Bettencourt dissimulait des millions dans cinq banques suisses

Liliane Bettencourt dissimulait près de 100 millions d’euros sur une douzaine de comptes en Suisse et à Singapour en 2010.
Les données bancaires aux mains du fisc français font état de virements et de disparitions de capitaux encore inexpliqués au cours des trois dernières années….

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Le fisc français a découvert douze comptes bancaires cachés de Liliane Bettencourt en Suisse et à Singapour, selon le site d’informations Mediapart. Ils auraient totalisé près de 100 millions d’euros fin 2010. On ne parlait jusqu’ici que de deux comptes en Suisse.

La milliardaire de 89 ans, troisième fortune de France avec environ 17 milliards d’euros, selon des classements de «Challenges» et «Forbes», est depuis 2007 au centre d’une enquête judiciaire qui porte notamment sur des soupçons de financement politique illégal.

Les douze comptes bancaires mentionnés par le fisc dans un rapport de synthèse daté de fin août dernier auquel Mediapart dit avoir eu accès ont été abrités par six établissements bancaires distincts, dont cinq en Suisse. Une source proche du dossier a confirmé l’information de Mediapart.

Comptes dissimulés

La dissimulation fiscale semble supérieure à celle déjà connue depuis la publication d’enregistrements clandestins de conversations de la milliardaire avec son majordome en 2010.

Après la publication de ces enregistrements, la fille du fondateur de L’Oréal avait dû rapidement annoncer la régularisation fiscale de ses avoirs.

Son gestionnaire de fortune de l’époque, Patrice de Maistre, avait reconnu l’existence de deux comptes non déclarés en Suisse pour un total de 78 millions d’euros. Le cas de l’île d’Arros, aux Seychelles, détenue par Liliane Bettencourt via un montage complexe et non déclarée au fisc, a aussi alimenté la chronique.

Mediapart évoque des comptes à la Banque cantonale vaudoise (BCV), UBS, Julius Bär, Hyposwiss, Baring Brothers et à la succursale de Singapour de la banque liechtensteinoise LGT.

Virements inexpliqués

Les données bancaires aux mains du fisc français font état de virements et de disparitions de capitaux encore inexpliqués au cours des trois dernières années, selon Mediapart qui a eu accès au rapport de la Direction nationale des vérifications de situations fiscales (DNVSF). La source proche du dossier a confirmé l’existence de ces mouvements de fonds.

Liliane Bettencourt est depuis deux ans au centre de plusieurs affaires. Parties d’un différend familial avec sa fille, qui s’est traduit le mois dernier par le placement sous tutelle de la milliardaire, ces affaires ont donné lieu à des soupçons de favoritisme et de financement politique illégal.

Source: tdg.ch

bises

By: pokefric

Un lecteur du blog

7 Commentaires

  1. Et il faut se serrer la ceinture ……..

  2. voici ce j’ai pus récupéré par MEDIAPART c’est assez long ……..

    Liliane Bettencourt, 89 ans, l’héritière de l’empire L’Oréal, et son mari André, mort en 2007, ont dissimulé pendant des décennies au fisc français l’existence de douze comptes bancaires domiciliés en Suisse et à Singapour, selon les données inédites d’un contrôle fiscal auquel Mediapart a eu accès. La dissimulation des avoirs bancaires étrangers de l’actuelle propriétaire du leader mondial des cosmétiques a été consignée par un agent de la Direction nationale des vérifications de situations fiscales (DNVSF) dans un rapport de synthèse daté du 31 août 2011.
     
    L. Bettencourt© Reuters
    Les douze comptes cachés de la milliardaire, sur lesquels dormaient 99.846.498 euros à la fin de l’année 2010 (contre plus de 121 millions d’euros deux ans plus tôt), ont été abrités par six établissements bancaires distincts: la Banque cantonale vaudoise (BCV), l’Union des banques suisses (UBS), Julius Bär, Hyposwiss, la banque genevoise Baring Brothers et, à Singapour, une succursale de la LGT – une banque du Liechtenstein à l’origine.
     
