Publicité Aoste: appel à la resistance et à la gastronomie

Depuis quelques temps, une publicité inonde les écrans de télévision, une publicité pour la marque Aoste qui nous parle de révolution et de gastronomie, publicité que je me devais de dénoncer un coup quand même, histoire que les personnes sachant réellement ce qu’il y a derrière…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=hnEhZYh6K2I[/youtube]

A voir les protagonistes, on se demande réellement à qui se spot s’adresse réellement… Pas aux bénéficiaires du RSA qui auront du mal à s’identifier à cette bande de nantis, le souci n’est pas vraiment là, la publicité déclenche la polémique justement à cause du jambon mangé par “des blancs”, cette publicité étant maintenant considérée comme identitaire, limite raciste, faisant appel à des valeurs franco-françaises telle que la révolution, chant du patriote à la clé.

Cette publicité reste pourtant trompeuse puisque si avec De Gaulle, “un français parle aux français”, avec Aoste, c’est un chinois qui s’adresse à nous. Annoncé fin mai, un obscur fonds d’investissement chinois du nom de Shuanghui a expliqué qu’il rachetait le groupe américain Smithfield Foods, un groupe propriétaire de la marque Aoste mais également des marques Justin Bridou et Cochonou.

Reconnaissons une chose, avec Justin Bridou, ils cachaient à peine le message véhiculé…

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x11wwjw_pub-justin-bridou-2013-hq_creation[/dailymotion]

Ne vous laissez pas avoir par les publicités surtout lorsqu’elles font appel à des valeurs nationales, quand aux américains et aux chinois, ils sont plutôt mal placés pour nous parler de gastronomie et de qualité de la nourriture…

 

Benji

38 Commentaires

  1. Ahaha marrant !

    Au vu de certaines réaction manger du porc dans un média grand public va devenir un acte de résistance.

    • bonsoir,il y a aussi barilla qui met les pieds dans le plat,le lobbys LGBT n’est pas content,il n’est pas representé dans les pubs barilla,MDR

      a quand des cotas d’employés lgbt dans les entreprises?
      je precise que je n’ai aucune animosité envers eux.

  2. Ils nous prennent vraiment pour des jambons …. Ok je sors ! MDR !

    Asca, Le Lapin Blanc.

  3. Le jambon Aoste (village d’Isère) dont on parle ici n’est pas le jambon d’Aoste (vallée italienne). Il y a déjà tromperie sur la marchandise si on veut parler gastronomie.

  4. Comment perdre 2 minutes et 24 secondes de sa vie.

  5. et pour votre santé mangez au moins 5 fruits et légumes par jour … ‘fin des légumes et des fruits quoi !!! mais le jambon c’est dur de la vallée … 🙂

  6. C’est quoi cette pub de M….???

    MDR ! Comment on peut faire un spot de plus de 2mn sans talent, sans gout et sans créativité…

    Plus débile et perte e temps je vois pas.

    Sinon… si vous voulez mangez du bon jambon…. allez en Italie (et pas Aoste… ou cette m… industrielle est fabriqué)… chez les producteurs locaux, ou bien pres de chez vous.

  7. La publicité est dangereuse, elle doit être bazardée

  8. Tout cet argent, cette énergie gaspillée à la production de cette pub est hallucinant.
    Imaginez le prix que doivent payer ses producteurs pour faire diffuser ces 2mn30 d’une absurdité totale…

    Et cela ne m’a pas donné envie de jambon du tout. Bon peut etre parce qu’il est 9h du mat aussi 🙂

    Mais pour qu’ils investissent des sommes pareilles, ils savent très bien l’effet pervers des pubs sur le cerveau des consommateurs non avertis…

  9. Tout ça pour cette saloperie industrielle avec produits chimiques et toute la souffrance de l’élevage, du transport et de l’abattage à l’intérieur…
    Non merci, préfère être vulgaire et faire souffrir le moins possible …

    Cette pub paraît révolutionnaire et identitaire… Si ça pouvait être le vrai message mais je n’en crois rien…
    C’est simplement pour faire du fric !

    De toutes façons à qui voulez-vous qu’ils s’adressent pour vendre du porc? Aux maghrébins?

