1.000 à 1.500 euros: le coût mensuel de la trithérapie d’un malade du SIDA

Un petit article parlant du SIDA a été publié dévoilant le cout de la trithérapie pour ceux qui ne connaitraient pas le montant de celui-ci: entre 1000 et 1500 euros, intégralement remboursés par la sécurité sociale en France. Mais le meilleur reste à venir, surtout en fin d’article…

Copyright Reuters

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En France, les patients sont intégralement remboursés pour les soins médicaux engendrés par leur affection. Mais à travers le monde, sur les 34 millions de personnes touchées par le SIDA, 8 millions n’ont toujours pas accès aux traitements.
sic…

Selon les derniers chiffres publiés dans un rapport de l’entité dédiée au SIDA de l’ONU (ONUSIDA), en 2011, 34 millions de personnes vivaient avec le VIH dans le monde, dont 150 000 personnes en France et parmi elles, 40 000 l’ignoraient. « Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH », rappelle le Sidaction dans un communiqué.

Risque de précarité

Ces traitements ont évidemment un coût : « entre 1000 et 1.500 euros par mois rien que pour les médicaments pour une trithérapie dans un pays occidental », estime Emilie Roué, chargée de prévention chez Solidarité Sida. Ce à quoi il faut ajouter le coût du suivi chez un médecin et des analyses sanguines régulières. Heureusement pour les patients, en France, ces soins sont intégralement remboursés par la Sécurité sociale, au titre d’une ALD (Affection longue durée).

2,4 millions de d’euros récoltés par Solidarité Sida

Afin de financer la recherche et notamment d’essayer de trouver des traitements moins onéreux, et plus faciles à supporter pour les patients, des dizaines d’associations se mobilisent à travers le monde. En France, outre le Sidaction, des associations comme AIDES et Solidarité Sida – qui organise le festival parisien Solidays en juin – mènent de nombreuses actions en ce sens. Trente-six d’entre elles se sont d’ailleurs regroupées en une Union nationale des associations de lutte contre le Sida pour plus d’efficacité. Ainsi, au total, Solidarité Sida a par exemple pu redistribuer 2,4 millions d’euros à des programmes de lutte contre le sida en 2012. Cette enveloppe a été allouée de quatre façons différentes :
– 43% au soutien à des programmes d’aide aux malades à l’international,
– 33% à des actions de prévention et des programmes d’aide aux malades en France
– 9% à des actions de mobilisation des jeunes et de plaidoyer
– 15% au suivi et à l’accompagnement de ces programmes (mission de terrain, appui technique…)

 Source et article entier: latribune.fr

Mais si on regarde bien, 110 000 personnes bénéficiant d’un traitement coutant entre 1000 et 1500 euros/mois, cela donne quand même un jackpot de 110 000 000 à 165 000 000 d’euros/mois rien que pour les laboratoires pharmaceutiques, sans qu’on sache réellement combien coute ce traitement à la production et donc quel est le bénéfice réel des laboratoires, et que pour la France! Sur une année nous avons un gain de 1 milliard 320 millions à 1 milliard 980 millions d’euros!

Il y a réellement de quoi se poser des questions quand aux propos du professeur Montagnier, prix Nobel de médecine et découvreur du virus du SIDA en France, il expliquait au cours d’une interview que le SIDA pouvait se soigner avec une alimentation saine:

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=bAPZnPuPuwc[/youtube]

De là à penser que cette maladie n’est finalement qu’une histoire de business et que les labos ont menti sur toute la ligne, il n’y a qu’un pas… Ils ne se sont pas gêné avec le cancer, alors pourquoi pas?

Et je ne peux qu’en terminer avec ce rappel: les 10 plus gros mensonges sur le SIDA:

Présentation de cet article

« Les 10 plus gros mensonges sur le sida » Livre écrit par le Dr Étienne De Harven et le journaliste scientifique et technique Jean-Claude Roussez. Publié en 2005 aux éditions Dangles, en France Article de Dany Quirion pour Alter Info Il est important ici de souligner que cet article est uniquement composé d’extraits intégraux tirés du livre. Plusieurs autres informations cruciales ne sont pas abordées ici et elles demeurent à découvrir dans le livre.

 

Reprenons depuis le début. 1er mensonge : Le sida est une nouvelle maladie.

