Merck punit les hôpitaux grecs pour cause d’impayés

Après les labos Roche en septembre 2011, ce sont les labos Merck qui ne livrent plus les hôpitaux grecs! Mise à mort d’une population…

 

Manifestation contre la venue d'Angela Merkel à Athènes, le 8 octobre 2012.

 

Entre l’Allemagne et la Grèce, les relations ne sont pas au beau fixe. La preuve ? Le groupe pharmaceutique allemand Merck ne livre plus son médicament contre le cancer Erbitux aux hôpitaux publics grecs en raison de factures impayées, déclare son directeur financier dans une interview publiée samedi.

“Cela n’affecte que la Grèce, où nous avons été confrontés à de nombreux problèmes. Cela ne concerne que ce produit”, explique Matthias Zachert dans cet entretien au Börsen-Zeitung. Les Grecs pourront toujours se procurer l’Erbitux dans les pharmacies, a précisé un porte-parole à Reuters.

L’anticancéreux Erbitux est le deuxième médicament sur ordonnance de Merck le plus vendu. Il a représenté un chiffre d’affaires de 855 millions d’euros en 2011.

En Espagne, le gouvernement aide les hôpitaux à payer les factures, ce qui évite aux hôpitaux public d’être privés d’approvisionnement, indique le directeur financier du laboratoire.

Source: Le monde

Benji

29 Commentaires

  1. Ils ne feront pas faillite .
    les Banques non plus
    La misère est leur fond de commerce ,la souffrance est une mine d’OR,ces salopards éjaculent pour procréer la misère,c’est une jouissance qui rapporte du fric ,les médias collaborent avec le moineaux comme Président ici, c’est la poursuite des lèches culs minables et irrécupérables ,sauf que ces Pinocchio nous chient dessus ..

  2. Eh bien moi, je dis “tant mieux” qu’ils n’aient plus de ce genre de medications, parce que c’est justement cette médecine chimique qui tue !
    Et je sais ce que je dis, le vivant moi-même !
    À cause de la gravité de “mon” cancer, la médecine conventionnelle m’a plusieurs fois RAYÉE de la carte des vivants depuis 1991 et c’est parce que je n’ai suivi aucun protocole de cette médecine que je suis encore de ce monde !
    Vous verrez que pour tout Homme de bonne volonté et de bonne foi, il ressortira BEAUCOUP de bon de cette crise financière : car elle lui rend sa dignité tout en débarrassant la société de cette vermine à forme humaine !

    • bisous
      AntoinetteDucret.

      Juste que j’ai aussi eut le cancer de la thyroïde,m’en suis sortit..

      bisous bisous bisous,j’aime beaucoup plus qu’avant.

      • bonsoir rouletabille, AntoinetteDucret,

        comment, tout les deux chacun(e) de votre coté, vous en êtes vous sortie si pas indiscret…?,

        car ma gorge me joue des tours qui peuvent partir en cancer de la thyroïde à moyens terme.

        • Bonjour MANI

          Cela avait commencer par une petite irritation qui éraille la voie,sans douleur.
          Ensuite un gonflement progressif de la gorge qui vas très lentement ,chez moi + ou – 6 Mois SANS problèmes,je continuais à fumer.
          Un jour je rentre essoufflé chez ma fille qui décide pour moi d’aller voir le médecin.
          ALARM,urgence et opération à Louvain,le chirurgien me dis que la tumeur n’a pas métastasée (je lui avis dis de laisser tomber si cela avait été le cas)je sais pas s’il l’aurais fait mais j’en avait sérieusement discuté avec lui avant l’opération.
          Voila,en ce qui me concerne tout est ok ,je ne vous donne pas de détails sauf si c’est vraiment important pour vous et j’autorise de vous communiquer mon Mail dans ce cas.
          Amicalement

  3. Si les Grecs ou les Français ne paient par leur pétrole
    L’Arabie Saoudite va faire quoi d’autre?
    Et si notre patron nous fait un chèque en bois:on continue à bosser pour lui?

    “L”Europe,l’Europe,l’Europe!!!”