    • Oui j’avoue que je ne comprend pas.
      La pub serait interdite si c’était des maghrébins qui mangeaient du jambon, provocation, incitation à la haine, et j’en passe. Même si les pubs m’indiffèrent complètement, à qui voulez vous qu’ils s’adressent?

  10. http://www.veganpower.fr/2009/04/29/temoignage-de-2-ans-en-bts-productions-animales/

    Témoignage de 2 ans en BTS Productions animales
    Voici l’enfer des cochons :

    http://productions-animales.e-monsite.com/rubrique,les-cochons,849.html

    Le pire arrive !

    Après les vaches et les moutons, je pensais être blindée… Mais non, l’horreur continue !
    Je devais réaliser un stage de 15 jours dans une porcherie…
    Pas la peine de rêver, les porcs ne vivent pas à l’extérieur !

    L’exploitation comptait 650 truies reproductrices et 5 verrats (enfermés dans des enclos de 5m2)Les 650 truies faisaient entre 5 à 19 porcelets par portée et cela tous les 6 mois.
    3 mois en salle d’insémination, bloquées entre 2 barres en fer, ne pouvant ni reculer, ni avancer, ni se tourner, seulement s’asseoir, se coucher et se lever. La mangeoire devant, la fosse à purin derrière.
    Le sol ? Des grilles !
    Si les excréments ne passent pas au travers, tant pis, la truie se couche dessus.
    Il faut attendre que les truies viennent en chaleur puis elles sont inséminées trois fois, pendant 3 jours de suite, puis attendent 1 mois avant de se faire échographier. Si elles sont pleines, elles vont en salle de gestation, sinon elles se refont inséminées. Seulement 2 chances pour elles de tomber enceinte, ensuite c’est direction l’abattoir car on a pas de temps à perdre avec des truies improductives. Pour les faire venir en chaleur, les porchers font passer un verrat devant elles, dans des couloirs si étroits que les verrats ont du mal à se retourner.

    Bien sûr ils se prennent des coups de barres en fer lorsqu’ils refusent d’avancer ou de reculer dans ce couloir.

    Pour l’insémination, c’est bien simple, le porcher fait monter le verrat sur un bout de plastique, puis le masturbe (si si !) et récolte la semence dans un thermo qui maintient le liquide au chaud. Ensuite la semence est diluée puis séparée en 30 doses (donc 10 truies). Le sperme est mis ensuite dans des sondes spéciales qui seront par la suite enfoncées dans le vagin des truies. Les sondes restent dans leur vagin jusqu’à faire fondre l’embout de cire qui fermait les sondes. Le sperme est alors libéré de la sonde et peut s’écouler dans leur vagin. Cela peut durer une demi-heure, une demi-heure avec un tube plastique dans le vagin… certaines se couchent et le cassent, d’autres se l’enfoncent très profondément, d’autres la font tomber dans la fosse à purin (et donc une sonde de foutue, une « chance » en moins pour elles de tomber enceinte…)

    Une fois pleine, si cela arrive, elles sont envoyées en salle de gestation (par un système de couloirs) pour 3 mois 3 semaines et 3 jours !
    Elles sont parquées à 6 ou 8 dans des boxes où elles ont la place de se tourner, de faire quelques pas, mais les boxes sont quand même trop étroits car elles se battent et se font des blessures très profondes.
    Le sol est une grille qui leur fait aussi des blessures aux pattes.

    J’ai assisté à une matinée « prise de sang »… Le porcher leur prend le groin à l’aide d’une corde (système soi-disant fait pour immobiliser l’animal).
    Plus les truies tirent, plus la corde se serrent autour de leur groin, elles se mettent à hurler (bouchez vous les oreilles), le vétérinaire se place alors sous elle, et fait la prise de sang sous le cou, dans la grosse veine (combien de loupés ????)
    Une fois leur gestation à terme, elles sont envoyés (toujours par le même système de couloirs) dans les salles de mises bas ou maternité.

