Et si… on réfléchissait comme Zénon l’Ailé ? …

Initialement posté sous le titre “A la rencontre de Zénon l’Ailé” par JBL1960. Qui a compilé les écrits de Zénon dans, “Les Chroniques de Zénon“. Si ça vous a plu, le téléchargement est gratuit. La lecture ne vous laissera pas indifférent, elle détaille en un seul texte, tous les problèmes de notre société, ces problèmes dont nous remplissons les pages tous les jours, nous désolant de notre impuissance. Sommes nous si impuissants ? Un petit coucou à l’ami Zénon, puissent ses écrits en motiver quelques uns..

Une fois n’est pas coutume : je vais aborder le sujet par un constat positif… N’en déplaise aux farouches partisans de la dépopulation volontaire, les découvertes technologiques et scientifiques de l’humanité depuis la 1ère révolution industrielle, ainsi que les immenses étendues de terres arables non-cultivées sur le globe, pourraient permettre à plus de neuf milliards d’êtres humains de s’alimenter sans problème.
Mieux : l’essor de la robotique et de l’intelligence artificielle devrait réduire la somme de travail nécessaire à la subsistance d’autant de gens à tout au plus trois, quatre heures par jour et par personne. Nous serions en mesure de consacrer tout ce temps au partage, à l’éducation de nos enfants, au voyage, à la recherche, d’apprendre continuellement tout au long de la vie et même, pourquoi pas, de nous interroger un peu davantage sur son sens.

Instruits de toutes les erreurs du passé, nous pourrions réfléchir aux moyens de rétablir une juste équité entre les devoirs et les droits. Nous pourrions redéfinir complètement la manière dont décider des questions publiques et du bien commun. Nous pourrions nous pencher sérieusement sur la réparation des dégâts du nucléaire et résoudre bien d’autres problèmes encore insolubles. Nous pourrions enfin viser l’épanouissement de tous au lieu du profit de quelques-uns. Mais en la situation actuelle, c’est impossible. Car comme nous le savons, le système prédateur de l’oligarchie mondialiste nous l’interdit.

Il semble même qu’au contraire, l’élite autoproclamée ait choisi l’élimination progressive de toutes ses petites mains devenues l’une après l’autre surnuméraires. Malgré les piètres tentatives des statisticiens chargés d’enfumer l’auditoire, le chômage de masse continue à se répandre et gagner de plus larges couches de la société. Dans quasiment tous les corps de métiers, le travail tel que nous le connaissions, devenu dans une large mesure inutile, est en passe de disparaître… Mais au lieu de libérer de son astreinte ceux qui jusqu’alors l’occupaient, l’emploi s’est petit à petit tourné vers un autre but. S’il se perpétue de nos jours, ce n’est plus seulement pour l’enrichissement d’une petite caste de privilégiés, mais aussi et surtout afin d’occuper tout un pan de l’espèce Humaine à l’éradication des autres. Cela peut sembler brutal énoncé de la sorte, mais grattons sans nous mentir le vernis de nos fonctions respectives : nous ne pouvons que reconnaître œuvrer en l’état actuel des choses à notre autodestruction.

Commençons par ordre alphabétique (c’est une manie) avec l’agroalimentaire. En vue de produire la nourriture au rabais qu’exige la grande distribution, l’agriculture industrielle, aujourd’hui principalement d’exportation, empoisonne durablement les sols et précarise tout l’écosystème planétaire. Parallèlement, toute une armada d’ingénieurs s’adonne à la chimie amusante en cherchant quelle combinaison d’additifs peut mieux camoufler leur toxicité, tandis que fonctionnaires de France et d’Europe veillent à l’application de règles encadrant l’appauvrissement des produits de la Terre en nutriments. Tout ce petit monde s’active à généraliser les carences pour le plus grand bonheur des labos pharmaceutiques. Quant au FMI et à ses relais gouvernementaux, ses programmes d’ajustements structurels affament les populations à l’échelle de pays entiers.