     
    Cette dissimulation dépasse donc largement ce que laissait entrevoir le contenu des enregistrements clandestins réalisés au domicile de Liliane Bettencourt par son majordome, que Mediapart avait révélés à l’été 2010. Dans les bandes pirates, l’ancien gestionnaire de fortune de la milliardaire, Patrice de Maistre, évoquait en effet l’existence de – seulement – deux comptes en Suisse. Il y en avait, en réalité, dix de plus.
     
    D’après les constatations du fisc, aidé dans ses recherches par les successeurs de M. de Maistre, l’héritière de L’Oréal était la bénéficiaire économique de tous ces comptes au moment de leur rapatriement en France, décidé fin 2010 après la révélation de l’affaire Bettencourt.
     
    Les données bancaires, dont dispose aujourd’hui l’administration fiscale française, laissent apparaître que certains comptes ont connu une existence mouvementée ces trois dernières années, avec de vertigineuses disparitions de capitaux qui restent, pour l’instant, inexpliquées. Ainsi, un compte ouvert à la banque Hyposwiss au nom de la société Noblesse Trading Inc. a vu son solde passer, entre le 31 décembre 2007 et le 31 décembre 2009, de 23.421.267 euros à… zéro euro, sans que ledit compte soit clos.

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    5 millions de francs suisses pour les bonbons
    Un autre compte, ouvert cette fois à la Banque cantonale vaudoise sous le nom de code «Sulki», a vu son solde passer, entre fin 2008 et fin 2009, de 59.709.756 euros à 1.848 euros, peut-on lire dans le rapport de la DNVSF.
     
     
    A. Bettencourt© Reuters
    Le plus fourni des douze comptes offshore des Bettencourt, baptisé «Bora», lui aussi ouvert à la Banque cantonale vaudoise, a été fermé en août 2008. Il était alors crédité de 92.422.137 euros. Or, d’après une quinzaine de virements bancaires auxquels Mediapart a pu avoir accès, ce compte, qui aurait été ouvert au milieu des années 1970 par André Bettencourt à l’époque de l’accord actionnarial passé entre L’Oréal et le groupe suisse Nestlé, n’a jamais cessé d’opérer des versements, suspects par nature.
     
     
    Certaines sommes en jeu donnent le tournis. Le 11 juillet 2000, un virement de quatre millions de francs suisses (3,2 millions d’euros) est ainsi effectué vers la Discount Bank & Trust Company. Le 2 avril 2001, rebelote: la même somme vers la même banque. Le 11 juin 2003, à nouveau quatre millions de francs suisses qui décollent du compte «Bora» des Bettencourt en direction, cette fois, de la banque Hottinguer & Cie, à Zurich.
     
    Le 1er novembre 2004, un virement de 5 millions de francs suisses (4 millions d’euros) part vers l’Union bancaire privée (UBP). Le libellé du virement indique «Communications: bonbons Boissier». Le 29 novembre 2005, quatre millions de francs suisses repartent vers l’UBP. Et le 2 octobre 2006, deux millions de francs suisses (1,6 million d’euros) sont virés de «Bora» à destination de «1 bénéficiaire», est-il benoîtement indiqué sur le bordereau de la Banque cantonale vaudoise.
     
    Hormis tous ces montants qui se chiffrent en millions d’euros, le compte «Bora» des Bettencourt a également opéré de nombreux virements de moindre ampleur sur la même période, c’est-à-dire entre 2000 et 2008 : 262.000 francs suisses par-ci (janvier 2005), 276.000 par-là (janvier 2006), 314.000, 140.000 et 235.000 pour la seule année 2007, 140.000 en 2008.
     
