Air Méditerranée propose des reclassements en Grèce aux salariés licenciés!

Il fallait oser! Après les tentatives de reclassement dans les pays de l’est pour pouvoir délocaliser tranquillement et faire plus de bénéfices,voici une nouvelle destination pour les vacances les tentatives de reclassements: la Grèce!

La compagnie charter Air Méditerranée, qui va licencier 85 salariés, a proposé à une trentaine de ses pilotes et hôtesses basés en France d’être reclassés dans sa filiale en Grèce, avec un salaire réduit de 30% en moyenne, a-t-on appris samedi de source syndicale.

Le délégué SNPL (Syndicat national des pilotes de ligne) de la compagnie, Denis Roumier, dénonce ces mesures en affirmant que les salariés d’Air Méditerranée sont déjà les moins bien payés des compagnies françaises.

D’après lui, une hôtesse ou un steward gagnant le SMIC en France se voit proposer un salaire mensuel de 900 euros à Athènes et un commandant de bord payé 6.000 euros empocherait 3.700 euros en Grèce. Ces salariés continueraient cependant d’assurer les mêmes vols au départ de la France.

“On en arrive à des aberrations, dénonce Denis Roumier, un équipage grec a récemment assuré un Marseille-Bastia pour le compte d’Air Corsica, une ligne subventionnée par l’Etat”.

C’est la première compagnie française à délocaliser ainsi des avions dans un pays européen pour bénéficier d’une main d’oeuvre à bas coût, note le président du SNPL Yves Deshayes.

Fin 2011, la direction d’Air Méditerranée a annoncé le licenciement de 85 employés, en invoquant la nécessité de réduire ses coûts opérationnels pour faire face à la concurrence de compagnies d’Europe de l’est, qui tirent les prix vers le bas.

En revanche, la centaine d’emplois au siège administratif du Fauga, près de Toulouse, n’est pas concernée par les réductions d’effectifs.

La direction d’Air Méditerranée n’était pas joignable pour apporter des précisions.

Air Méditerranée, née en 1997, exploitait jusqu’ici une dizaine d’avions en France au départ de Roissy, Lyon, Nantes et Toulouse. La filiale grecque, Hermès Airlines, assure des rotations depuis 2011 avec un appareil, mais plusieurs autres appareils doivent passer en 2012 sous le contrôle de Hermès Airlines.

Air Méditerranée emploie jusqu’à 500 personnes en haute saison et travaille essentiellement pour les grands tours opérateurs français.

Les salariés devraient recevoir la semaine prochaine les premières lettres de licenciement, a dit M. Roumier.

