dans 20 à 90 % des cas ».

Pourquoi une fourchette aussi absurdement large ?

Parce que le virus Ebola est surtout dangereux quand il est mal soigné. Les personnes meurent de déshydratation ou d’hémorragies mais le traitement consiste alors simplement à hydrater ou à transfuser le patient, pas à lui donner un vaccin ni un hypothétique médicament. Il ne faut pas croire ce que prétend l’industrie pharmaceutique qui aimerait pouvoir vendre aux gouvernements une poudre de perlimpinpin comme elle l’avait fait pour le Tamiflu.

« Les nouveaux médicaments ne sont pas la solution contre Ebola », selon un expert en maladies infectieuses

La solution contre l’épidémie consiste à respecter des mesures simples et de bon sens : hygiène, bonne nutrition, vitamine D, vitamine C.

Selon Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses des Etats-Unis, l’outil le plus efficace contre Ebola est de prodiguer les soins de base aux malades.

« La véritable priorité devrait être de créer des infrastructures médicales dans les pays touchés pour fournir aux malades le soutien médical de base comme l’hydratation et la transfusion sanguine. Cela aura un beaucoup plus gros effet sur la santé que la distribution au hasard de quelques médicaments expérimentaux. » [5]

Selon Thomas E. Levy, auteur d’un article récent sur les remèdes potentiels contre le virus Ebola [6] :

« Jusqu’à présent, il n’y a pas un seul virus testé qui n’ait pas été inactivé par une certaine dose de vitamine C. Un des moyens prioritaires pour détruire le virus, ou programmer sa destruction par le système immunitaire, est d’activer la “réaction de Fenton”. En un mot, cette réaction peut se produire à l’intérieur du virus, dans les cellules où les virus se répliquent et à la surface des virus eux-mêmes. »

Il n’y a donc aucune raison de suspecter le virus Ebola de se transformer brutalement en une pandémie à l’échelle de l’Afrique, et encore moins dans le reste du monde.

Mais il n’y aucun doute que cette psychose peut servir les intérêts financiers de quelques-uns.

Semer la panique : un business très lucratif

La panique autour du virus Ebola rappelle évidemment la grippe aviaire de 2005 et la grippe porcine (H1N1) de 2009.

Ces deux « pandémies imminentes » ont été l’occasion de manipuler grossièrement les opinions publiques pour justifier la vaccination en masse des populations, qui s’est révélée entraîner de terribles effets secondaires, dont la narcolepsie, un très grave trouble du sommeil. [7]

En 2009, l’Organisation Mondiale de la Santé a prédit qu’un tiers de la population mondiale pourrait être touchée par la grippe H1N1, avec des effets incalculables. La ministre de la Santé Roselyne Bachelot n’avait alors pas hésité à commander 94 millions de vaccins ! Les Français n’ayant été que 6 millions à se faire vacciner, Mme Bachelot avait, dès le mois de janvier 2010, annulé auprès des laboratoires pharmaceutiques la livraison de 50 millions de doses et fait verser par l’Etat en dédommagement près de 48 millions d’euros aux laboratoires. [8]

Quant au fameux médicament antiviral « miracle », le Tamiflu, son effet réel n’est que de réduire la durée des symptômes de moins d’une journée, sans limiter d’aucune façon les hospitalisations. Une étude britannique a conclu que la distribution de Tamiflu contre la grippe H1N1 a eu pour seul effet de… gaspiller 500 millions de Livres sterling.

En effet, la saison de grippe 2009 se révéla finalement moins grave que d’habitude, malgré la présence de la souche H1N1. De plus, de nombreux prétendus cas de grippe H1N1 se révélèrent ne même pas être des grippes mais de simples rhumes, ce qui n’est pas sans rappeler ce cas de virus Ebola à Berlin qui s’est finalement révélé être… une gastro. [9]

Jouer avec le feu

Toutefois, les titres excessifs martelés par la presse sont à mon avis très dangereux :

« Une épidémie absolument pas sous contrôle, sans précédent », Médecins Sans Frontières, le 30 juillet 2014. [10] [11]

« Le virus Ebola continue de dévaster l’Afrique de l’Ouest », Le Monde, 15 août 2014. [12]

« L’OMS décrète une urgence de santé publique de niveau mondial », France 24, le 20 août 2014. [13]

Cette psychose est en train de semer la pagaille en Afrique, où des gouvernements sont ni plus ni moins en train de fermer les frontières, mobiliser les armées pour réprimer les populations, et même isoler sans raison des dizaines de milliers de malheureux, hommes, femmes, vieillards et enfants mis en quarantaine dans un bidonville du Libéria, sans nourriture ni eau.