    Elles sont une par une dans des sortes de cages en fer, même genre de système qu’en salle d’insémination, sauf que là, il y a un petit espace pour les porcelets.Là il faut déclencher les mises bas, à l’aide de piqûres d’hormones.Les truies hurlent dès qu’elles voient les seringues, il faut donc faire très vite sinon il est impossible de rester dans la salle tellement le bruit des hurlements est insoutenable.

    Ensuite elles sont piquées régulièrement avec différents produits, anti ceci, anti cela.
    Lorsque les petits naissent… (passage le plus choquant), ils sont triés, les petits avec les petits, les moyens avec les moyens, les gros avec les gros.
    Au final les truies allaitent des petits qui ne sont pas les leurs, sauf celles qui s’y refusent et qui tuent et déchiquètent les porcelets étrangers (sympa comme vision, des bouts de bébés cochons)

    Inutile de dire que ces truies là ne sont pas gardées !
    Une fois, une portée était née, j’étais en extase devant ces petites choses, le porcher m’avait demandé de veiller à ce que tous les porcelets arrivent à boire…
    Voilà deux heures que je tenais dans mes mains le plus petit de la portée, tellement petit qu’il n’atteignait pas les tétines, si petit, si mignon, plein de vitalité et la force de vivre, il s’était presque endormi dans mes mains lorsque le porcher a débarqué pour voir la portée.

    Je me suis enlevée de l’enclos, il s’est approché, il a dit « ça c’est trop petit », puis il a pris le petit porcelet par les pattes de derrière, et la frapper d’un coup contre le sol. Le bruit du « PAF » résonne encore dans mes oreilles.
    Lorsqu’il a vu mes larmes couler, il s’est tout de même excusé et m’a dit que la prochaine fois il me préviendrait avant, de manière à ce que je puisse avoir le temps de me retourner…
    Le corps sans vie du petit bébé est resté là, par terre devant l’enclos…
    Au fil des jours, les corps se sont multipliés devant les enclos car chaque matin, on avait pour mission de ramasser les porcelets qui avaient été écrasés par les truies pendant la nuit.
    Si les pauvres avaient le malheur de passer sous les truies pendant qu’elles mangeaient et de s’endormir sous leurs pattes… ils étaient étouffés par la truie lorsqu’elles se recouchait d’un coup d’un seul.
    Les cris des porcelets ne faisaient pas relever les truies, aussi bizarre que cela puisse paraître.
    Il est arrivé qu’on arrive à en « sauver » en arrivant à temps en entendant les hurlements, mais bien souvent, on retrouvait des porcelets bien bleus, avec les marques des grilles sur le corps.

    Vient ensuite la journée des fameux «soins aux porcelets»!
    Quelle jolie façon d’appeler ce pure moment de souffrance…
    Un petit chariot, 4 côtés, 4 soins ! Un côté tatouage, un côté vaccin, un côté meulage des dents et un côté coupe des queues ! Au milieu un panier en plastique dans lequel on mettait les porcelets de 3 jours. Inutile de dire que je n’ai pratiqué que les vaccins…
    L’appareil servant à tatouer ? Deux plaques métalliques qui se superposent, une sans rien, une avec des pointes représentant des chiffres, une pédale, qui quand on l’actionne serre les deux plaques l’une contre l’autre. On place le porcelet la tête vers le bas, une oreille entre les deux plaques, on met de l’encre sur les piques, on appuie sur la pédale et là «crac!» le bruit de la chair qui se craquelle, les piques qui restent coincés dans l’oreille des porcelets, il faut tirer pour que ça se décoince. Et c’est pas fini, on fait la 2ème oreille.
    Pour les dents, un bruit de roulette chez le dentiste « dzzzzzzzzzzzzzzzzzz », il faut limer les canines des porcelets car la nature les a fait comme ça mais l’homme veut révolutionner ça ! « ils blessent les mamelles des truies et après elles ne se laissent plus têter » (…) comme si les truies étaient faites pour avoir 19 porcelets alors qu’elles ne sont dotées que de 14 mamelles, et comme si dans la nature cela importait que la truie laisse mourir les plus faibles…

    Je vous laisse imaginez… vous faire limer les dents… et encore quand elles ne sont pas coupées à la pince ! Auquel cas, elles sont cassées 1 fois sur 2, ce qui provoque d’énormes infections…

    Pour ce qui est de la queue : il y a un petit embout métallique représentant une sorte de C chauffé à 400°C (le fer devient rouge). On place la queue du petit porcelet sur le fer chauffé, jusqu’à ce que la queue soit coupée… Des cris de douleurs, des petits corps qui se tordent et qui hurlent pour s’échapper de leur bourreau, imaginez vous faire couper un membre de cette manière, brûler à vif jusqu’à ce que les os fondent et se détachent.