Source: journaldunet via le panier de crabes via realnews

Benji

16 Commentaires

  1. D’ou l’expression on ne peut plus actuelle……va te faire f…..chez les grecs !! :laugh: 😀

  2. Disparition de la moitié de l’or des banques centrales
    Le groupe de veille GATA (Gold Anti-Trust Action Committee), déclare dans le Wall Street Journal que la Réserve Fédérale et le Trésor américain manipulent subrepticement les réserves d’or du pays en participant à des contrats de location (leases) non-déclarés.
    Le GATA estime que la majeure partie de l’or loué de cette façon ne retournera jamais dans les coffres des banques centrales. Ces dernières ne posséderaient plus que la moitié de l’or qu’elles prétendent détenir.
    « Avec une demande d’or mondiale si forte, il est devenu impossible de récupérer la majeure partie de l’or qui a été loué sans faire énormément augmenter son prix », déclare le président du GATA, William J. Murphy III.
    « La plupart des observateurs calcule que les réserves des banques centrales sont supposées s’élever à environ 30 000 tonnes d’or dans le monde, mais nous pensons que la quantité d’or qui s’y trouve réellement est plus proche de 15 000 t », a affirmé Murphy, « le reste a disparu ».
    « Le prix récent de l’or, approchant les 1800 $ l’once, montre que le plan d’étouffement du prix est en train de vaciller, déclare le GATA. « Lorsque tout le monde aura compris que les banques centrales étouffent le prix de l’or, son prix pourrait monter jusqu’à 3000 $, 5 000 $ l’once, voire plus ».
    Le GATA déclare également que la stratégie de manipulation du prix de l’or par le gouvernement américain a commencé à échouer. « L’objectif de cette manipulation est de cacher la mauvaise gestion du dollar américain afin qu’il conserve sa fonction de monnaie de réserve du monde ».
    « Nous voulons révéler et stopper la manipulation du marché de l’or par le Trésor américain et la Réserve Fédérale dès à présent ». Il a expliqué que le GATA a décidé de verser 264 000 $ au Wall Street Journal pour placer une annonce d’une page entière dans l’édition nationale car la presse financière n’a pas couvert l’événement.
    L’annonce s’intitule « Quelqu’un a-t-il vu notre or ? », et affirme que les réserves d’or américaines entreposées à Fort Knox ou à West Point ont gravement diminué car la Réserve Fédérale et le Trésor américain les envoient à l’étranger pour régler des transactions complexes destinées à étouffer le prix de l’or.
    Le GATA cite également une déclaration de l’ancien gouverneur de la Réserve Fédérale, Alan Greenspan, qui a dit au Congrès le 24 juillet 1998 que « les banques centrales se tiennent prêtes à prêter de l’or en cas d’augmentation de son prix ».
    La Banque des Règlements Internationaux rapporte que le marché des produits dérivés de l’or a atteint un record de 640 milliards de dollars en décembre 2006.
    Murphy souligne que faire remonter les produits dérivés vers les transactions des banques centrales, et déterminer précisément le degré d’implication de la Réserve Fédérale et du Trésor américain est impossible pour le moment, étant donné le manque de responsabilité publique et de transparence du système financier des produits dérivés de l’or dans le monde entier.
    Murphy a déclaré que son groupe a formulé une requête à l’intention du Trésor américain et de la Réserve Fédérale « afin de découvrir ce qu’il en est de cette ‘composante’ des réserves d’or américaines. Qu’en est-il réellement de l’or américain qui est supposé appartenir au peuple américain ? », demande-t-il.
    Une déclaration sur le site du Trésor affirme que le Fonds de Stabilisation des Échanges n’a pas été utilisé afin de manipuler le prix de l’or. Mais impossible de trouver sur le site du Trésor une déclaration qui nie catégoriquement que celui-ci procède à des swaps d’or, des leases ou des contrats à terme pour d’autres raisons que celle de manipuler le prix de l’or.
    La London Bullion Market Association publie sur son site Web une liste de plus de 80 membres travaillant en tant que « faiseurs de marché pour les banques d’investissement » dans les marchés mondiaux de l’or et des matières premières, et qui sont à l’origine et participent à divers produits dérivés de l’or, dont les leases et les swaps.
    Les membres américains de la liste de la London Bullion Market Association comprennent Bear Stearns Forex Inc., Goldman Sachs International, JP Morgan Chase Bank, Bank of America, Citibank, Merrill Lynch et Morgan Stanley.
    Un mémorandum rédigé le 28 février 2003, au nom de Barrick Gold Corporation, un grand producteur d’or affilié à la banque d’investissement J. P. Morgan, reconnait que Barrick se livre, avec les banques centrales, à des leases d’or et à d’autres transactions liées à l’or, sans toutefois admettre que ces transactions sont réalisées au nom de la Réserve Fédérale et du Trésor.
    En septembre 1999, après une réunion des banques centrales européennes à Washington, celles-ci ont signé ce qui est maintenant connu sous le nom d’ « Accord de Washington », un accord dans lequel les banques ont accepté de limiter leurs ventes d’or à 400 tonnes par an et de ne pas étendre leurs opérations de leasing au cours des 5 ans que couvre l’accord.
    Dans le cas d’un lease d’or, une banque centrale prête de l’or à une banque d’investissement avec un taux d’intérêt nominal, habituellement 1%. Ensuite, la banque d’investissement met l’or prêté sur un marché, tel que le London Bullion Market, où l’or physique est vendu, augmentant ainsi la quantité d’or disponible sur le marché.
    Des problèmes surgissent lorsque le prix de l’or augmente beaucoup comme cela a été le cas au cours des derniers mois, avec une once à plus de 900 $. Et quand, à la fin de la période de bail, il faut rendre à la banque centrale l’or prêté, il se peut que la banque d’investissement doive retourner sur le marché et acheter de l’or à un prix bien plus élevé que lorsqu’il a été prêté.
    Afin de se couvrir contre ce risque, la banque d’investissement achète habituellement des contrats à terme ou des options d’achat d’or pour s’assurer d’être fournie à une date et à un prix futurs spécifiés.
    Dans le monde des produits dérivés de l’or, il existe une grande diversité de contrats, dont des transactions dans lesquelles les banques centrales s’échangent leurs réserves d’or afin de pouvoir poursuivre le leasing ou d’autres transactions dérivées de l’or, qui utilisent l’or de l’autre banque centrale et non le leur. Les swaps d’or rendent les transactions des banques centrales encore moins transparentes et plus difficiles à suivre.
    D’après les règles actuelles du FMI, les banques centrales ne sont pas tenues de révéler, sur leur déclaration financière, la quantité d’or qui devra servir pour honorer des contrats sur des produits dérivés de l’or, dont des leases et des swaps. Pas plus que les banques d’investissements ne sont tenues de révéler au public les contrats par lesquels elles prêtent de l’or qui appartient aux banques centrales.
    L’or atteint de nouveaux records, avec des contrats à terme se rapprochant chaque jour de 1800 $ l’once sur le NYMEX (New York Mercantile Exchange).
    24hGold
    http://nouvelles-infos.blogspot.com/2012/02/finance-mondiale-disparition-de-la.html