L’artisanat, jadis premier employeur de France, se trouve en phase terminale d’extinction. Ces micro-entreprises étranglées par le RSI ferment boutique par centaines chaque mois, laissant pour seuls souvenirs des rangées de rideaux fermés dans les rues. L’ébéniste avec encore des années à cotiser finira sa carrière salarié chez un des grands groupes qui l’ont coulé. Et déconseillera le plus souvent aux jeunes de s’aventurer dans la profession.

Si les instituteurs, professeurs des collèges et lycées n’en peuvent plus, ce n’est pas pour cause de salaires insuffisants, de manque d’effectifs ni de moyens matériels. S’ils craquent, c’est car leurs élèves les renvoient chaque jour à l’inutilité de cours et de leçons pour eux vides de sens. Parce qu’engagés le plus souvent dans le métier par vocation d’enseigner, ils se retrouvent plus ou moins consciemment à formater les jeunes et non les instruire.

Si autant de policiers se foutent en l’air chaque année, ce n’est sûrement pas par remord d’avoir malmené untel ou untel au cours d’une intervention, mais parce qu’au quotidien confronté à une violence endémique, délibérément permise et encouragée par l’autorité publique, ils réalisent fatalement que, loin de défendre la veuve et l’orphelin, leur boulot consiste essentiellement à compter les points.

La désindustrialisation et la disparition de la classe ouvrière dans les pays occidentaux ne sont pas nouvelles. En revanche, on observe désormais la mécanisation grandissante des services : robots ménagers, livraisons par drones, dématérialisation des démarches et fin des guichets administratifs, calculs de résultats prévisionnels et infographies réalisés par des algorithmes… Tout ce dont nous avions le savoir-faire se voit remplacé par des tâches de supervision, de communication, ou encore, plus confusément, de « prospective ». Dans le meilleur des cas, sans aucun intérêt pour soi ni utilité commune.

Cette déliquescence est la même partout… Aussi bien chez l’emblème du capitalisme que sont les chaînes de fast-food, où les ados employés ont pour consigne d’orienter le client vers les automates qui les supplantent, que dans les services publics, où les effectifs ne se maintiennent une raison d’être qu’à travers l’artificielle et permanente complexification des procédures. Cette inefficience programmée sert d’ailleurs à justifier la délégation des missions régaliennes au secteur privé : l’objectif étant que dans un avenir proche, il nous faille payer pour obtenir certificat de naissance ou livret de famille.

Toute la science que nous mettons à nous cacher la réalité n’y change rien : le travail est aussi condamné que ce modèle social finissant… Les cadres pressurisés par l’injonction à la performance ont autant la tête dans le guidon que le petit personnel enrôlé à l’abus des clients pour le profit à court terme, et ne peuvent s’apercevoir de l’absurdité suicidaire de continuer à faire tourner la roue du système… Combien suent sang et eau à quelque chose qu’ils ne comprennent pas ? Combien font semblant d’être utiles et s’occupent pour éviter de regarder tomber les autres ?

Beaucoup d’entre nous demeurent sincèrement convaincus de pouvoir, par leur présence et leur action, infléchir la tendance depuis l’intérieur du système… Mais le verrouillage des leviers de commande est tel que meilleure soit la volonté, et si grands ou nobles soient les efforts en ce sens, nous n’y récoltons au mieux qu’une volée de bois vert. Et que même par la contestation officielle, nous y participons malgré nous. Au point de dépendance où nous sommes rendus, il nous est devenu impossible de tirer nos marrons du feu sans concourir à ce grand sabotage.

