Etats-Unis. Un virus mortel disparaît d’un laboratoire

Une fiole contenant le virus Guanarito, extrêmement dangereux, a disparu d’un laboratoire sécurisé de l’Université du Texas. Les autorités ne se l’expliquent pas mais veulent croire qu’un risque d’épidémie est limité, indiquaient hier les médias américains.

Il s’agit de “moins d’un quart de petite cuillère” d’une solution contenant le virus Guanarito, celui de la fièvre hémorragique du Venezuela. Celle-ci, cousine de la fièvre Ebola et contre laquelle il n’existe pas de vaccin, est mortelle dans un cas sur trois à cinq, selon les sources. Elle ne se transmet toutefois que rarement entre humains, mais plutôt en cas de contact avec des sécrétions de rongeurs infectés.

Pas de panique, donc, mais des questions : comment ce produit, conservé dans un congélateur fermé à clé au cœur d’un laboratoire classé P4, parmi les plus sécurisés, a-t-il pu disparaître ? Selon la direction du laboratoire, “il n’y a aucun signe de méfait” et, notamment, le système de sécurité des locaux n’a pas été forcé.

D’où une thèse, plus rassurante que celle d’un vol : la fiole se serait collée à un gant puis brisée au sol. Le virus aurait ensuite été éliminé par les procédures habituelles de nettoyage. Enfin, tout le monde l’espère.

En septembre 2012, c’est dans le parc de Yosémite, en Californie, que quelque 10.000 touristes, dont 53 familles françaises, avaient été en contact avec un virus extrêmement dangereux. Sans que cela ne découle sur une hécatombe.

Source: letelegramme.com. Merci à Niakine

Benji

16 Commentaires

  1. Bah…

    Si la belle-mère d’un laborantin décède d’une fièvre, il suffira de faire une autopsie…

  2. Un jour ils perdront une bombe atomique AVEC le mode d’emploi…

  3. Benji, pas très rassurant, ton article. La fiole est peut-être restée collée au slip du laborantin ???

  4. Flippant. Normalement, en cas de destruction accidentelle de l’échantillon, ça devrait être documenté. On parle d’un labo de niveau 4. J’espère qu’il va y avoir du sang sur les murs (si c’était moi le patron, je vous dis pas la valse …)

  5. Et comme par pur hasard, après le décès de hugo Chavez…mouais….il y a des fioles à cachées…

  6. Encore une arnaque à la “H1N1”. Il faut lire Peter Duesberg sur ce qu’il s’est passé avec le “virus” d’Ebola pour se convaincre de ce type de supercherie (sombre histoire d’utilisation de seringues souillées ayant entraîné quelques cas de spéticémies foudroyantes et non super-méchant virus térrifiant).Encore un truc pour développer quelques psychose et justifier les crédits immenses de l’industrie de l’infectiologie (Duesberg rappele que les maladies infectieuses ne représentent, aujourd’hui, plus que 1 % du total des maladies….mais l’essentiel des crédits de recherche).

    • Je ne connaissais pas ce Duesberg … En ce qui concerne le HIV, je pense qu’il y a énormément d’enfumage. Et que cette fumée serait bien pratique pour dissimuler la vérité. La théorie ci-dessous est d’autant plus crédible, qu’il y a des enjeux colossaux tant pour les scientifiques que pour “Big Pharma”.

      http://www.youtube.com/watch?v=CUQVPo1QG1w

      Pour ce qui est des histoires de crédits de recherche et des maladies infectieuses, il faut rappeler que :
      – Les maladies infectieuses sont celles qui rapportent, soit du fric, soit des armes (ou des contre-mesures) ;
      – Les agents non pathogènes ne justifient pas de recherches poussées, sinon on n’aurait jamais assez de fonds pour les étudier tous ;
      – Les bactéries génétiquement modifiées pour des applications industrielles ne rentrent pas dans le budget de la recherche médicale …
      Donc se lancer dans une querelle de chiffres me semble un peu une perte de temps, vu que le périmètre est à géométrie variable, suivant le biais que l’on prend.

      • oui, merci Maverick pour ces précisions.
        Peter Duesberg est une pointure du monde de la rétrovirologie, son ouvrage de référence, “l’invention du virus du SIDA” aux éditions Résurgence pour sa version française, préfacé par Kary Mullis (prix Nobel en 1996)est édifiant. En gros, il démonte point par point toutes les énormes incohérences de la version officielle et conclue qu’il s’agit d’une épidémie toxique (explosions des drogues récréatives à partir des années 70/80 + AZT qui était un traitement contre le cancer qui avait été abandonné, avant son “recyclage” contre le SIDA, en raison de son extrême nocivité.A lire absolument si l’on veut comprendre les dérives de la virologie.

  7. C’est la bonne qui fait le grand nettoyage de printemps, elle a briqué les cuivres et les verres et a tout viré dans l’évier!

  8. Lilith, Région Bruxelloise et le coeur au pays des Hélènes -

    Dans l’armée des 12 Singes le virus avait été voler par un employé on connais la suite………

    selon la rumeur le SIDA, Ebola H1N1 et autre virus ont été fabriquer dans des laboratoire ou transformer serait plus exacte on connais la suite…………..

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