  3. ALERTE – Feu vert du Parlement français au Mécanisme européen de stabilité
    PARIS – Le Parlement français a donné mardi son feu vert au Mécanisme européen de stabilité (MES), structure commune permanente pour financer les pays en difficulté de la zone euro.
    Après l’Assemblée nationale le 21 février, le Sénat a approuvé mardi les deux traités qui vont remplacer à terme l’actuel Fonds européen de solidarité (FESF) par le MES. Les socialistes se sont abstenus.
    http://www.romandie.com/news/n.asp?n=_ALERTE___Feu_vert_du_Parlement_francais_au_Mecanisme_europeen_de_stabilite280220121902.asp

  4. Grèce: Papademos se rend mercredi à Bruxelles pour s’entretenir avec Barroso

    ATHENES – Le Premier ministre Lucas Papademos se rendra à Bruxelles mercredi pour s’entretenir avec le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, à la veille du sommet européen des 1er et 2 mars, a-t-on appris de source gouvernementale mardi.

    M. Papademos restera jusqu’à vendredi à Bruxelles, pour participer au sommet des chefs d’Etat des 27 pays membres de l’Union européenne (UE), selon la même source.

    Jeudi, une réunion des ministres des Finances de la zone euro est programmée avant le sommet européen pour mesurer les avancées en Grèce depuis le feu vert de l’Eurogroupe mercredi dernier au deuxième plan d’aide, qui comporte un prêt de 130 milliards d’euros sur trois ans combiné de l’effacement de 107 milliards d’euros de la dette privée du pays.

    D’ici le sommet, le parlement grec doit adopter en procédure d’urgence deux projets de lois impopulaires dictées par les bailleurs de fonds du pays, UE et FMI, en échange de la nouvelle aide.

    Le premier, qui sera débattu et adopté mardi soir par la majorité de la coalition gouvernementale, droite et socialistes, comprend de nouvelles coupes dans les salaires et les retraites. Le second qui doit être voté mercredi, prévoit des réductions des dépenses hospitalières et pharmaceutiques et des fusions d’hôpitaux publics et d’organismes de sécurité sociale.

  5. ça tombe bien les grecs vont encore voir leur salaire diminuer, bientôt il vaudra mieux voyager en chine !