Nous observons au quotidien toutes les conséquences, les ravages de notre suivisme et de nos réticences à nous remettre en cause… Mais nous continuons, continuons, à tourner en boucle comme des hamsters dans leur roue. Non tant par lâcheté que par inconscience, et par culpabilité judéo-chrétienne à l’idée de compter parmi les inactifs, « assistés » et autres poids morts de la société. En somme, par peur de se désolidariser de la norme et peut-être aussi de perdre nos petits niveaux de vie. Nous avons renoncé l’un après l’autre aux droits et protections durement acquis par un siècle de luttes, sous prétexte de ne pas perdre nos pitoyables indemnités journalières ou notre place dans la société. Nous avons, au prétexte d’avoir quand même des gosses à nourrir, toléré pour ce faire l’hypothèque de leur avenir. Comme des grenouilles dans la casserole, nous restons dans l’eau frémissante croyant que le printemps arrive… Nous sommes pourtant voués à mourir un jour. Jusqu’où irons-nous dans l’avilissement pour nous convaincre d’y échapper ?

In fine, l’intelligentzia globaliste entend à la fois nous faire accepter la mise au ban de tous les inadaptés à sa cause, et le contrôle total de ses derniers bons petits soldats. Tandis que nos métiers s’éteignent l’un après l’autre, faute d’être rentables au système en place, nous devenons de plus en plus nombreux à dépendre des aides sociales pour subsister. Croyez-vous qu’un tel gouffre financier puisse être le fait d’une quelconque philanthropie d’État ? Ou bien celui-ci cherche-t-il à tuer dans l’œuf toute insurrection en s’assurant que nous ne puissions plus vivre sans lui ?

Le fameux revenu universel que l’on essaye de nous vendre à différentes sauces relève du même procédé. Devant l’impossibilité d’essorer toujours davantage les contribuables, son financement supposerait soit de mettre fin à l’évasion fiscale, soit de taxer les transactions boursières ou les profits des multinationales. Ne soyons pas dupes. Si celles-ci consentent à lâcher ne seraient-ce que quelques milliards pour le projet, c’est que les tenanciers de la haute finance y ont intérêt. Et quel autre, sinon celui de réduire la main-d’œuvre obsolète à une soumission totale et définitive ? « Si c’est gratuit, c’est vous le produit ». Après deux, trois expériences dans quelques pays-laboratoires, ce revenu de base sera probablement la meilleure façon de faire accepter la disparition du cash déjà en cours, mais également la mise en circulation d’une monnaie mondiale numérique… D’abord « inconditionnel », il sera peu à peu soumis à l’acceptation de nouvelles contraintes. Puis fera l’objet d’un chantage à propos de la vaccination des enfants, de l’euthanasie forcée, du puçage, clonage, du don et marché d’organes… L’idée est de contenir à feu doux la grogne des peuples pour se donner le temps d’exterminer en douceur, sans trop que ça tâche, les marées humaines oisives et dangereuses que nous sommes… Notre nombre est trop grand pour qu’ils nous éliminent d’une traite, ou qu’ils nous contraignent de force à de telles mesures. C’est pourquoi nous maintenir individualistes, indifférents à l’autre et perpétuellement divisés est la condition sine qua non à leur réussite.

Le peuple supporte pour l’instant la situation sous prozac, mais le jour approche où il n’y aura plus assez de rustines pour que la roue tourne. Alors se multiplieront les pétages de plombs, violences et immolations sur les lieux de travail… Dans le paradigme actuel, nous n’y pouvons rien. La catastrophe restera inéluctable tant que nous continuerons de croire en un changement venu d’en-haut, ou bien que la situation s’arrangera d’elle-même. Nous avons en revanche tout le pouvoir et toutes les clefs en main pour nous affranchir du joug multiséculaire des maîtres du capital. Eux savent mutuellement s’entraider à nous spolier depuis la nuit des temps. Mais ils seraient incapables de se préparer une omelette si nous les laissions entre eux. Nous avons quant à nous les savoirs qui nous permettent, bien que chacun spécialisé dans sa branche, de nous organiser pour survivre par la solidarité et par la complémentarité de nos talents.

La grève du vote n’est que d’une portée symbolique, puisque les politiciens sont capables de s’auto-élire. Mais elle est une première étape nécessaire : celle de leur adresser, ainsi qu’au reste de la population, le message clair que nous refusons de cautionner les forfaits commis en notre nom.