Aussi bien le grand public que la majorité des professionnels de la santé sont persuadés que le sida est un phénomène épidémique apparu soudainement au début des année 80, causé par l’émergence d’un nouveau virus. Le syndrome d’immunodéficience acquise, ou sida, n’est pas à proprement parler une maladie. Un syndrome n’est qu’un ensemble de signes et de symptômes survenant simultanément chez le patient, qui se caractérise par une forte diminution, voire un effondrement, des défenses immunitaires. Depuis longtemps les deux principales causes d’immunodéficience acquise étaient parfaitement connues et documentées : – la malnutrition; – l’usage de substances dangereuses pour le système immunitaire (drogue, certains médicaments, sang transfusé).

 

2e mensonge : Il existe un virus du sida : le VIH

Lorsque l’on prend le temps (et il en faut beaucoup) de consulter la littérature scientifique relative au virus proprement dit, on est frappé par le fait qu’aucune de ces investigations n’a jamais réussi à mettre directement en évidence la présence de la moindre particule virale, et en particulier pas la moindre particule rétrovirus, chez un malade du sida. […] C’est une équipe de l’Institut Pasteur dirigée par Luc Montagnier qui a la première annoncée la découverte d’une activité virale, en 1983, à partir de prélèvements effectués sur un malade du sida. L’année suivante, l’équipe de Robert Gallo, aux États-Unis, fit une annonce similaire. On s’apercevra par la suite que Gallo avait quelque peu fraudé en utilisant pour sa « découverte » un échantillon que Luc Montagnier lui avait généreusement offerte quelques mois auparavant. Il arriva la même mésaventure à Robin Weiss, le grand spécialiste britannique du sida, qui fut obligé de reconnaître que sa propre découverte du virus résultait du fait qu’il avait, lui aussi, reçu un échantillon de la culture de Luc Montagnier. On peut ainsi constater que, de part et d’autre de l’Atlantique, les trois équipes les plus en pointe sur le sujet, n’ont réussi à annoncer qu’une très vague présomption à partir de cultures cellulaires issues d’un même patient! Il n’y a d’ailleurs dans toute la littérature médicale pas un seul article dans lequel on pourrait trouver la conclusion selon laquelle un tel rétrovirus a été isolé, et que ce virus est la cause du sida.

 

3e mensonge : Le VIH est la cause du sida

Revenons au début des années 80. Les premiers cas de sida ont été détectés aux États-Unis au sein de la communauté homosexuelle et chez les toxicomanes par voie intraveineuse. Il est nécessaire de préciser que ce n’est pas le fait d’être homosexuel qui constitue un facteur de risque vis-à-vis du sida. Seul le style de vie de certains homosexuels masculins est de nature à provoquer une immunodéficience. […] Différentes drogues circulaient abondamment (cannabis, cocaïne, amphétamines, LSD, barbituriques, héroïne…), mais les vedettes incontestées étaient les « poppers », petites fioles contenant du nitrite d’amyle, un puissant vasodilatateur possédant des vertus apparemment aphrodisiaques. À l’origine, ce produit était un médicament utilisé comme dilatateur coronarien dans le traitement des crises d’angine de poitrine. La communauté homosexuelle détourna les nitrites de leur usage thérapeutique pour en faire leur stupéfiant le plus prisé, et cela dès les années 60. […] Dès qu’ils sont dans le sang, les nitrites se transforment en oxyde nitrique et endommagent les parois internes des vaisseaux sanguins, ce qui explique leur implication dans un cancer des capillaires : le sarcome de Kaposi. Bien qu’interdits, les poppers ont continué jusqu’à aujourd’hui à être disponible, que ce soit en empruntant des noms innocents comme « nettoyant pour cuir », ou bien en plein jour, par exemple dans les sex-shops. Le phénomène s’est même aggravé par la suite puisqu’ils ont été adoptés par certains hétérosexuels en quête de performances. Malgré l’évidence que l’usage des poppers était associé à la majorité des cas de sida chez les homosexuels, aux États-Unis, certains médias appuyés par les organismes de santé publique diffusèrent dès 1983 auprès de la communauté gay des informations disculpant totalement les nitrites. Cette attitude peut être qualifié de criminelle. Il a fallu attendre 1994 pour que Robert Gallo, « co-découvreur » du « VIH » et (riche) promoteur du premier test de dépistage, admette lors d’une conférence du NIDA (National institute on drug abuse) que le sarcome de Kaposi, maladie typique de la communauté homosexuelle, ne pouvait être causé par un virus mais que les poppers devaient en être la principale cause. Cet aveu tardif n’a absolument rien changé à l’attitude officielle. [Ce chapitre contient d’autres informations sur les toxicomanes, les hémophiles, les mal-nourris, etc.]