  4. ca sent le coup fourré, les grecs pourront acheter le médicament dans les pharmacies

    • cela fait des mois que les grecs achetent leur medocs sans remboursement de la sécu à court terme je crains que beaucoup d’entre eux nous quitterins prématurément car nombreux sont ceux qui ne peuvent plus payé!! une honte Hypocrate doits se retourné dans sa tombe :-{

  5. Federal Reserve : L’Interview Surréaliste

    Journaliste : – M. Supinski, mon pays contrôle-t-il le Federal Reserve System ?
    M. Supinski : – Nous sommes un bureau qui représente le gouvernement.
    J. : -Ce n’est pas ma question. Est-ce-que mon pays contrôle ce système ?
    S. : – C’est un bureau du gouvernement qui a été créé par le Congrès.
    Journaliste : – Le Federal Reserve System est-il une entreprise ?
    S. : – Oui.
    Journaliste : – Mon gouvernement tient-il un inventaire des actes du Federal Reserve System ?
    S. : – Non, ce sont les banques associées qui le font.
    J. : – Les banques associées sont-elles des sociétés privées ?
    S. : – Oui.
    J. : – Les billets de la Federal Reserve Bank sont-ils nantis ?
    S. : – Oui, par les biens de la Federal Reserve Bank, mais principalement par le pouvoir du Congrès de répartir les impôts sur les citoyens.
    J. : – Vous disiez, – par le pouvoir d’encaisser les impôts;c’est ce qui garantit les billets de la Federal Reserve Bank ?
    S. : -Oui.
    J. : – À combien s’élève la totalité des biens de la Federal Reserve Bank ?
    S. : – La San Francisco Bank possède 36 milliards $ d’actifs.
    J. : – En quoi consistent ces actifs ?
    S. : – De l’or de la Federal Reserve Bank, et des garanties d’État.
    J. : – Quel est le taux d’une once d’or dans ses livres ?
    S. : – Je n’ai pas l’information, mais la San Francisco Bank possède 1.6 milliards $ en or.
    J. : – Voulez-vous dire que la Federal Reserve Bank de San Francisco possède 1.6 milliards $ en or, en tant que banque, le solde de cette fortune sont les garanties d’État ?
    S. : -Oui.
    J. : – Où la Federal Reserve se procure-t-elle les billets ?
    S. : – Ils sont autorisés par le Trésor.