La grève du travail n’a d’avenir et d’impact possible que tant que celui-ci conditionne la survie du système. Sur une chaîne de montage entièrement automatisée, l’ultime ouvrier promu superviseur n’a plus d’autre choix que de fermer sa gueule ou de dégager. La fin du travail telle que programmée met un terme à la lutte des classes, au sens où sa victoire est alors définitivement acquise aux possédants… Mais nous avons encore une étroite fenêtre par où sortir du piège où nous sommes pris. Celle de la désertion massive de tous les lieux d’exploitation publics ou privés, sans préavis, pour investir notre volonté et notre énergie à construire autre chose. Tant que nous sommes valides et que notre coopération leur est nécessaire, la grève est une des armes dont nous disposons pour les affaiblir. Nous devons mutualiser localement les produits de base pour pallier la perte de nos salaires. Ainsi s’est toujours organisée la résistance. Ainsi se sont vues couronnées de succès toutes nos luttes passées. La solidarité, l’amour et la reconnaissance possèdent une force incommensurable et inconnue dans leur équation. L’expérience humaine ne saurait se réduire à une variable statistique : en cela, les mécanistes aux abois ont perdu d’avance.

Il est en France pénalement répréhensible d’appeler à la grève de l’impôt, et nos élus ont de toutes façons prévenu l’occurrence par le prélèvement à la source… Mais rien n’interdit d’assumer la conséquence de celle du travail en échappant légalement à toute taxation par absence de revenu. Cela représente le sacrifice d’un confort auquel beaucoup d’entre nous étions habitués. Toutefois, il faut bien comprendre que celui-ci est de toutes façons voué à disparaître. 2017 et les suivantes marqueront la fin douloureuse de l’illusion d’une société solvable à crédit. Plus personne parmi le peuple ne peut se croire intouchable… La zone de turbulences et de chaos qui s’annonce nous impose d’organiser d’ores et déjà des réseaux de solidarité pour nous abriter de l’orage. Qu’ils soient par la même occasion le moyen de ne plus financer notre suicide collectif.

Mais de toutes, la grève de la consommation, à commencer par le boycott généralisé de tout le superflu, de tout ce qui porte la marque d’une expropriation, d’une exploitation ou d’une pollution quelle qu’elle soit, est sans doute la plus efficace manière de faire plier les empires de l’industrie et de la finance. Qu’ils comprennent une bonne fois pour toutes que sans nous, ils ne sont rien. Et même s’ils ne plient pas, même si le système se défendra bec et ongles jusqu’au bout, la grève de la consommation suppose de recouvrir une autonomie alimentaire locale, ce qui serait en soi une victoire… Par tous nos choix, jusque dans notre absence ou notre passivité, notre attitude influe sur le cours des évènements. Choisissons d’investir un terrain où l’adversaire ne nous attend pas. Là encore, personne ne peut nous coller à tous un flingue sur la tempe pour nous obliger d’acheter… Le peu de libertés dont nous disposons encore doivent être assumées comme les responsabilités qu’elles sont. Et utilisées en toute conscience tant qu’elles existent.

L’idée de l’entraide comme remède aux maux actuels pourra sembler utopiste à ceux qui n’ont jamais connu que le climat compétitif et délétère du salariat. Qui pourtant n’a jamais frémi devant la beauté d’un travail réalisé par et avec amour ? Qui n’a jamais senti en lui la satisfaction d’œuvrer au bien commun ? Cette chaleur et cette énergie surpassent tous les combustibles fossiles : elles sont le moteur de la perpétuation de l’espèce humaine depuis des millions d’années, et la source-même de la Vie. Nulle intelligence artificielle ne saurait s’y substituer.