    J’ai encore une fois refusé de faire et de voir le massacre… « ça dure pas longtemps » était l’argument premier… seulement je peux vous dire que cela devait durer bien 6-7 secondes, et que 6-7 secondes comme ça, c’est très très long. Je me suis brûlée par accident avec l’embout, la peau de mon bras est restée même pas la moitié d’une demi seconde sur le fer bouillant, une douleur pire que de l’huile bouillante, j’ai eu la marque en forme de C pendant 1 an sur la peau (cloque énorme, peau qui s’en va, peau rose, peau marron).
    Je ne veux même pas imaginer la douleur de ces bébés.
    Sans parler du fait qu’une fois leur queue coupée, ils ne prennent même pas soin de les poser délicatement sur leurs 4 pattes mais les balance, ce qui signifie qu’ils se retrouvent sur les fesses, à l’endroit où ils viennent de se faire bruler vifs…
    Si on nous coupait un doigt de cette manière, je ne pense pas que l’on apprécierait que quelqu’un nous appuie le moignon qui nous reste très fort sur la table…

    Les queues des porcelets sont donc coupées, pourquoi me direz vous ? Parce qu’ils sont parqués dans des cages bien trop petites par rapport au nombre qu’ils sont, qu’ils en deviennent fous et se bouffent entre eux. Sans parler des carences qu’ils accumulent et qui les rend cannibales. Donc pour régler ce « petit problème » l’homme a trouvé la solution simple, rapide, efficace et pas coûteuse de leur couper des membres à vifs !

    Les porcelets blessés (toujours les pattes à cause des grilles), sont marqués à l’aide d’un appareil qui leur troue littéralement l’oreille. Ils ont donc des trous en forme de triangle ou de carré dans les oreilles. Sympa !

    Ensuite arrive le 5ème jour des porcelets… Sûrement le pire si le porcelet est un mâle… Je n’ai fait que « trier » les petits, étant bien incapable de faire ce qui va suivre.

    Nous étions munis d’un casque à mettre sur les oreilles, ceux que les ouvriers utilisent lorsqu’ils se servent d’un marteau-piqueur… car les cris d’un porcelet qui se fait littéralement castrer sans anesthésie pourrait facilement faire péter un verre en cristal. Ils prennent le porcelet par les pattes de derrière, le bloque entre leurs jambes, prennent une lame de rasoir, font une incision dans les testicules du porcelet, appuient bien fort pour les faire sortir, arrachent le tout, mettent un peu de poudre sur les deux plaies et reposent le porcelet comme si de rien n’était…

    Chose très facile à faire, quand on s’est persuadé que « les animaux ne souffrent pas »…
    Sauf qu’ils souffrent sinon ils ne hurleraient pas de la sorte.

    Il y a des porcelets mâles qui échappent à ce genre de pratique car ils ont des hernies (cas où les testicules sont dans la même poche que les intestins). On ne peut pas inciser sinon les intestins sortiraient avec… Il faut être un professionnel pour le voir.

    Sauf qu’il y avait avec moi une personne en stage qui avait accepté tel un mouton de faire les castrations, et qui par mégarde avait ouvert un porcelet qui avait une hernie. On ne s’en était pas rendu compte tout de suite, seulement après quelques heures… Et là vision d’horreur… Un petit porcelet, bien vivant, assis sur ses intestins tout sanguinolent…

    Ni une, ni deux, le porcher la pris et la taper par terre. PAS LE TEMPS DE ME RETOURNER. J’ai vu cette petite chose par terre avec le crâne explosé… mais pas mort… réaction « Il n’est pas mort !!!!! ». Réaction du porcher : un énorme coup de pied sur le crâne « Maintenant il l’est !».
    J’ai cru que je m’évanouissais.