    J. : – Combien la Federal Reserve paie-t-elle un billet de $ ?
    S. : – De O à 70 cents.
    J. : – Combien payez vous un billet de 100.000 $ ?
    S. : – Le même montant, de 50 à 70 cents.
    J. : – 50 cents pour 100.000 $, c’est un profit énorme.
    S. : – Oui.
    J. : – La Federal Reserve Bank paie 20.60 $ pour une valeur nominative de 1.000 $, c’est-à-dire un peu plus de 2 cents pour une facture de 100.000 $, est-ce correct ?
    S. : -C’est bien cela.
    J. : – La Federal Bank n’utilise-t-elle pas les billets qu’elle paie 2 cents l’unité pour racheter les obligations d’État au gouvernement.
    S. : – Oui, mais c’est aussi plus que cela
    J. : – Dans l’ensemble, c’est ce qui se produit.
    S. : – Oui, dans l’ensemble c’est vrai.
    J. : – Combien de billets de la Federal Reserve Bank sont-ils en circulation ?
    S. : – II y en a pour 263 milliards $, mais nous ne pouvons rendre compte que pour un faible pourcentage.
    J. : – Où sont passés les autres billets ?
    S. : – Enterrés sous les matelas des gens, et l’argent de la drogue.
    J. : – Depuis que les dettes sont payables en billets de la Federal Reserve Bank, comment pourrait-on rembourser 4.000 milliards $ de dettes publiques avec la totalité des billets en circulation ?
    S. : -Je ne sais pas
    J. : -Si le gouvernement fédéral récoltait chaque billet en circulation, serait-il mathématiquement possible de rembourser ces 4.000 milliards $ ?
    S. : – Non.
    J. : – Est-ce correct si je dis que pour 1 $ de dépôt dans une banque affiliée, 8 $ pourraient être prêtés, avec assez de marge politique ?
    S. : – À peu près 7 $.
    J. : – Corrigez-moi si je me trompe, mais ce seraient 7 $ de la Federal Reserve Bank qui n’ont jamais été mis en circulation.Mais je dirais, par manque de vocabulaire, créés à partir de rien, les crédits et les 2 cents de valeur numéraire n’ont jamais été payés. En d’autres termes, les billets de la Federal Reserve Bank n’étaient pas réellement imprimés et créés, seulement générés comme entrée comptable et prêtés avec intérêt. Est-ce correct ?
    S. : – Oui.
    J. : – Est-ce la raison pour laquelle il n’y a que 263 milliards $ en circulation ?
    S. : – C’est en partie la raison
    J. : – Est-ce que j’interprète bien quand je dis que la loi qui a été votée en 1913 a transféré le pouvoir de frapper la monnaie du Congrès à une société privée. Et mon pays emprunte maintenant ce qui devrait être notre argent à la Federal Reserve Bank, plus les intérêts. Est-ce correct – Les dettes ne pourront jamais être remboursées – sous le régime monétaire que nous avons ?
    S. : – Dans le fond, oui.
    J. : -Je sens là un piège, vous pas ?
    S. : – Sorry, je ne peux pas répondre à cette question, je travaille ici.
    J. : – Les comptes de la Federal Reserve Bank ont-ils été vérifiés ?
    S. : – Ils sont vérifiés,
    J. : – Pourquoi y a t il une résolution (No1486) pour une vérification complète des livres par la GAO, et pourquoi la Federal Reserve Bank fait-elle de la résistance ?
    S. : -Je ne sais pas,
    J. : – La Federal Reserve Bank régule-t-elle la valeur de ses billets, et les taux d’intérêts ?
    S. : – Oui.
    J. : – Expliquez-nous comment le système de la Federal Reserve Bank peut être constitutionnel, si seul le Congrès a le pouvoir constitutionnel de frapper la monnaie, de la diffuser et de réguler sa valeur ? II n’est écrit nulle part dans la Constitution que le Congrès a le droit de transférer un pouvoir constitutionnel à une société privée, ou bien ?
    S. : – Je ne suis pas un expert en droit constitutionnel, mais je peux vous conseiller notre département juridique.
    J. : – Je peux vous le confirmer, j’ai lu la Constitution. Elle ne permet pas le transfert d’un pouvoir à une société privée.N’est-il pas spécifié que tous les pouvoirs appartiennent à l’État et aux citoyens, pas à une personne privée ? Est-ce valable pour une entreprise privée ?
    S. : – Je ne pense pas, mais nous avons été créés par l’Assemblée constituante ?
    J. : – Êtes-vous d’accord avec moi si je vous dis que c’est notre pays et que ce devrait être notre argent, comme le dit la Constitution ?
    S. : -Je comprends ce que vous dites
    J. : -Pourquoi devrions-nous emprunter notre argent à une société privée qui nous demande en plus des intérêts ? N’est-ce pas la raison pour laquelle nous avons fait une révolution, devenir un peuple souverain avec des droits propres ?
    S. : – (ne veut pas répondre).
    J. : – Est-ce-que ce sujet a été contrôlé par la Cour constitutionnelle ?
    S. : -Je crois qu’il y a une jurisprudence à ce sujet.
    J. : – Y a-t-il eu des cas devant la Cour suprême ?
    S. : -Je pense que oui, mais je ne suis pas sûr.
    J. : – La Cour suprême n’a-t-elle pas confirmé à l’unanimité dans le A.L.A. (Schlechter Poultry Corp. vs US, et Carter vs. Carter Coal Co.) que le décret constatant corporation est une délégation anticonstitutionnelle du pouvoir législatif? etc (Transférer le pouvoir est le réguler). C’est une délégation législative sous sa forme la plus choquante ; en soi, ce n’est pas une délégation envers un groupe, une corporation ou une société officielle, qui régule de façon désintéressée sans doute ce qui est commun, et de façon intéressée les affaires privées d’une personne. (Carter vs. Carter Coal Co.)
    S. : -Je ne sais pas, mais allez donc voir notre département juridique.
    J. : – Le système monétaire actuel n’est-il pas un château de cartes qui DOIT s’écrouler, parce que les dettes ne pourront jamais être remboursées ?
    S. : – II semble que oui. Je peux vous dire que vous connaissez bien le sujet et que vous voyez clair. Cependant, nous avons une solution.
    J. : – Quelle est cette solution ?
    S. : – La carte de débit.
    J. : – Parlez-vous de I’EFT Act (Electronic Funds Transfer) ?
    N’est-ce pas inquiétant quand on connaît la capacité des ordinateurs ? II donnera à l’État et à ses délégations, la Federal Reserve Bank inclue, des informations comme : vous étiez à la pompe à essence à 2h 30, vous avez acheté pour 10 $ d’essence sans plomb à 1.41 $ le gallon. Puis vous avez été au supermarché à 2h 58, vous avez acheté du pain, de la viande et du lait pour 12.32 $, et à 3h 30 vous êtes allés à la pharmacie où vous avez acheté des médicaments pour 5.62 $. En d’autres mots, vous sauriez quand et où nous allons, combien a payé le grossiste et combien de bénéfice il a fait. Avec ce système EFT vous sauriez tout sur nous. N’est-ce pas inquiétant ?
    S. : -Oui, c’est surprenant.
    J. : -Je sens un piège énorme qui a roulé notre Constitution dans la farine. Ne payons-nous pas une contribution énorme sous forme d’impôt sur le revenu à un consortium privé de banques ?
    S. : – Je n’appelle pas cela une contribution, ce sont des intérêts.
    J. : – Les banques en question ne sont-elles pas assermentées pour défendre la Constitution vis-à-vis d’ennemis de l’intérieur ou de l’extérieur ? La Federal Reserve Bank n’est-elle pas un ennemi de l’intérieur dans ce cas précis ?
    S. : -Je ne dirais pas cela.
    J. : – Nos fonctionnaires de la Federal Reserve Bank sont coupables de favoritisme personnel, ils détruisent notre Constitution, ce qui est une trahison. La peine de mort n’est- t-elle pas le châtiment pour une trahison ?
    S. : -Je pense que oui.
    J. : – Merci pour les informations et le temps que vous nous avez accordés, si je pouvais je vous dirais d’entreprendre les démarches nécessaires pour vous protéger vous et votre famille, et retirer votre argent des banques, avant que le système ne s’effondre. Moi je le ferai.
    S. : – La situation n’est pas bonne.
    J. : – Puisse Dieu être miséricordieux pour les esprits qui sont derrière ces actions anticonstitutionnelles et criminelles que l’on appelle The Federal Reserve a,. Si les masses toutes puissantes se réveillaient et comprenaient ce tour de passepasse, elles ne le prendraient pas pour un grain de sable.
    C’était un plaisir de parler avec vous et je vous remercie pour votre disponibilité. J’espère que vous suivrez mon conseil avant que tout ne s’effondre.
    S. : – Malheureusement, cela ne se présente pas bien.
    J. : – Passez une bonne journée et merci encore.
    S. : – Merci pour votre appel.
    Source: http://www.truthusa.org/articles/fed/calltofed.htm