Énormément d’épreuves nous attendent. Nous ne pourrons revenir du jour au lendemain à l’équilibre des forces. Mais puisque nos décideurs procèdent par étapes, allons de même progressivement, chacun selon ses possibilités, vers une solidarité seule à-même de nous éviter le funeste sort qu’ils nous réservent… Nous disposons de l’opportunité d’inverser le cours des choses. Pour nous et pour le salut des générations futures, nous devons agir non plus idéologiquement, mais de façon concrète à réaliser le désir des 99% contre celui des 1%… Certes, nous sommes encore de grands enfants, et tout nous restera à apprendre une fois redevenus maîtres de nos destins. Mais qu’est donc notre peur de la liberté comparée à cette ineffable joie d’être en vie ?… Nous avons tous été portés durant neuf mois. Nourris et pour les plus chanceux aidés à devenir ce que nous sommes. Ne valons-nous pas mieux qu’un rouage de machine ou de la chair à canons ? La route n’existe que par notre marche. Elle n’attend plus que d’être empruntée.

Zénon l’Ailé

Publié par Les Mystères d’Arkébi

Quand on parle de nourrir 9 milliards de bouches, il faudrait que les rapaces comme Benetton laissent les terres nourricières à leur destination première, la culture vivrière

Des aborigènes de Patagonie virés de leurs terres par Benetton

Rappel en 2003

L’entreprise Benetton s’est appropriée les terres de la Population Mapuche

Merci Arkébi

Volti

36 Commentaires

  1. Eh bien moi je ne réfléchit pas comme Zénonhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gif
    Pourquoi avancer que la terre pourrait nourrir 9 milliards d’individus sans problème??? pour se donner bonne conscience???
    La terre va supporter 9 milliards pendant 3 siècles? 4 siècles??
    Mais si on est que 4,5 milliards elle nous supportera 6 ou 8 siècles.
    Et en 3 ou 4 siècles de plus, peut être que l’être humain aura évoluer plus favorablement ,pour aller coloniser d’autre planètes……ou pas.

    • Tu as tout lu ? 🙂

    • Ton raisonnement justifie l’affirmation que nous sommes trop nombreux sur Terre, et qu’une réduction de la population à 250/300 millions d’individus, comme l’ont affirmés de nombreux Biens-Zélés (c’est un terme inventé par Zénon dans Babylone 2.0 ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/07/21/dans-lenfer-de-babylone-2-o/ et pour ceux qui veulent…) serviteurs des Zélites Zuniennes dont notre Zident Zupiter en est !

      Et comme ce fut incruster dans les fameuses pierre du Georgia Guidestones : Train à destination pour la Camarde !!! Préparez-vous à partir… Einz, zwei, drei… « Le seuil de l’irréversible a été franchi », déclare Emmanuel Macron lors de la COP23, à Bonn ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2017/11/16/makrel-enmarche-vers-la-reduction-de-la-population/

      Pour avoir discuté avec Zénon sur ce point précis, et bien avant de le connaitre être d’accord sur ce point. En fait, nous pensons qu’il convient (comme certaines sociétés ancestrales et non primitives hein DP ?) pratiquer l’auto-gestion, y compris le contrôle des naissance, mais de nous-mêmes !
      Càd : pour un territoire donné, un nombre d’individus donné. Et pour cela, il faut prendre la décision à l’unanimité, pas à la majorité. Voilà, cela suppose un changement de paradigme complet. C’est d’ailleurs sous-entendu dans le manifeste de la société des sociétés ► https://jbl1960blog.wordpress.com/manifeste-pour-la-societe-des-societes-par-resistance71/ pas en ces termes et il faut l’avoir lu.
      Dans mes tous premiers billets je ne dis pas autre chose, et tu ne peux pas avoir noté que c’est la pression de la société qui oblige les femmes à faire des enfants. Or l’auto-gestion doit se faire en tout et pour tout !
      Si nous nous respectons les hommes et les femmes, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui et savamment entretenu par les Zélites et leurs Biens-Zélés ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2017/11/05/lagression-sexuelle-comme-arme-de-guerre/