    Les porcelets sont séparés de leur mère à 28 jours en moyenne (certains seulement 21) puis sont envoyés dans des camions chez des engraisseurs.

    Les truies retournent inlassablement en salle d’insémination à peine les porcelets partis.
    Et le cycle recommence !

    Les causes de réformes des truies (réforme = abattoir) sont les suivantes :
    -pas assez productives (moins de 8 porcelets),
    -pas assez maternelle (mange, écrase ses petits),
    -problèmes de pieds (pas étonnant vu qu’elles sont sur des grilles),
    -trop vieille (= 4 ans ) (merci pour les loyaux services), -« méchante » (certaines mordent, foncent dans les gens, défoncent les cages),
    -pas assez fertiles.

    Une chose qui m’a profondément marqué aussi : les animaux n’ont pas d’eau à leur disposition.
    Un système distribue automatiquement la nourriture sous forme de soupe à heure précise. Un coup la soupe, un coup l’eau, sauf que les mangeoires ne sont pas nettoyées, ce qui fait que lorsque l’eau arrive, elle est mélangée au reste de soupe, donc ce n’est pas de l’eau pure, celle qui désaltère quand on a soif.

    De plus, si les truies ont soif à 13h, elles doivent attendre par exemple jusqu’à 17h avant que la ration ne soit distribuée.
    Il n’y a rien de pire que de ne pas pouvoir boire lorsqu’on a soif.

    Pendant 15 jours j’ai donc assisté à ces mutilations et à ces aberrations.
    J’ai passé mon temps à faire des piqûres pour soulager les animaux qui avaient des problèmes de pieds (dieu seul sait qu’il y en avait) à surveiller les nouveaux nés, à parler aux truies, en les regardant dans les yeux et en pleurant, parce qu’il n’y a rien de plus expressif qu’un regard de cochon…

    Contre l’enfer des truies :
    http://www.e-activist.com/ea-campaign/action.handleViewInBrowser.do?ea.campaigner.email=Uac80D3Zd2%2Fs3Fda6bVzfnX03zbSQtbI&broadcastId=32907&templateId=24006

    • l’enfer existe !! c’est l’holocauste animal … et nous sommes (les humains) responsables donc … il n’y a pas de surprises aux difficultés de notre existence … quand la conscience est ouverte

      • C’est Auchwitz chaque jour pour les animaux des élevages intensifs…

        Faut que ça se sache!

        Avec un karma pareil, il faut que l’espèce humaine s’attende au pire… il serait temps de se rendre compte que tout va se payer!

        On est en train de nous présenter la note et la majorité des humains n’a pas encore fait le lien entre les choses…
        Au contraire, la somme de souffrances engendrées par les humains ne fait qu’augmenter de façon exponentielle…

        Les quelques-uns qui sonnent l’alarme étant pris pour des illuminés… Help!

    • Ce témoignage déchire le cœur… même quand on sait déjà…

      Comment peut-on pardonner -ça- et surtout ceux qui le font.

  11. à Itsmie
    voila pourquoi je suis devenu végétarien

  12. Végétarienne et fier de l’ètre, j’aime pas les gens qui se gavent de viande et de charcuterie, ces tous des criminels

  13. Merci beaucoup pour ce témoignage vécu !
    Bouffer la bidoche, c’est se faire complice de ce genre d’abomination !
    Surtout dans ce système à flux tendu où tout coûte, tout doit aller au plus vite, au plus productif. Plus aucun temps de soigner la relation… l’humain en oublie sa propre âme… qui le relie à tout ce qui vit autour de lui : Pachamama !

    • +1

      Les sans âmes sont aujourd’hui beaucoup trop nombreux pour moi…

      • Oui…

        Je me demande parfois si tout les hommes de cette planète sont vraiment des humains…

        Ou bien, si certains ne sont pas juste des enveloppes habitées par autre chose… ce sont ceux-là les “sans âme”.

        Ce n’est pas possible!
        L’humain ce n’est pas ça!

        J’ai déjà eu l’impression de me trouver face à autre chose qu’un humain… indéfinissable!

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