Union Soviétique Européenne : Mort à vos économies !

On en parle depuis des années, et bien elle sera très bientôt notre réalité!

Si vous avez suivi le cirque du énième sommet anti-apocalypse destiné à poursuivre l’acharnement thérapeutique de l’Euro en salle de réanimation, oubliez tout ce que les médias publics vous ont servi durant vos repas quotidiens. Le problème de fond n’est pas réglé, le surendettement des États pèse de plus en plus lourd et il représente l’outil rêvé pour instaurer les nouvelles règles de l’Union Soviétique Européenne : affaiblir nos libertés, la démocratie et la taille de notre épargne…
Je ne ferai aucun commentaire sur les “solutions” en bois que les “merdias” français savent vous présenter à longueur de journée à propos d’un sommet totalement stérile en “solution concrète et immédiate“.
Nous pouvons cependant toujours en discuter dans les commentaires.
Pour faire face à ses engagements, alors que les agences de notations menacent, les États européens doivent trouver sans cesse plus de revenus pour faire face à l’augmentation des taux d’emprunts.
En parallèle, les banques du pays doivent emprunter leurs liquidités à un coût plus élevé et la facilité d’accès à l’emprunt se dégrade pour les entreprises et les particuliers. 
La première ressource des États de
l’Union Soviétique Européenne est donc menacée : la TVA !
Nous entrons à présent dans un véritable cercle vicieux : l’État devra dépenser plus d’argent pour honorer ses emprunts avec de moins en moins de revenus => LA FAILLITE ASSURÉE !
Voici pourquoi cette faillite organisée est sur le point de siphonner vos économies :
Un “bank run” gigantesque en préparation
La hausse surréaliste des indices bancaires durant la semaine passée fera chuter les actions de BNP, Société Générale et Crédit Agricole d’encore plus haut. Et la chute sera fracassante !
Hier, Moody’s (complice de l’élite financière) a abaissé la note de crédit de nos 3 banques adorées.
Par ailleurs, la faillite de Groupama sera ressenti comme un électrochoc : le premier assureur des collectivités est également le 3ème actionnaire de la banque rouge et noire (regardez dans la liste des actionnaires en bas à gauche)…
Si on s’acharne à sauver Groupama, c’est pour sauver la Société Générale !
Le problème est que personne ne veut récupérer Cerise dans son portefeuille : elle pue la faillite.
Je vous rappelle que Groupama est aussi…….. une banque !
Ajoutez à cela, une dégradation imminente de la note de crédit de la France, et nous voici en route vers un bank run généralisé. Les banques n’ayant plus accès à de la liquidité bon marché, elles impactent la hausse de leurs coûts de financement sur leurs clients…

Le prix Nobel d’Economie, Paul Krugman, prévoit une gigantesque panique bancaire généralisée et imminente:

“A ce stade, je suppose une flambée des taux sur la dette italienne conduisant à une panique bancaire gigantesque, tant en raison des craintes de solvabilité sur les banques italiennes qu’en raison de la crainte sur le fait que l’Italie va finir par quitter la zone euro. Cela conduira alors à la fermeture des banques en urgence, et une fois que cela se produit, c’est la décision d’abandonner l’euro et d’installer la nouvelle lire qui s’impose. Le prochain sur la liste, la France.”
Et lorsque vous êtes confronté à une hausse des taux d’emprunt (immobilier, entreprise, consommation…) et que vous souhaitez réaliser un achat important, que faîtes-vous ?
Solution 1 : Vous reportez votre achat et attendez d’avoir la trésorerie suffisante
Solution 2 : Vous piochez dans votre trésorerie
Ce que vous achetiez à crédit
devra être financé au comptant…
Les vendeurs d’actifs (immobilier, actions…) devront donc revoir leur copie s’ils veulent réaliser leurs transactions avec des acheteurs serrés au manque de crédit.
La voilà la fameuse spirale déflationniste mortelle et la Suisse (pays du chocolat et des banquiers) semble la constater avant tout le monde !

Le 28 septembre, je vous parlais de l’analyse de Mike Maloney que j’avais reçu dans sa newsletter :

“D’abord une menace de déflation, suivie par une chute vertigineuse des prix, suivie par une forte inflation, suivie par une déflation réelle, et ensuite par l’hyperinflation.”
Nous y sommes :
La déflation réelle se met en place !


Le double-effet Kiss-Cool de la déflation
1er effet:  Le vidage de votre épargne
Dans les 2 cas, la solution adoptée engendre un ralentissement des échanges commerciaux et incite la population à puiser dans leurs ressources financières : l’accès au crédit devient de plus en plus difficile et la séquence de vidage de l’épargne commence.
2ème effet: La faillite bancaire
Comme nous le savons, le “rallye” de fin d’année des indices boursiers permet de préparer le maquillage des bilans de fin d’exercice en sauvegardant les apparences.
En revanche, le vidage de “l’épargne à consommer” sera dévastateur pour les réserves fractionnaires nécessaires aux opérations de crédits.
Si les banques ont moins d’argent en réserve,
elles auront encore moins d’argent à prêter !
Certaines d’entre elles seront incapables de se refinancer sur les marchés et s’exposeront à un risque important de défaut.
En résumé, l’Union Soviétique Européenne ne vous le demande pas directement : si son économie est de moins en moins financée par ses banques, il ne lui reste que votre épargne pour la faire tourner.
Elle vous joue le coup de la rigueur budgétaire pour détourner votre regard afin de plonger sa main discrètement dans votre poche… pour ensuite vous achever avec l’hyperinflation

Source: gold-up.blogspot.com

Encore un grand merci à Gold-up pour son formidable travail, une référence dans le milieu alternatif!!!