Source et article dans son intégralité: Santenatureinnovation.com

Ci dessous le témoignage de Jardinfleuri en direct de Dakar

TÉMOIGNAGE

« D’un côté ce monsieur à raison. D’un autre non. Je ne suis pas normande, mais je pense qu’il faut rester prudent.
J’habite à Dakar. Un premier cas vient officiellement d’être déclaré, mais je reste persuadée, qu’il y en a déjà eu d’autres, sachant qu’il y a une frontière commune avec la Guinée et que les frontières sont des passoires.
Il est vrai qu’Ebola, heureusement, n’est pas aussi contagieux qu’une grippe. Par ailleurs, le taux de mortalité, comme la grippe espagnole de 1918, dépend de l’état de santé de la population.

Or il se trouve que la population africaine, hélas, n’est pas aussi bien portante qu’en Europe, et une grande partie de la population est en état de malnutrition.

Donc, c’est sûr, en Europe, je pense qu’il n’y a pas grand chose à craindre, d’autant que le fonctionnement des plans pandémiques sont relativement bien maîtrisés.

Là où il a raison, c’est que les labo pharmaceutiques profitent de l’aubaine pour vendre des traitements à prix d’or à nos états.

Mais j’ai bien peur qu’ici, cela ne fasse quelques ravages. Les plans pandémiques, et bien, y en a pas. J’ai pris l’avion dernièrement, et ni à Roissy ni ici, je n’ai vu de mesures de prévention.

Pour être honnête, c’est plutôt le bordel. Les personnels de santé se barrent des centres, et les gardes frontières se barrent aussi tellement ils ont la trouille. Il faut dire qu’ici tous les jours des messages passent à la télé ou à la radio pour prévenir des risques, ce qui, finalement, ne fait qu’empirer les choses, car beaucoup ne comprennent pas bien ce qu’il se passe. La fermeture des frontières, c’est une douce rigolade.

Un autre facteur que l’auteur ne prend pas ou peu en compte, c’est le côté irrationnel de l’Afrique. Entre les croyances spirituelles et l’ignorance des populations, on voit tout et n’importe quoi comme comportement. Ici à Dakar, monte une haine contre les guinéens, et je ne serai pas surprise que certains soient lynchés.

Ce monsieur a un regard très européen sur cette épidémie, mais quand on vit ici, on peut s’attendre à tout. Cela n’empêchera pas les gens de pratiquer leurs rites funéraires (je ne préfère pas vous raconter comment ça se passe) et donc, de continuer à transmettre le virus.

Pour ceux qui ont eu quelques cours d ‘épidémiologie, plus un virus se transmet, plus il a des chances de muter, et de devenir plus dangereux.
Si par ailleurs, on surfe sur la vague de l’idée qu’il y a trop de monde sur terre…

En résumé, je ne suis pas très inquiète pour les pays occidentaux, qui ont les moyens de combattre ce virus, je suis hélas, plus pessimiste en ce qui concerne mes amis africains.

Pour finir, il faut savoir raison garder. Pour ma part, j’ai fait des stocks d’eau potable et j’ai de quoi manger, au cas où le quartier serait en quarantaine. Après, je suis en bonne santé, j’ai des huiles essentielles de cannelle et de tee tree, de l’ail, du thym et des clous de girofles. Donc, restons sereins. »

Merci Leila !

Source: Témoignage laissé par Jardinfleuri chez nos amis lesBrinsdherbe

Volti

17 Commentaires

  1. La FDA interdit la promotion de remèdes contre l’Ebola sur internet

    http://www.brujitafr.fr/article-la-fda-interdit-la-promotion-de-remedes-contre-l-ebola-sur-interne-124404193.html

    Ce serait une catastrophe pour l’industrie pharmaceutique si l’argent colloïdal s’avérait efficace contre l’Ebola.

  2. 21 jours d’incubation environ comme disait France Info qui c’est déplacé à Roissy pour observer comme se passe l’arrivée d’un avion en provenance de Guinée et bah résultat il se passe rien du tout les gens rentrent chez eux tranquillement… Aucune information communiquée, nada, rien… On risque d’avoir quelque surprise en septembre…

  3. Indispensable mise au point !

  4. Soyez-en sûrs, Ebola est une manipulation.

    L’OMS de la Fondation Rockefeller ne se presse pas. Elle fait mijoter l’affaire. Elle bat en neige la sauce pour alimenter la peur.