      • ils ne veulent pas réduire la population mondial a 500 millions,
        ils pensent qu’une grosse éruption solaire arrivera inévitablement face a la terre.
        cette éruption solaire va déclencher une réaction en chaine sur terre (séisme,volcan,central nucléaire qui explose etc…)
        si il se passe un cataclysme de cette ampleur sur terre et que l’humanité doit tous reprendre a zéro alors,
        absolument tous les commandement des pierres de Georgia Guidestones serons la solution pour faire en sorte de vivre dans un monde meilleur et de ne pas refaire les mêmes erreur…
        tous ceux qui pense qu’ils veulent du mal a l’humanité font fausse route…

      • @ Enki13 = Bah si. D’ailleurs, Ted Turner, milliardaire fondateur de CNN l’a dit en ces termes “Une population mondiale totale de 250/300 millions d’individus, une diminution de 95% de la population actuelle serait idéale”.
        Et lorsqu’on sait que Richard Salant, ex-président de CBS News (dead depuis) a dit ceci : “Notre travail est de donner aux gens non pas ce qu’ils veulent, mais ce que nous décidons qu’ils doivent avoir” tu comprends bien que ceux (toujours anonymes) qui ont fait inscrire les commandements sur les Georgia Guidestones n’étaient nullement bien intentionnés à l’encontre de 95% population mondiale…
        Croire le contraire c’est faire fausse route.
        Quand Macron dit, les femmes africaines font trop d’enfants, mais surtout “nous devons réduire la population mondiale pour sauver la planète” c’est quoi ?

      • “tu comprends bien que ceux (toujours anonymes)”
        c’est signé RC…
        https://fr.wikipedia.org/wiki/Christian_Rosenkreutz
        ———————————————————————————————————————-
        LUCA TURILLI’S RHAPSODY – Rosenkreuz (The Rose And The Cross) :
        https://www.youtube.com/watch?v=bY031PZVNjM
        ———————————————————————————————————————-

      • Est ce que le bon sens à un camp?
        Parce que c’est inscrit sur les georgias guidestones alors il faut penser l’inverse??
        Entre liquider le vivant, et maitriser les naissances il y a une nuance.

        Certains pensent que le gâteau qui est pour 6 personnes ,si on se serrent un peu les coudes on va pouvoir y manger à 12.
        Moi je pense que le gâteau qui est pour 6 personnes, si on est que 3 , il en restera pour demain.
        La différence elle est là.
        Le gâteau c’est pour l’image, il n’y a pas que la bouffe dans la vie, que ceux qui veulent un impact minime sur la planète, se déplacent uniquement à vélo, qu’ils fassent une croix sur les voyages au 4 coins de la planète, qu’ils se débarrassent de toute technologies qui demandent énergie et matière première ,qu’ils habitent une yourte ou habitat assimilé…….
        Des candidats qui le revendique on en trouve, des candidats qui le pratique il faut les chercher.
        Et la majorité elle se trouve où? du coté de la décroissance?? alors l’unanimité j’ose même pas y penser, ou alors après Ragnarök comme dirait Fenrir…

    • en permaculture on pourrait nourrir sans problème 20 milliards d’individus…. le problème c’est plutôt la concentration dans les mégapole et toute la pollution qui en découle du fait d’individus non relier a leur environnement

      • …40 voir 50 milliards et en si prenant bien, par une lyophilisation d’une partie de la population, 70 milliards est envisageable.

      • A quand les tours hydroponique/aquaponique dans des immeubles entier et la viande cloné…?
        http://www.lefigaro.fr/conso/2015/11/25/05007-20151125ARTFIG00177-les-chinois-veulent-cloner-un-million-de-vaches-pour-se-nourrir.php

        Pour bientôt…

      • @engel
        c’est bien de se moquer, mais il y a 25000 m2 de terre arable par habitant sur terre, et avec la permaculture, 2000 m2 par individu sont largement suffisant pour subvenir a tous ces besoins (nourriture, eau, chauffage, etc…) c’est une réalité !

        et encore, je suis loin du compte quand on voit la productivité de la ferme du bec héloin suivit par l’INRA

      • combien d’hectare et d’eau tu laisse aux animaux qui ne veulent pas de leur principal prédateur sur leurs territoire ?
        un T4 pour une girafe en colocation avec un éléphant et un rhinocéros (+un ours blanc dans le frigo ?)
        un studio pour un lion ?
        un tipi pour un bison ?

