Et les scandales politiques… un hasard ? Vraiment ?

Tout était prévu depuis longtemps déjà, avant même la crise des subprimes, avant même le crash de 2008 à la bourse new-yorkaise, un simple plan qui se déroule pour la plus grande fortune de certains…

Malgré l’enseignement de l’Histoire, les politiciens d’aujourd’hui ne voient rien. Ils poursuivent leur exécrable gestion d’une dette artificielle et absurde, soucieux seulement d’entretenir le mensonge sur les responsables de la crise… les petits « amis » que l’on décore de la Légion d’honneur. Aveu terrible d’impuissance et réaction pitoyable, nos gouvernants bombent le torse en s’impliquant dans les jeux du cirque en Afrique du Sud. Quand on parle de complot, les politiciens sortis de l’ENA ou de Science Po poussent des cris d’orfraie, commencent à gesticuler sur leur chaise ; ils se sentent en terrain dangereux et refusent alors toute discussion. Cette matière du complot n’a jamais figuré dans leur programme d’études supérieures. Selon eux, il n’existe qu’une Histoire, celle que les moulins de la propagande mondialiste enseignent. Balzac ? Ils ne connaissent pas. Du moins pas ceci : « Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements »… celle qui est interdite d’enseignement.Franklin D. Roosevelt… « simple » président des Etats-Unis mais initié de haut vol, dira pourtant : « En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un évènement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi ». Franklin D. Roosevelt parlait en connaisseur ! Voilà donc comment il faut analyser les scandales politiques actuels et ceux qui s’y refusent en seront pour leurs frais !

En juin 2006, un an avant le début de la crise des subprimes, dans l’ouvrage Clearstream, LIESI écrivait que « la société libérale était une étape voulue par les argentiers secrets du Comité X, une étape temporaire. Notre rédaction avertissait dès l’été 2005 que nous approchions du moment où le Comité X allait ordonner le passage à l’étape suivante : l’implosion du système LIBERAL. (…) Gageons que ce processus va s’accélérer. Oui ! Le moment est venu de faire imploser le système LIBERAL ». Que voyons-nous en 2010, quatre ans après cette analyse ? [Et que dire aujourd’hui, en 2011 ?]

Lors d’une conversation avec l’une de nos sources fréquentant l’exécutif du cartel bancaire, nous avons bien évidemment abordé le sujet du délitement du système politique traditionnel. Elle a commencé par nous rappeler que l’objectif était la prise du contrôle avéré des Etats-nations par des intérêts privés, derrière de gigantesques monopoles privés. Le plus important consistant à imposer une réforme monétaire internationale à laquelle les financiers américains sont, pour l’heure, opposés. Mais le cartel bancaire entend épuiser cette opposition par une série d’événements très désagréables qui commenceraient à partir du mois de mars 2011. Selon cette source, la ruine des Etats-nations passe par l’effondrement du système de représentation politique actuel, lequel doit se déliter complètement lors de la crise finale de la dette et du crédit accordé aux Etats. Toujours selon cette source, il faut être un analyste bien ignorant ou bien aveugle pour ne pas discerner de liens, même ténus dans la synchronicité de tous les événements récents. « Sachez qu’ils ont l’intention de discréditer la réputation des représentants nationaux afin qu’au fil des deux prochaines secousses qui devraient nous mener jusqu’en 2012, les populations n’accordent plus aucun crédit à cette classe politicienne et s’en remettent à une autre architecture. D’un côté, la classe politique va être discréditée, de l’autre, le recours aux fonds du cartel bancaire deviendra difficile. De nombreux acteurs : Etats, collectivités, entreprises et ménages, vont entrer en compétition pour obtenir le crédit alloué par le cartel bancaire sur les marchés financiers internationaux ».

Effondrement de la confiance dans le politique, augmentation du chômage, un climat de tension sociale de plus en plus inquiétant. Comment exiger des populations de la « rigueur » pour retrouver une « stabilité structurelle » quand les dirigeants politiques et leurs petits amis experts se comportent comme des affairistes sans aucun scrupule?

Source: liesi

Benji

2 Commentaires

  1. Crier “TOUS POURRIS” , peut paraitre odieux, ou bien refléter une opinion facile associée à  un faible raisonnement, mais regardons tout autour de nous et partout  …                           N’est ce pas vraiment la réalité présente qui démontre concrètement dans les actes que c’est bien une situation de “TOUS POURRIS” qui est la seule Réalité concrète ……????

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