    Où est passé l’argent et à quoi a-t-il servi? Seule une commission rogatoire internationale diligentée par un juge d’instruction pourrait répondre à ces deux questions cruciales et, donc, identifier les heureux bénéficiaires du trésor caché des Bettencourt. Les juges de Bordeaux, chargés des différents volets de l’affaire Bettencourt, notamment ceux concernant le blanchiment de fraude fiscale et le financement politique, le feront-ils ?  Ce compte-là, on va le mettre à Singapour »
     
    Patrice de Maistre© Reuters
     
     
    Parmi les comptes cachés de Liliane Bettencourt, le fisc français a également appris l’existence de l’un d’entre eux hébergé à Singapour sur un compte de la LGT Bank, avec un solde créditeur de 3,2 millions d’euros au 31 décembre 2009. Il pourrait s’agir du compte évoqué par Patrice de Maistre dans l’une des conversations d’affaires qui ont été surprises grâce au dictaphone-espion du maître d’hôtel de Liliane Bettencourt.
     
    L’échange est daté du 27 octobre 2009 :
    Patrice de Maistre : «Je voulais vous dire que je pars en Suisse tout à l’heure pour essayer d’arranger les choses. Et vous allez voir Me Goguel (ancien avocat fiscaliste de Mme Bettencourt) aujourd’hui ou demain. Et il faut qu’on arrange les choses avec vos comptes en Suisse. Il ne faut pas que l’on se fasse prendre avant Noël.

    Liliane Bettencourt : Que l’on se fasse prendre comment ?
    PdM : A partir de janvier – c’est M. Woerth qui a fait la loi –, la France peut demander aux Suisses si vous avez un compte là-bas. Je suis en train de m’en occuper et de mettre un compte à Singapour. Parce qu’à Singapour, ils ne peuvent rien demander. Mais Goguel m’a dit que vous aviez un autre compte mais je ne suis pas au courant. (…) J’y vais toutes les semaines en ce moment (en Suisse).
     
    LB : Vous pensez régler le problème?
     
    PdM : Oui. Pour le moment, on est en train de s’en occuper. (…) Ce compte-là, on va le mettre à Singapour où vous aurez la paix.(…) Il est de 12 ou 13 millions, c’est beaucoup d’argent. Et vous en avez un autre, paraît-il, beaucoup plus important.»
     
    Cette discussion est à l’image de nombreuses autres figurant dans les bandes pirates du majordome, où apparaît comme une obsession aux yeux de Patrice de Maistre le fait de ne surtout pas déclarer au fisc français les avoirs cachés des Bettencourt. Sa crainte ? Que « le fisc tire un fil », dira-t-il dans une conversation de novembre 2009.
     
    Grâce aux révélations successives de Mediapart, le fisc a donc tiré le fil. Ce qu’il n’avait jamais fait jusqu’ici, suscitant de légitimes interrogations sur une clémence fiscale surpenante en faveur de Mme Bettencourt. Notamment à l’époque où Eric Woerth, dont la femme a travaillé au service de la milliardaire, a été ministre du budget, entre 2007 et 2010 ; à l’époque où, pendant que Liliane Bettencourt était l’une des plus généreuses donatrices de l’UMP et un soutien inébranlable de Nicolas Sarkozy, le même Eric Woerth était le trésorier du parti présidentiel.

    ET IL Y A UN AUTRE ARTICLE SUR LA MERE BETTENCOUR OU ELLE VA SUBIR UN REDRESSEMENT FISCAL DE PLUS DE 77 MILLIONS D’EURO …… LE VOICI ……

    La révélation par Mediapart, en juin 2010, des enregistrements réalisés par le majordome de Liliane Bettencourt à son domicile va finalement faire rentrer beaucoup d’argent dans les caisses de l’Etat. La découverte des comptes cachés à l’étranger et de la mystérieuse île d’Arros, aux Seychelles, a déclenché des enquêtes judiciaires et fiscales qui donnent actuellement lieu à un redressement fiscal record de la femme la plus riche d’Europe.
    Selon plusieurs documents de la Direction nationale des vérifications de situations fiscales (DNVSF), dont Mediapart a pu prendre connaissance, Liliane Bettencourt se voit actuellement réclamer la somme considérable de 77.752.139 euros par l’administration.
     