  6. Comment avoir tout faux? Facile: Air Médit-erronée..

  7. USA: 15 dysfonctionnements signalés dans des centrales nucléaires en 2011

    WASHINGTON – Un groupe d’experts indépendants américains a détecté en 2011 quinze dysfonctionnements sur 13 des 104 réacteurs nucléaires en service aux Etats-Unis dont les conséquences seraient potentiellement graves, dans un rapport publié mardi.

    Ce document de l’Union of Concerned Scientists (UCS) examine en détail des problèmes graves évités de justesse et évalue la réponse de la Commission américaine de réglementation nucléaire (Nuclear Regulatory Commission ou NRC) dans chacun de ces cas.

    Dans la mesure où les inspections de la NRC ne peuvent révéler qu’une fraction des problèmes existants, il est essentiel que celle-ci y réponde efficacement, soulignent les experts.

    Le rapport montre qu’un grand nombre de ces défaillances se sont produites parce que les propriétaires des centrales ont toléré des problèmes connus ou ont pris des mesures insuffisantes pour les corriger, jugent-ils.

    Ainsi, dans la centrale d’Oconee en Caroline du Sud (sud-est), les services d’entretien ont découvert en 2011 qu’un système de refroidissement de secours du coeur des réacteurs installés en 1983 n’aurait jamais fonctionné en cas de nécessité puisque les coupe-circuits étaient mal réglés.

    L’UCS fait le rapprochement entre la centrale d’Oconee et celle de Three Mile Island en Pennsylvanie (est) dont l’un des deux réacteurs, en 1979, avait subi une fusion partielle en raison d’un dysfonctionnement du système de refroidissement.

    Le rapport dénonce également les centrales nucléaires de Braidwood et de Byron dans l’Illinois (nord).

    Dans ces centrales, le personnel d’entretien a, depuis 1993, institué une pratique qui consiste à détourner de l’eau des circuits vitaux de refroidissement des réacteurs pour l’utiliser dans des pompes auxiliaires.

    Cette pratique visait à ne pas utiliser les eaux non traitées d’un lac afin de réduire la corrosion.

    Mais en cas d’urgence, le système de refroidissement n’aurait pas pu fonctionner normalement en raison d’un manque d’eau, soulignent les experts de l’UCS.

    Malgré le fait que les autorités aient fait corriger la plupart de ces défaillances, elles laissent fonctionner 47 réacteurs dont des violations connues aux réglementations pour la protection contre l’incendie remontent à 1980, déplore le rapport de l’UCS.

    Cette commission n’empêche pas davantage 27 réacteurs de rester en service même si leurs systèmes de sécurité ne sont pas conçus pour résister suffisamment à des séismes, ajoutent les chercheurs de l’UCS.

    Aucun problème de sécurité (nucléaire) n’a provoqué de blessure à des employés de ce secteur ou dans la population en 2011, mais la fréquence de ces incidents, plus d’un par mois, est jugée élevée pour une industrie ayant atteint sa maturité, estime les auteurs du rapport.

    http://www.romandie.com/news/n.asp?n=_USA_15_dysfonctionnements_signales_dans_des_centrales_nucleaires_en_2011280220121902.asp

  8. Pendant qu’ils y sont un e petite formation en Syrie puis une embauche en Grèce!!!! :reallypissed:

  9. demain tous grecs ? je note en effet une incroyable synchronicité car l’isda doit décider si la grèce a fait un défaut ou pas le jour où mario draghi doit distribuer des centaines de milliards de z€uros gratuits aux banques européennes, qui plus est le 29 février un jour exceptionnel de l’année bisextile !

  10. ont se demande vraiment ce qu’attendent les greques pour tout foutre en l’aire .
    quant les français en seront arrivé la , je me demande ce qu’ils feront . auront ils plus de couilles que les greques ???????????
    ont risque de bientot le savoire .:rotfl:

  11. Ca y est, la Grèce fait partie du Tiers-monde.
    Bientôt les petits Grecs fabriqueront des ballons de foot et des baskets.
    Quelle tristesse, et quelle honte de voir les rapaces venir profiter sans vergogne.

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