 

4e mensonge : Les médicaments antiviraux sont bénéfiques

En 1987, apparut le premier médicament antiviral prétendument spécifique au sida : l’AZT. L’azidothymidine, ou AZT, fut découverte dès 1964 et proposée en vue d’une utilisation dans les thérapies anticancéreuses. Ses effets dévastateurs (et systématiquement mortels chez les souris de laboratoire!) ont suscité un rejet catégorique de la part des autorités chargées de l’accréditation des nouveaux médicaments anticancéreux. Autres temps autres mœurs : le besoin de fournir aux malades du sida une thérapie […] on accorda de toute urgence l’autorisation surprenante de mettre sur le marché l’AZT, malgré sa très haute toxicité. – Les autres antiviraux : Chacun possède son propre système d’effet génétique mais le principe est tours le même.

 

5e mensonge : La séropositivité est un signe d’infection par le VIH

Ce mensonge est certainement le plus inique de tous ceux qui sont dénoncés dans cet ouvrage, car il a permis de faire croire à des millions de personnes qu’elles étaient malades et contagieuses. […] Le test de type « Western Blot » est utilisé pour confirmer une séropositivité lorsque celle-ci a été détectée par un ou deux tests de type « Elisa ». C’est donc un test considéré comme plus fiable. Un test Western Blot comprend dix bandes alignées correspondant aux dix protéines que l’on a définies comme étant typiquement et exclusivement relatives au « VIH ». L’harmonisation internationale des diagnostics étant inexistante, on peut être déclaré séropositif dans certains pays lorsque seulement deux bandes ont réagi. Dans certaines contrées, il en faut trois. Dans d’autres, quatre bandes sont nécessaires. On voit donc que selon le pays où l’on réside, le même sérum, analysé dans des conditions identiques, peut fabriquer un séropositif ou un séronégatif, au gré de la législation en vigueur. Mais il y a plus intéressant encore. Puisque les dix protéines utilisées dans les tests sont annoncées comme typiques du « VIH », on peut se poser les deux questions suivantes, totalement à l’opposé l’une de l’autre : – Pourquoi deux à quatre bandes sont-elles nécessaires alors qu’une seule devrait être suffisante pour diagnostiquer la présence du virus? – Pourquoi seulement deux à quatre bandes sont-elles nécessaires alors que la présence du virus devrait impliquer obligatoirement la présence des dix protéines qui lui sont attribuées, donc la réaction de toutes les dix bandes du test? […] Cela dit, il faut signaler que ces tests inspirent si peu confiance qu’aux États-Unis, la FDA (Food and drug administration) n’a apportée sa caution à aucun d’entre eux. […] Il est important de rappeler que, faute de standard internationale, on peut être classé séropositif ou séronégatif selon le pays où l’on réside. Sur les dix bandes de test que compte le Western Blot, il suffit d’en avoir deux qui soient jugées « positives » pour être déclaré infecté en Afrique. Il en faudra trois en Grande-Bretagne et quatre en Australie. Il y a plus grave. Les tests sont si peu spécifiques que les fabricants eux-mêmes annoncent que leurs tests ne peuvent servir à affirmer ou infirmer la présence du « VIH ». Ils signalent également qu’il y a de nombreuses sources possibles de faux-positifs, en tout une soixantaine. […] – La charge virale Le concept de « charge virale » a été introduit aux USA par le docteur David Ho, par ailleurs promoteur des multithérapies, espérant ainsi fournir une explication au fait que personne ne trouvait de « VIH » directement chez aucun patient. Le médiatique personnage (élu « homme de l’année 1996 » par Time Magasine) proposa alors que le virus savait se rendre indétectable mais qu’on pouvait néanmoins le mettre en évidence grâce à la technique PCR (polymerase chain reaction), qui est un procédé de multiplication de l’ADN. En 1997, David Ho et ses collaborateurs traitèrent un groupe de vingt patients avec une bithérapie associant AZT et inhibiteur de protéase. Dès le début du traitement, la fameuse « charge virale » de ces patients était tombée à un niveau indétectable et y est restée. Ce résultat fut présenté comme l’évidence que la bithérapie prescrite était efficace. Selon les scientifiques orthodoxes eux-mêmes, au moins 99,8% des particules mesurées par le test de charge virale ne sont pas infectieuses! D’où viennent-elles? De « VIH » mal assemblés, bons pour le rebut? Le problème, c’est que ces virus boiteux, tout comme ceux qui sont présents comme virulents, n’ont jamais été vus au microscope électronique. Pourtant, avec la quantité importante de particules que l’on prétend trouver, il n’y aurait rien de plus facile. […] Mieux encore : l’inventeur de la technique PCR [PCR le test de la charge virale], Karry Mullis (qui a obtenu le prix Nobel de chimie en 1993 pour cette invention) tient pour frauduleuse l’utilisation de son procédé dans la recherche de la « charge virale ». Ce scientifique authentique et incontestable se heurte pourtant à un mur. On étouffe ses propos contestataires, bien que sa démonstration soit brillante et documentée. Trop d’intérêts et de carrières sont en jeu.

