Pause-culture: quelques citations de Thomas Jefferson…

Thomas Jefferson fut le troisième président des États-Unis, un grand homme dont les citations sont toujours d’actualité, malheureusement… Vous pensez que le monde à évolué? Alors constatez par vous-même avec cette petite sélection que rien ne change, bien au contraire…

Thomas Jefferson, né le 13 avril 1743 à Shadwell, une plantation de la famille Jefferson dans le Comté d’Albemarle et mort le 4 juillet 1826 à Monticello, a été le troisième président des États-Unis de 1801 à 1809. Cet homme d’État était également philosophe, agronome, inventeur, architecte et il ne cachait pas ses sympathies francophiles. Jefferson était attaché aux Droits de l’homme pour lesquels il lutta au sein de son État et du pays. Il faisait partie de l’élite des Lumières et a connu les plus grands esprits de son temps. Rédacteur d’une partie de la Déclaration d’indépendance, il doubla la superficie des États-Unis par l’achat de la Louisiane.

Bio complète sur wikipédia

  • Le prix de la liberté c’est la vigilance éternelle.
  • Dans la presse, seules les publicités disent la vérité.
  • Si tu es prêt à sacrifier un peu de liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l’une ni l’autre.
  • Une petite rébellion de temps en temps, c’est comme un orage qui purifie l’atmosphère.
  • Le peuple est le seul sur lequel nous puissions compter pour préserver notre liberté.
  • L’homme qui ne craint pas la vérité n’a rien à craindre du mensonge.
  • L’arbre de la liberté devrait, de temps en temps, être arrosé du sang des tyrans, car c’est un engrais naturel.
  • Pour tout homme, le premier pays est sa patrie, et le second, c’est la France.
  • Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis.
Benji

6 Commentaires

  1. “Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence; leur unique objectif est le gain.” Napoléon Bonaparte

  2. «Ce qui, à notre époque, frappe tout d’abord le regard, ce n’est pas seulement la concentration des richesses, mais encore l’accumulation d’une énorme puissance, d’un pouvoir économique discrétionnaire, aux mains d’un petit nombre d’hommes qui d’ordinaire, ne sont pas les propriétaires, mais les simples dépositaires et gérants du capital qu’ils administrent a leur gré.
    Ce pouvoir est surtout considérable chez ceux qui, détenteurs et maîtres absolus de l’argent, gouvernent le crédit et le dispensent selon leur bon plaisir. Par là, ils distribuent en quelque sorte le sang à l’organisme économique dont ils tiennent la vie entre leurs mains, si bien que sans leur consentement nul ne peut plus respirer.
    Cette concentration du pouvoir et des ressources, qui est comme le trait distinctif de l’économie contemporaine, est le fruit naturel d’une concurrence dont la liberté ne connaît pas de limites; ceux-là seuls restent debout, qui sont les plus forts, ce qui souvent revient à dire, qui luttent avec le plus de violence, qui sont le moins gênés par les scrupules de conscience.
    À son tour, cette accumulation de forces et de ressources amène à lutter pour s’emparer de la puissance, et ceci de trois façons : on combat d’abord pour la maîtrise économique ; on se dispute ensuite le pouvoir politique, dont on exploitera les ressources et la puissance dans la lutte économique ; le conflit se porte enfin sur le terrain international, soit que les divers États mettent leurs forces et leur puissance politique au service des intérêts économiques de leurs ressortissants, soit qu’ils se prévalent de leurs forces et de leur puissance économiques pour trancher leurs différends politiques. » Pie XI

  3. Magnifique citation.
    obioxoido, pour toi, mais tu doit le savoir:
    Oligarchie financière: les 8 familles derrière le cartel banquier international:
    http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?fromval=1&cid=13&frid=13&eid=18526

    • Merci Pokefric pour ton article très intéressant et bien détaillé. Je note encore une fois que l’on fait l’amalgame entre les loges maçonniques et les puissances financières. 

      Pour revenir à Thomas Jefferson qui avait des affinités avec les maçons de son époque tel que George Washington, Benjamin Franklin, Thomas Paine cela ne faisait pas pour autant des monstres. Je crois que l’évolution des loges américaines s’éprend du certaine perversité par amour pour le pouvoir et qu’elles s’éloignent des valeurs de liberté, d’humanisme, de la séparation des pouvoirs, des droits de l’homme, de laïcité…

      Il n’y a pas d’exclusive idéologique en franc-maconnerie. Cela ne sert à rien de mettre tous les francs maçons dans le même sac. Partir des Skulls and Bones aux états-unis et la loge P2 en Italie pour tirer des généralités. La franc-maçonnerie est dans l’ensemble de la société et il existe aussi des officines de gauche.

      Les 8 familles derrière le cartel banquier international n’ont rien de maçonnique. Elle sont plus dans un registre mafieux, triblales, aristocratiques… que dans une dmarche spirituelle. C’est touut ce que je voulais vous rappeler. 🙄    

  4. Oui, le monde à évolué !
    Maintenant… même les publicités ne disent plus la vérités.

  5. Sympa cet article, merci pour les citations Benji et ObïoxoïdO

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