    Il s’agit là des sommes exigées (pénalités et amendes comprises) au titre de l’impôt sur la fortune (ISF) pour les années 2004 à 2010 et, au titre de l’impôt sur le revenu, pour les années 2006 à 2009. Des négociations sont en cours à ce sujet, les conseillers de l’héritière cherchant à obtenir une diminution du montant total de cette addition.
     
    Pour l’instant, le fisc applique le pourcentage maximum de pénalités (40%) prévu dans les cas d’une dissimulation de mauvaise foi. C’est la première fois que Mme Bettencourt est l’objet d’une telle curiosité…
     
    • 1. Les comptes suisses
     
    Les services fiscaux ont identifié douze comptes bancaires cachés qui appartiennent à la famille Bettencourt ou dont elle est bénéficiaire (lire notre article ici). A savoir dix comptes en Suisse (un chez Julius Bär, trois à la Banque cantonale vaudoise, un chez Hyposwiss, quatre chez UBS), et deux autres à Singapour (chez Swisslife et LGT Bank Liechtenstein).
    Quelque 100 millions d’euros y dormaient encore fin 2010, malgré des retraits importants, plus de 20 millions d’euros ayant ainsi disparu en deux ans.
    Une fois ces comptes découverts, notamment grâce au travail effectué pendant l’année 2010 par les conseillers de Liliane Bettencourt, l’administration fiscale a réintégré les avoirs cachés dans les déclarations d’ISF de l’héritière et le produit des sommes placées dans ses déclarations de revenus. 
    2. L’île d’Arros
     
    Le 7 octobre 1997, André et Liliane Bettencourt ont acquis la magnifique île d’Arros, aux Seychelles, avec sa maison de maître, réalisée par l’architecte Jacques Couëlle, et des bungalows, une piscine, un tennis, etc. Ils l’ont achetée discrètement à un membre de la famille du shah d’Iran, le prince Shahram Pahlavi, pour un prix de 18 millions de dollars.
    Cette acquisition n’a pas été déclarée au fisc français, la propriété étant officiellement détenue par une société basée au Liechtenstein, l’Anstalt « d’Arros Land Etablishment ». Ce qui n’a pas empêché les Bettencourt d’effectuer environ 30 millions de dollars de travaux sur l’île, entre 2000 et 2004, faisant notamment ériger une chapelle et agrandir la piste d’atterrissage.
     
    L’île d’Arros© dr
     
     
    Après le décès d’André Bettencourt en 2007, la propriété a été transférée, fin 2008, à une mystérieuse « Fondation pour l’équilibre écologique, esthétique et humain », en fait présidée par l’avocat Fabrice Goguel, qui était alors le fiscaliste attitré de Liliane Bettencourt. Plus que généreuse, la milliardaire avait doté la fondation de 20 millions d’euros et payait, en outre, deux millions d’euros tous les ans pour les frais de fonctionnement de la propriété ; cela pour y séjourner de temps en temps…
    « Je peux vous dire que j’ai su après un rendez-vous avec Mme Bettencourt chez Me Goguel que je serais, selon ses vœux, le destinataire final de l’île d’Arros », a déclaré le photographe François-Marie Banier, le 15 juillet 2010, sur procès-verbal au cours de l’enquête préliminaire menée par le parquet de Nanterre. Banier ajoutait aussitôt : « Il est très important que je vous dise que je n’ai en rien participé à un quelconque montage d’une fondation ou pas d’une fondation(sic). Je n’ai aucun papier, ni à Paris ni ailleurs, concernant cela. Je ne fais aucune pression sur Mme Bettencourt pour être bénéficiaire de cette île. Et même au contraire… »
    Quoi qu’il en soit, les agents du fisc considèrent que l’île d’Arros appartient aujourd’hui bel et bien à Liliane Bettencourt. Et ils l’ont réintégrée dans ses déclarations d’ISF depuis l’année 2004. Pour l’année 2010, la valeur de l’île est estimée à 39,2 millions d’euros par la DNVSF.

