Négociations en Grèce menacées par le départ d’un hedge fund

Pour la Grèce, c’est un nouveau domino qui tombe! Un fond de pension en a eu marre, la restructuration de la dette grècque, c’est plus son problème, il est reparti chez lui en en Espagne, et IL A RAISON!!! Ils veulent encore faire payer les autres pays dont l’Espagne? Mais leur économie atteint des profondeurs abyssales! Le chômage augmente à vitesse grand V! Ils ont plus de pognon pour eux, alors pour la Grèce.. C’est incroyable de vouloir persister à sauver un système déjà au fond du gouffre, manque plus que la pierre tombale et l’épitaphe!

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ATHENES/LONDRES (Reuters) – Les négociations sur la restructuration de la dette grecque sont entrées mardi dans une nouvelle zone de turbulence après qu’un hedge fund a claqué la porte des négociations, soulevant de nouvelles inquiétudes sur les chances de succès du projet d’échange de dette.

Vega Asset Management, un fonds d’investissement espagnol, a démissionné du comité représentant les intérêts des créanciers privés dans les pourparlers sur l’échange de dette, a-t-on appris de deux sources proches de la situation.

Les désaccords proviendraient des modalités de mise en oeuvre de l’échange volontaire de dette, ont dit les sources sans livrer davantage de détails. Vega Asset Management a refusé de commenter ces informations.

Le ministre grec des Finances Evangelos Venizelos tentait de son côté de faire bonne figure malgré les tensions, exprimant sa confiance dans les chances de succès des négociations, tandis que du côté des banques, l’optimisme n’était pas de mise.

“Je vois pas d’accord se dessiner cette année”, a dit un banquier proches des discussions.

Depuis des semaines, les créanciers privés négocient les termes d’un échange de dette qui verraient les obligations grecques grevées d’une décote de 50% en l’échange de cash et de nouveaux titres de dette.

En cas de succès, l’endettement d’Athènes serait réduit de 100 milliards d’euros, ramenant le ratio dette/produit intérieur brut grec de 160 à 120%.

Mais les termes exacts de l’accord continuent d’achopper, en particulier sur la question du coupon que porteront les nouvelles obligations.

Le temps presse pour Athènes qui devra dès mars honorer 14,5 milliards d’euros de dette et qui aura besoin de nouveaux financements pour rembourser des obligations qui arriveront à maturité.

Source: fr.reuters.com

Benji

2 Commentaires

  1. ils sont le Feta Salakis c’est déjà pas mal non ? avec une ou deux pomme de terre sous une tente que du bonheur ! la vrais vie quoi  :cyclops:

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