    • houlalala c’est rudement long à lire! je lis déjà avec difficulté les pages sport de l’équipe alors là..
      La vérité c’est que les boches n’en ont pas encore assez pris plein la gueule, qu’ils sont arrogant, perfide, et qu’ils relevent la tête en se la jouant maitre de l’europe, et que nous on laisse faire depuis des lustres en se décullotant et présentant la vaseline… Ces enfoirés agissent comme s’ils n’avaient pas perdu la guerre et continuent à faire chier l’europe entière, ne respectant aucun accord, se faisant retoquer continuellement par la CEDH et en s’en fichant royalement…Quand la zone euro aura éclaté vous allez voir qui va sortir du bois…La cours de Karlsruhe, déjà, depuis toujours prévaut pour l’allemagne pour sa souveraineté alors que la france, repère de lopette, laisse faire, avec complaisance voire complicité..Pas la peine d’avoir fait tuer 150000 mecs plus les civils en france pendant la II WK……Quelle misère de voir ça!

      • C’est dommage de sortir une merveilleuse diatribe au sujet de ces enfoirés de nazis teutons sans évoquer l’Eurogendfor et la France que sarko leur a vendu, à eux et à d’autres… Quelle misère ! Ô je rage ! Ô je désespère ! La guerre grosse malheur ! KW = WeltKrieg, mais c’est trop reloud à apprendre l’Allemand ! Guerre et bière ! Avec des saucisses bien sûr !

        • Salut thepower t’as mis le doigt sur ce qui a de plus important sur deux faits:
          -Electronic Funds Transfer: rendre tout l’argent virtuel pour continuer comme c’est, à pouvoir créer de la monnaie à partir de rien ou de très peu mais toujours avec des intérêts.
          -L’impôt sur le revenu ou l’impôt sur l’intérêt de la dette continuera à verser sa rente au banquier et à nous plumer pour encore longtemps…
          Si 50% des personnes savaient comment est fabriqué l’argent et pourquoi il paye un impôt sur leur revenu je crois que ça péterait bien et que certains haut patrons, haut dirigeants et haut fonctionnaires risque la peine de mort pour haute trahison…
          http://dissident33.comule.com/la-crise-quelle-crise/

          • 50 pour cent de personnes?? CE SERAIT LE TOP! hélas, trois fois hélas, nous sommes à peine 10 pour cent qui se sont réveillés! ça va être difficile de faire réagir les gens, pour si peu qu’on les informe et qui nous traite de parano! on est dans la merd…..!!