    . Les autres propriétés
     
    L’immense hôtel particulier des Bettencourt à Neuilly-sur-Seine n’a pas fait l’objet d’une rectification de la part du fisc. En revanche, la magnifique propriété de famille située à l’Arcouest, dans les Côtes-d’Armor, a été sérieusement réévaluée. Situé en bord de mer, l’ensemble composé d’une maison de maître, de maisons d’amis, d’une piscine et d’une maison de gardiens, était déclaré pour une valeur de 1,07 million d’euros en 2010. Après vérification, le fisc, lui, l’estime à 3,2 millions d’euros.
     
     
    Maison de l’Arcouest© Reuters
     
    Les Bettencourt possèdent également une grande propriété (deux maisons et plusieurs hectares de terrains) à Formentor, aux Baléares. Déclarée pour seulement 310.500 euros en 2010, elle a été réévaluée à la valeur – trente fois supérieure ! – de 9,9 millions d’euros.
    Méticuleux, les agents du fisc ont également réintégré dans la déclaration de revenus personnelle de Liliane Bettencourt les salaires d’employés qui étaient réglés par ses sociétés Téthys et Clymène, ainsi que des cadeaux de fin d’année.
    Au final, le fisc réclame à la milliardaire un rappel d’ISF de 4,5 millions d’euros pour 2004, 4,1 millions en 2005, 4,3 millions en 2006, 4,7 millions en 2007, 17 millions en 2008, 12 millions en 2009 et 13 millions en 2010. Au titre de l’impôt sur le revenu, le fisc lui rappelle 5,6 millions d’euros en 2006, 1,9 million en 2007, 4,9 millions en 2008 et 4,6 millions en 2009.
    Liliane Bettencourt n’est d’ailleurs que relativement peu imposée, grâce notamment au mécanisme qui lui permet de loger ses actions dans une holding et de n’être taxée que sur les dividendes qu’elle choisit de percevoir, à diverses déductions, et au fait qu’elle déclare – curieusement – une part et demie.
    Ayant déclaré 90 millions d’euros de revenus en 2008 et 88 millions en 2009, elle n’a réglé que 17,7 millions d’impôt sur le revenu la première année, et 21,4 millions la seconde. Un taux d’imposition qui ferait rêver bien des contribuables aisés. Il est vrai que Liliane Bettencourt, considérée comme la troisième fortune de France par Challenges et Forbes, avec 17 milliards d’euros, a les moyens de régler la note. En 2010, avec un patrimoine déclaré de 2,35 milliards d’euros, elle a payé 42,3 millions d’euros au titre de l’ISF

    DESOLE DE LA TAILLE DE L’ARTICLE mais en fait il y en a deux

    voila   benji et voltigeur j’espere que vous ne m’en voudrez pas de l’avoir publié sans votre accord :-)) :-))

  3. C’est pas bien de s’acharner sur une pauvre vieille dame !

    Précision pour les malcomprenants, c’est du 2° degré.

  4. tu m’en dira temps moi je ferais pareil avec tout le fric qu’on lui pique !

  5. Bettencourt : 15ème fortune mondiale… 23,5 milliards de $
    Bernard Arnault : 4ème fortune mondiale… 41 milliards de $
    Allez, il donnent à la France 1/10ème : 23,5 + 41 = 64,5 milliards /10  ça fait 6 milliards,4….
    Ca la réduirait, la dette, non ? Sans compter tous les autres…
    Mais si les députés ne veulent même pas lâcher 500 euros par mois c’est pas demain la veille !
    Ah ça ira ça ira ça ira ! Les aristocrates à la lanterne………………….

  6. Fortune environ 20 milliards d’euros et on fait du bruit pour 100 millions … soit nous avons affaire à des petites bites ou bien on nous mettrait un arbre pour cacher la forêt que je ne m’étonnerais pas.
    Mamie va falloir cracher au bassinet pour 2012, fermer ta g…. pour 2007 et aller griller quelques billets chez Chanel pour te refaire une beauté. Tu le vaut bien.
     
    Spécial hommage aux disparus : veurth M. et mme  et les autres

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