Respect

By: TheHawk

Si vous avez suivi le cirque du énième sommet anti-apocalypse destiné à poursuivre l’acharnement thérapeutique de l’Euro en salle de réanimation, oubliez tout ce que les médias publics vous ont servi durant vos repas quotidiens. Le problème de fond n’est pas réglé, le surendettement des États pèse de plus en plus lourd et il représente l’outil rêvé pour instaurer les nouvelles règles de l’Union Soviétique Européenne : affaiblir nos libertés, la démocratie et la taille de notre épargne…
Je ne ferai aucun commentaire sur les “solutions” en bois que les “merdias” français savent vous présenter à longueur de journée à propos d’un sommet totalement stérile en “solution concrète et immédiate“.
Nous pouvons cependant toujours en discuter dans les commentaires.
Pour faire face à ses engagements, alors que les agences de notations menacent, les États européens doivent trouver sans cesse plus de revenus pour faire face à l’augmentation des taux d’emprunts.
En parallèle, les banques du pays doivent emprunter leurs liquidités à un coût plus élevé et la facilité d’accès à l’emprunt se dégrade pour les entreprises et les particuliers.
La première ressource des États de
l’Union Soviétique Européenne est donc menacée : la TVA !
Nous entrons à présent dans un véritable cercle vicieux : l’État devra dépenser plus d’argent pour honorer ses emprunts avec de moins en moins de revenus => LA FAILLITE ASSURÉE !
Voici pourquoi cette faillite organisée est sur le point de siphonner vos économies :
Un “bank run” gigantesque en préparation
La hausse surréaliste des indices bancaires durant la semaine passée fera chuter les actions de BNP, Société Générale et Crédit Agricole d’encore plus haut. Et la chute sera fracassante !
Hier, Moody’s (complice de l’élite financière) a abaissé la note de crédit de nos 3 banques adorées.
Par ailleurs, la faillite de Groupama sera ressenti comme un électrochoc : le premier assureur des collectivités est également le 3ème actionnaire de la banque rouge et noire (regardez dans la liste des actionnaires en bas à gauche)…
Si on s’acharne à sauver Groupama, c’est pour sauver la Société Générale !
Le problème est que personne ne veut récupérer Cerise dans son portefeuille : elle pue la faillite.
Je vous rappelle que Groupama est aussi…….. une banque !
Ajoutez à cela, une dégradation imminente de la note de crédit de la France, et nous voici en route vers un bank run généralisé. Les banques n’ayant plus accès à de la liquidité bon marché, elles impactent la hausse de leurs coûts de financement sur leurs clients…

Le prix Nobel d’Economie, Paul Krugman, prévoit une gigantesque panique bancaire généralisée et imminente:

“A ce stade, je suppose une flambée des taux sur la dette italienne conduisant à une panique bancaire gigantesque, tant en raison des craintes de solvabilité sur les banques italiennes qu’en raison de la crainte sur le fait que l’Italie va finir par quitter la zone euro. Cela conduira alors à la fermeture des banques en urgence, et une fois que cela se produit, c’est la décision d’abandonner l’euro et d’installer la nouvelle lire qui s’impose. Le prochain sur la liste, la France.”
Et lorsque vous êtes confronté à une hausse des taux d’emprunt (immobilier, entreprise, consommation…) et que vous souhaitez réaliser un achat important, que faîtes-vous ?
Solution 1 : Vous reportez votre achat et attendez d’avoir la trésorerie suffisante
Solution 2 : Vous piochez dans votre trésorerie
Ce que vous achetiez à crédit
devra être financé au comptant…
Les vendeurs d’actifs (immobilier, actions…) devront donc revoir leur copie s’ils veulent réaliser leurs transactions avec des acheteurs serrés au manque de crédit.
La voilà la fameuse spirale déflationniste mortelle et la Suisse (pays du chocolat et des banquiers) semble la constater avant tout le monde !

Le 28 septembre, je vous parlais de l’analyse de Mike Maloney que j’avais reçu dans sa newsletter :

“D’abord une menace de déflation, suivie par une chute vertigineuse des prix, suivie par une forte inflation, suivie par une déflation réelle, et ensuite par l’hyperinflation.”
Nous y sommes :
La déflation réelle se met en place !


Le double-effet Kiss-Cool de la déflation
1er effet:  Le vidage de votre épargne
Dans les 2 cas, la solution adoptée engendre un ralentissement des échanges commerciaux et incite la population à puiser dans leurs ressources financières : l’accès au crédit devient de plus en plus difficile et la séquence de vidage de l’épargne commence.
2ème effet: La faillite bancaire
Comme nous le savons, le “rallye” de fin d’année des indices boursiers permet de préparer le maquillage des bilans de fin d’exercice en sauvegardant les apparences.
En revanche, le vidage de “l’épargne à consommer” sera dévastateur pour les réserves fractionnaires nécessaires aux opérations de crédits.
Si les banques ont moins d’argent en réserve,
elles auront encore moins d’argent à prêter !
Certaines d’entre elles seront incapables de se refinancer sur les marchés et s’exposeront à un risque important de défaut.
En résumé, l’Union Soviétique Européenne ne vous le demande pas directement : si son économie est de moins en moins financée par ses banques, il ne lui reste que votre épargne pour la faire tourner.
Elle vous joue le coup de la rigueur budgétaire pour détourner votre regard afin de plonger sa main discrètement dans votre poche… pour ensuite vous achever avec l’hyperinflation
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