            • Mais non mais non ! 10% ! C’est trop, c’est beaucoup trop ! Tout va bien, il fait un temps merveilleux, chacun a un toît sur la tête, de quoi manger, se soigner, dormir, éduquer ses gosses, se la péter en caisses de luxe et fringues de marques, non 10% c’est trop, 0,85% c’est bien, c’est raisonnable.

    • Grand merci
      vous avez déniché un petit bijou!!!!

  6. nazi, teutons, quel mélange! c’est quoi m’eurogendfor per favor?
    que viennent faire tes asucisses là dedans chere rachel? et la biere?

  7. Terrorisme politique

    Le Premier ministre grec Antonis Samaras et son allié socialiste Evangélos Vénizélos ont de nouveau brandi dimanche la menace d’une sortie de l’euro si le parlement ne vote pas la semaine prochaine le train de rigueur réclamé par l’UE et le FMI.

    Les votes cruciaux attendus mercredi sur une loi-cadre détaillant les économies budgétaires de plus de 18 milliards d’euros, et dimanche sur le budget 2013, sont la condition pour que le pays « en finisse définitivement et irrévocablement » avec le danger d’un retour à la drachme (ancienne monnaie nationale), a souligné M. Samaras.

    « Nous devons sauver le pays de la catastrophe (…), si nous échouons à rester dans l’euro rien n’aura de sens », a-t-il insisté, s’exprimant devant son groupe parlementaire conservateur.

    Avant de rencontrer en soirée M. Vénizelos et le chef du parti de gauche modérée, Fotis Kouvelis, M. Samaras a appelé leurs deux partis, soutenant l’exécutif de coalition mais ébranlés par l’ampleur des sacrifices réclamés, à rester engagés dans la bataille pour « servir les intérets suprêmes de la nation ».

    « Jusqu’à ce que notre patrie sorte de la crise, nous sommes hélas confrontés à deux choix, dont l’un est très difficile et l’autre catastrophique », a renchéri M. Vénizélos.

    En échange de ce train de redressement courant jusqu’en 2016 –contre lequel les syndicats organisent une grève générale et des manifestations mardi et mercredi– le pays espère recevoir plus de fonds que la seule tranche de 31,5 milliards d’euros gelée depuis juin et sans laquelle il risque la cessation de paiement mi-novembre, a indiqué M. Samaras.

    Le Premier ministre a relevé que ce supplément, qui serait tiré sur le reliquat des prêts UE-FMI encore à verser, réinjecterait des liquidités dans une économie totalement à sec, en cinquième année de récession.

    M. Samaras, qui s’était targué jusque-là d’avoir écarté la menace de la drachme, et M. Vénizélos, ministre des Finances du précédent gouvernement, ont retrouvé des accents dramatiques au vu des fissures au sein de l’alliance gouvernementale.

    Le Dimar, fort de 16 députés, a indiqué qu’il voterait contre la loi-cadre par refus de la dérégulation du marché du travail qu’elle prévoit, tandis que l’entrée en dissidence de plusieurs députés socialistes –jusqu’à cinq– est à prévoir.

    Cela exposerait l’exécutif à devoir se contenter d’une maigre majorité (154 à 159 voix sur 300), calculait dimanche la presse, tablant toutefois sur l’adoption des mesures.

    Après des concertations avec ses troupes, M. Vénizélos a toutefois fait état dans la soirée de la détermination du Pasok à « assumer ses responsabilités » en dépit des « tensions » en son sein.

    « Nous ne jouons pas avec le sort du pays, nous ne faisons pas marche arrière », a-t-il assuré, appelant l’autre partenaire de gauche, le Dimar de M. Kouvelis, à « rester dans le schéma gouvernemental ».

    Dans un entretien au quotidien Ethnos, M. Kouvelis avait réitéré son opposition aux réformes prévues du travail, accusant M. Samaras et les bailleurs de fonds d’être responsables de l’ »image d’éloignement » de son parti pour être passé outre.

    Si le Dimar persistait dans ce refus mercredi, en dépit de son soutien affirmé aux autres mesures d’ordre budgétaires, la cohésion gouvernementale devrait être testée lors du vote suivant sur le budget, au caractère de vote de confiance.

    Source yahoo.com via:http://chroniquedelinfo.wordpress.com/2012/11/04/terrorisme-politique/

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