 

6e mensonge : Le sida est contagieux

Toutes les maladies vénériennes (syphilis, blennorragie, herpès génital ou anal …), dès qu’elles ont été sexuellement transmises, provoquent une infection dont les symptômes sont évidents au bout de quelques jours, et cela sans faire de distinction entre les individus. – Le sida des homosexuels Les cinq premiers cas de sida furent observés et décrits à Los Angeles, en 1981. L’auteur du premier rapport sur ces cinq cas initiaux, Michael Gottlieb, avait clairement indiqué que ces cinq patients étaient homosexuels, et faisaient tous usage de nitrite d’amyle (poppers). En outre, il indiquait que ces cinq malades ne s’étaient jamais rencontrés et n’auraient donc pas pu se contaminer l’un l’autre. Qu’est-ce qui a bien pu faire penser à Michael Gottlieb qu’il venait de découvrir une nouvelle maladie infectieuse? Rien ne permet de répondre à cette question, et le mystère reste entier. Une parabole aidera à mieux saisir l’importance de la question : imaginons qu’un médecin ait pour mission de surveiller la santé d’une centaine d’ouvriers travaillant tous dans une usine de colorants. C’est une vieille usine, mal ventilée, et où l’on manipule une abondance de sels de plomb. Après quelques années, le médecin identifie une dizaine de cas de saturnisme parmi ces ouvriers. Va-t-il en conclure que le saturnisme est une maladie contagieuse parce que les malades travaillaient tous dans la même usine? Ou va-t-il conclure que ses patients ont tous été exposés au même risque toxique et ont par conséquent tous développé la même maladie? La réponse est trop évidente… Comment expliquer que le docteur Gottlieb n’ait pas raisonné de la même façon, et n’ait pas immédiatement compris que ses cinq patients avaient tous été exposés aux mêmes drogues toxiques, et par conséquent avaient tous développé la même pathologie?
Article complet sur Alterinfo

57 Commentaires

  1. Surtout que le virus du sida si il existe n a jamais été isolé,tout ceci est une vaste mascarade.

  2. Vous y allez un peu fort là!
    Je trouve que cet article discrédite le blog.

    C’est pas sérieux du tout.

    • peut etre mais il faudra nous le prouver

    • le SIDA est pourtant une supercherie faudra vous y faire l’homme n’a pas marchés sur la lune non plus, nous ne somme pas en démocratie, l’industrie pharmaceutique crée plus de malade qu’elle n’en soigne et les aliments l’air l’eau sont empoisonné, les guerres ont été provoqué et financé par des banquiers avide de pouvoir qui contrôlent et asservissent l’humanité… oui c’est dure de réaliser dans quel monde on vit mais c’est comme ça

      • Vous me faites rire..

        _ Le sida une supercherie? Une réelle maladie contagieuse en tout cas.
        _ L’homme n’a pas marché sur la lune? Désolé, mais si. J’ai lu et vu tous les pseudos documentaires contre, c’est bien fait, mais c’est du vent.
        _ l’industrie pharmceutique fait plus de malade? Elle en fait clairement. Mais plus, je ne dirai pas ça. L’espérance de vie aussi d’ailleurs.
        _ pour les guerres, je suis presque d’accord. Et seulement sur les 50 dernieres années et surtout par les US.