    Je ne sais pas exactement comment ils s’y prennent pour contaminer les gens, certainement des gens sous-alimentés ou mal alimentés, avec, ce qui est le plus probable, une toxine chimique, car je ne pense pas qu’un micro-organisme puisse engendrer les dégâts du soi-disant « virus ebola ».

    Les symptômes d’ebola sont ceux du scorbut en phase terminale. Dans ce cas, le manque de vitamine C empêche l’organisme de former le collagène nécessaire à la cohésion de ses tissus. Alors, des hémorragies se déclarent partout, à l’intérieur du corps comme à l’extérieur, et la mort s’ensuit.

    J’ai déjà écrit plus tôt que la fièvre a un but intelligent. Elle « brûle » les micro-organismes indésirables et oxyde les toxines. Cela engendre des radicaux libres qu’il faut absolument neutraliser. La vitamine C est le principal nutriment dont se sert justement l’organisme pour neutraliser les radicaux libres.

    • Le garçon qui criait au loup !
      d’après Esope…

      Pas de loup, pas de loup, … On finira par ne plus y croire… Mais le loup, le grand méchant loup sous son péplos noir… un jour viendra ?

    • Très bien vu pour ce qui est de la parenté avec le scorbut; j’ajouterai que l’un des meilleurs remèdes naturels connus contre cette maladie est la consommation de… choux, la meilleur panacée selon Caton l’ancien, un alicament remarquable méprisé par nos cultures occidentalisées (=américanisées), et très riche en vitamine C. Cf le chapitre que le docteur Valnet lui consacre dans “se soigner par les légumes, les fruits et les céréales”.

      Pour ce qui est du collagène, @Pierre L, que penses-tu du bouillon d’os? Choux (et donc sa version lacto-fermentée, la choucroute -bio) + bouillon d’os= prophylaxie de l’ebola?

  5. Connaissant le machiavelisme de nos illuminés… j’ aurai tendance à dire: Une intox de plus pour nous faire accepter…Dieu sait quoi.

  6. Des nouvelles de moin en moin réjuissante et une météo exécrable, je vous propose un petit momment de tendresse et de gros calin entre homme et animaux très très spéciaux avec cette vidéo intitulé: Amitié entre l’homme et l’animal

    http://www.youtube.com/watch?v=mHrCN8ukbpU

  7. .
    Ebola : le mensonge généralisé

    Alors que le journal Le Monde parle quotidiennement de « ravages » et de « catastrophe », la réalité est que l’épidémie de virus Ebola reste d’ampleur modeste.

    La presse parle de 1229 morts entre mars et août 2014 sur l’ensemble de l’Afrique, et encore ce chiffre n’est-il pas exact.

    Si vous vous rendez sur la page du site de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) traitant du sujet, vous vous rendez compte qu’il y a en fait 788 décès formellement identifiés comme causés par le virus Ebola. Les autres sont des cas « suspects » ou « probables ». [1]

    Ce sont bien sûr 788 morts de trop, mais il faut comparer aux 1,2 MILLION de morts causés annuellement par le paludisme [2], ou aux 2000 morts causés annuellement en France par la grippe saisonnière. [3]

    Très peu de contagion

    Les images de soignants portant des masques et des combinaisons intégrales pour s’approcher des malades suspectés sont insensées et dignes d’un mauvais film de science-fiction.

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    Ebola : le mensonge généralisé

    http://www.santenatureinnovation.com/ebola-le-mensonge-generalise/

  8. J’ai discuté avec MSF sur facebook, car je fais une thèse en rapport avec les ONG.

    Et je me suis rendu compte qu’ils en ont bien rien à foutre des commentaires qu’on peut leur laisser sur les traitements alternatifs et sur la prévention, au lieu de courir après ce que lui dicte les laboratoires qui la finance…

  9. Dans la mesure ou les US ont breveté le virus Ebola et ont même cherché le moyen de le modifier génétiquement c’est qu’il comptent en faire quelque chose:

    http://www.google.com/patents/US20120251502

    Pour l’instant, c’est un outil de peur mais ultérieurement je pense qu’il servira d’outil de contrôle sur les populations, ce qui se passe dans les pays d’Afrique touchés par Ebola est très symptomatique.

    Ils ont tout fait pour que l’épidémie se propage au niveau international, l’histoire semble d’ailleurs confirmer que le virus a été relaché volontairement en Sierra Leone et que des habitants sont tombés malades à l’hopital de Kenema.

    Surtout, si un jour votre gouvernement vous incitait ou vous obligeait à vous vacciner…réflechissez à deux fois. Leur vaccin risque d’être plus dangereux que le risque réel de tomber malade d’Ebola.

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