          • Je ne pense pas décrédibiliser le blog mais lancer un débat sur la réalité ou non de cette maladie car a-t-elle réellement été prouvée au fait?
            Ce que j’aime bien, c’est qu’il y a des articles très complets sur la « conspiration » du sida, démontrant que la maladie existe et décrédibilisant les conspis comme moi! Par contre, aussi complet et détaillé que soit l’article, pas un mot pour le professeur Montagnier, rien sur un prix Nobel français qui a expliqué que la maladie se soignait très bien et que les médicaments faisaient plus de mal qu’autre chose! http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20090717.OBS4500/le-sida-creation-invention-accident.html

            De plus, pour le dépistage, si tu es séropositif dans un pays tu risques de ne pas l’être dans un autre car les contrôles ne sont pas identiques, alors, au final, s+ ou pas?

            Perso, je vois combien de personnes vivent du sida, grâce à lui, s’engraissent avec lui sur le dos des patients, et cela me suffit à me convaincre un peu plus. On en serait vraiment pas au premier gros mensonge planétaire au nom du fric avec des « complices irréfutables » comme la science ou la médecine. Et j’assume mes propos!

            • Tout ce que je sais de Big Pharma est qu’un malade à vie est une formidable manne pour eux, qu’il est PROFITable de la soigner à vie que de la guérir définitivement!!!

              Voir Les Morticoles de Léon Daudet et aussi la pièce de théâtre de Knock ou le Triomphe de la médecine par Jules Romains. Sur comment on fabrique des malades et des morts.

            • C’est cool de prendre le temps de répondre. Merci Benji.

              Mais je trouve toujours très dommage que « les moutons enragées » s’abaissent à faire un article pro-negationniste sur le Sida.
              Surtout qu’il n’y a pas de garde-fou, ou de lien vers wikipedia pour indiquer que cette théorie est réfutée par la grande majorité des scientifiques.

              C’est prendre bcp de risque et alimenter une théorie qui fait souffrir bcp de malades en France.

              Un autre lien vers un autre blog:
              http://www.charlatans.info/anti-hiv.php

          • A Tycer

            je te recommande sincèrement de regarder ces vidéos,documentaire diffusé à la Tv mais pas en France c’est un peu long mais ça vaut le coup de le regarder et d’avoir une autrevue sur ce qu’est vraiment le sida et VIH…après cela, je pense que tu comprendras mieux .Des témoignages de personnes pensant être séropositif…et pourtant….un enfant ayant fait des analyses en Roumanie qui n’était pas séropositif et puis en entrant aux états unis…l’enfant était séropositive…les parents racontent…

            House of Numbers : VIH , SIDA…. qu’est réellement le SIDA?? Document choc!

            http://lesbrindherbes.org/2013/04/08/house-of-numbers-vih-sida-quest-reellement-le-sida-document-choc/

          • tycer, je ne dis rien sur le reste mais,
            il suffit de regarder l’interview du pr Montagnier …
            découvreur, je le signal, de la supercherie !
            pourquoi il est le seul a avoir isolé le virus ?

          • Concernant le SIDA je n’en sais rien mais il vrai que ce n’est pas l’homme qui est allé sur le lune c’est Tycer et tu en es revenu avec plein de mal-sens!!!

            Tycer tape juste zone 51 sur google earth et tu verras ce que c’est qu’un paysage lunaire. La ceinture de van allen ça te parles aussi qui est située entre 700 km et 10 000 km d’altitude imbibé de radiation provenant du vent solaire et du rayonnement cosmique. Elle est franchissable en 2h montre en main dans une boîte de conserve faisant quelque millimètre d’épaisseur!!!!! Ce prendre de 2heures de radiation aller et retour et en revenir suffisamment indemme pour finir sa vie paisiblement à l’âge de 82ans…..Et la marmotte met le petit chocolat dans le papier d’alu…

            Petit scarabée avoir beaucoup chemin à faire avant d’atteindre l’illumination!

          • Pour la lune il y avait une vidéo très courte où un astronaute descend du LEM et avant la dernière marche une rampe avec 4 projecteurs se détache d’un côté et percute le LEM !
            Tout à coup plein de terriens sortent du décor pour tout remettre en ordre et refaire monter l’astronaute !
            Je ne sais pas si on peut retrouver cette vidéo marrante !

            • lol j’imagine bien la scène pitoyable …
              j’aimerai bien voir ça

              • En plus les lunériens avaient bien placé la caméra pour avoir un bon cadrage des terriens !
                De même pour le décollage le cadrage était bien fait, je ne sais pas comment les images ont été envoyée à la terre, je n’ai pas vu de parabole !

  3. Le sida n’existe pas. C’est un génocide organisé.

  4. De plus en plus d’articles et de commentaires me font penser que « l’âge d’or » de ce blog est bel et bien derrière nous. Maintenant ça ressemble plus à un repère de paranoïaques qui ne prennent AUCUN recul sur ce qu’ils lisent du moment que ça contredit la version officielle c’est considéré comme la vérité pour vous. Franchement parfois c’est vraiment aberrant. On dirait le nouveau Wikistrike…

    • tout dépend de votre faculté a assimiler des informations, savoir si elles sont juste ou non ne relève pas de votre volonté mais de la réalité,

      le mieux pour faire le trie est encore de chercher des preuves et de déduire le vrai du faux, pour se faire vous disposez d’internet alors a vous de jouer et soyez sympa quand vous aurez trouvé,
      dites nous ce qui est juste ou non :p

      • Le tri doit aussi être fait par le gérant du site.
        Là ce n’est pas le cas.

      • Je suis bien d’accord que la corruption&co s’est infiltrée partout. Je ne remet pas en cause l’objectif qu’a ce blog mais la manière dont les sujets sont traités. C’est à dire systématiquement de manière extrême, très tranché, assez énervé, etc, traduisant probablement le ras-le-bol de l’auteur quant à ce système (ce que je comprend totalement) mais cela fait perdre de la crédibilité.

        Les petites phrases par ci par là qui disent (en gros) que tout le monde est pourris, que tout le monde nous veut du mal, que nous sommes que des esclaves, que tout le système économique va s’effondrer que ça va être la guerre civile et qu’on ferait mieux de se préparer à jouer au warrior survivaliste, toutes ses phrases ne servent absolument pas la cause que défend ce blog…bien au contraire.

        Une personne qui n’est pas sensibilisée à tout ça va penser qu’elle est tombée sur un site extrémiste peuplé de paranoïaques.

        • C’est vrai qu’il faut du temps pour tout comprendre notre monde !
          Toute notre vie on a vécu sur un faux schéma qu’on nous a fait construire avec des infos manipulées !
          Il faut vraiment une forte dose d’infos qui ne cadre pas avec notre schéma de vie pour qu’on doute !
          Si notre schéma s’écroule on est destabilisé et il faut alors en reconstruire un autre pour pouvoir vivre !
          On préfère souvent se raccrocher aux infos officielles par peur de se remettre en cause !
          Oui il faut plusieurs années pour faire le tour des questions sur le fonctionnement de notre monde !
          Et il faut être assez fort pour ne plus avoir besoins de nos béquilles officielles !
          Pour voler de nos propres ailes cela demande de nous libérer des chaînes qui nous bloquent pour être libre !

          • Excusez nous d’être d’accord avec les 99% des scientifiques.

            Il faut pas « du temps » pour croire en ces théories.
            Il faut etre crédule et naif.
            Là est la nuance.

            • je doute que tu ais regardé le document que j’ai mis en lien, tu devrais vraiment y jeter un oeil, cela t’aiderai peut être à y voir plus clair.

              • Je l’ai regardé.
                Un documentaire bien foutu.
                Mais, ce n’est pas parce que c’est bien vendu que c’est vrai.
                L’écrasante majorité des scientifiques sont contre ce documentaire.

                N’oubliez pas qu’aujourd’hui des gamins ne prennent plus la capote à cause d’articles comme celui ci.
                Autant les autres histoires de complots me font marrer et m’interpellent parfois.
                Là vous jouez avec la vie de gens.

  5. Des paranos ? Mais non, des gens réalistes. Existe-t-il un domaine qui ne soit pas entaché de magouille ? Reconnaissons sincèrement que le bateau coule.

  6. A Benji
    HS
    Il était impossible d’entrer sur le site via internet explorer maxthon, firefox… .
    le problème , à priori ,venait que ton serveur a bloqué l’adresse IP .
    Badboy pense que le fait d’avoir fait plusieurs tentatives pour accéder au compte mail ( carte de localisation des ME) a dû être considéré comme une tentative d’intrusion sur le serveur et de ce fait à bloquer l’adresse IP , ce pourquoi on ne pouvait accéder au site que par « tor ».
    Après 3 jours de recherches complexes et diverses manipulations, tout y passer ou presque,Il a suffit juste d’éteindre et redémarer la live box( nouvelle adresse IP) , pour qu’ENFIN nous puissions entrer sur le site avec nos navigateurs habituels! EUREKA!!

  7. Personnellement j’ai travaillé et je travaille toujours dans le milieu de la santé. De formation médicale, et gérant maintenant des établissements de santé, et un d’entre eux prenant en charge les patients en fin de vie, je suis assez étonné de ce que je lis.
    Je veux bien prendre en compte certains faits:
    -beaucoup de choses erronées ont été dites sur cette maladie, soit par méconnaissance soit par avance de la part de certain pour faire les unes scientifiques.
    -Il y a une méconnaissance de cette pathologie même au niveau scientifique
    mais, quoi qu’il en soit:
    Cette maladie, peu importe comment on l’appelle, elle tue.
    Les moyens d’analyses ont mis en évidence une multitude de virus différents tous soit disant associés au VIH et ayant soit disant muté.
    La charge virale, si pour certains est une invention ou ne fonctionne pas, c’est assez facile à dire lorsque l’on a aucune pratique de la médecine.
    L’expérience reste selon moi la meilleure façon de se faire un avis qui ne soit ni « conspirationiste » ni bobo suiveur des discourt qui parlent de choses qu’on ne connait et ne comprend pas.

    Donc pour vous faire part de mon expérience:
    -L’état général du patient varie en fonction de la charge virale. Non pas qu’il est mieux ou moins bien, mais qu’il est moins « fragile ». On sait pertinenment qu’un patient avec une faible charge virale contracte moins de pneumopathie, moins d’infections urinaires, moins de conjonctivites, moins d’infections digestives.
    C’est un constat clinique. J’ai constaté qu’un patient dont la charge virale augmente contracte plus de maladie itinérante. C’est une réalité, donc j’y crois.
    On ne meurt pas du SIDA ou du VIH, c’est vrai, mais quelque chose tue le système immunitaire, et permet à une petite grippe associé à des candidoses, et autre, de tuer le patient avec une facilité stupéfiante.

    Mettez un séropositif sous bulle stérile et il vivra aussi longtemps que vous.

    Bref les deux extrèmes dans le jugement me paraissent innapropriés.

    Un article de ce genre n’a pas vraiment sa place ici, et les commentaires le prouve aisément.
    Vous trouverez toujours un article pour satisfaire votre position sur le sujet quel qu’elle soit, donc c’est inutile de chercher.

    Si vous voulez une vrai réponse prenez part à des associations d’aide aux patients atteints du VIIH, et allez leur raconter votre histoire. Il guériront certainement (pas)!.

    Que le traitement soit peu ou pas utile, je pense que beaucoup d’études ont été réalisées sur le sujet. Il y a certainement un niveau à partir duquel il n’est plus utile, mais les études en double aveugle ont largement mis en évidence leur effet positif.

    Après que tout soit amplifié, cela est certain.

    Olivier

  8. Pour ceux qui ne sont toujours pas convaincu, et particulièrement pour Tyler, regardez cette vidéo en entier et il ne subsistera plus aucun doute dans votre esprit :

    http://www.youtube.com/watch?v=tQCKb1JV-4A

    à la fin de la vidéo, le docteur mêle son sang à celui d’un séropositif.

  9. C’est dur de changer de paradigme…certains n’y arriveront jamais

  10. Je ne suis pas adepte de ce type de manipulation des injections de sang vih. J’ai beaucoup de mal à adhérer. Mais si tu y crois je peux te proposer de faire de même tu n’as ainsi rien à craindre, on récupère un échantillon de sang VIH et tu te l’injecte. Ca c’est une idée !!
    Personnellement Le labo qui effectue les analyses de mes patients, c’est un ami, et il ne fait pas partie des conspirationnistes. Les résultats sont pas truqués, et les gens qui meurent dans mon service , sont bel et bien morts. Et leur bilan s’est bel et bien dégradé côté charge virale et ils meurt pas du VIH bien entendu, mais de la grippe ou d’une bronchite ou d’une varicelle et j’en passe.
    Après je suis d’accord sur beaucoup de chose, les dégats des traitements du VIH, les labos pourris qui s’engraissent et font croire n’importe quoi aux praticiens, et j’en passe, le taux réel de protection des vaccins etc…
    Bref croyez ce que vous voudrez, mais de temps en temps un peu de recul ne fait pas de mal, et il faut accepter à un moment donné aussi la part de vérité que les patients vivent au quotidien, car c’est leur réalité, et ils la vivent.

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