      • @enki
        5000 par humain, et 20000 (par humain) pour la nature ce serait pas mal non?….mais les 5000 devant être traité sans nuire à la faune et la flore (en permaculture par exemple avec interdiction de tous les produits chimique de synthése et de tous traitements de ce genre) , et donc au total toute la terre reviendrait à la nature 😉

        j’ai d’ailleurs déja répondu a ta question il y a qq mois…

      • @Logic. Il y a en plus moyen d’améliorer avec les techniques d’électro-culture.

        Il y a un ancien magazine qui donnait dans la fin des années 70 des schémas de petits montages qui ont été fait pour l’INRA. Résultat probants. Basés a l’époque sur l’ampli op TL 071. J’avais essayé a l’époque. Le journal s’appelait Électronique Applications et était destiné aux professionnels et étudiants. de 1977 jusqu’en 1989 – ISSN 0243-489X .

      • @thierry
        oui, je compte essayer sur mon potager l’année prochaine avec les techniques de Philip Forer!
        en attendant j’utilise les antennes Lakowsky sur mes fruitiers depuis déja qqs années et les résultats sont là!

      • Pour certains arbres une petite électronique simple et pas coûteuse permet des résultats très surprenants. Il faudra tester quand cela sera possible. donc l’année prochaine.

      • on ne soupçonne pas l’importance de l’électricité naturelle, et à ce propos, ceux qui sont intéressé devrait lire le livre de Mattéo Tavera “la mission sacré” , un rare bouquin sur le sujet…. en cherchant bien on le trouve en pdf

      • @thierry

        volontiers pour l’essai ! 😉

      • L’électricité naturelle? Mais personne ne comprends. Sauf a l’INRA qui a fait des tests dans les années 70. Un petit générateur de courant qui coûte deux ou troix euros te donnent des résultats encore supérieurs. mais pour cela il ne faut pas trop en parler. Cela ferait du tors aux grands groupes qui vivent des engrais et autres saloperies.

      • c’est sûr! et encore on a pas testé “l’ormus” qui a l’air de booster encore plus ces échanges électriques !

      • J’en ai mare de rabacher depuis des années sur le même sujet.
        Fait ton expérience perso en permaculture sur le long terme. Puis fait l’exercice intellectuelle de l’appliquer à tes chiffres et si tu ne trouves pas que quelque chose coince, c’est que tu as découvert l’usine à déchet recyclable surnuméraire!https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

        PS: Les interactions naturelles électriques terre/ air plantes sont connues depuis bien longtemps , exploitées par certains empiriquement depuis des lustres.
        Comme le sont les ondes de formes, mais là c’est plus sulfureux…

  2. Je comprends pourquoi il y a tant de cervelles de moutons sut les étals des tripiers.

  3. 100% d accord avec Zénon l’Ailé, si ce n est qu au rythme ou vont les choses, le système capitaliste va s effondrer tout seul par le poids de sa propre corruption, c est juste une question de temps…

  4. “Non tant par lâcheté que par inconscience, et par culpabilité judéo-chrétienne à l’idée de compter parmi les inactifs, « assistés » et autres poids morts de la société.”

    En effet, quand le pauvre pourra réfléchir en pleine conscience, il s’appercevra que la grêve du travail par sa mise au chomage est la seule voie vers une décroissance, et le seul outil de destruction de la machine…

    Mais attention, quand je dis grêve du travail, il s’agit du travail contribuant a l’esclavage moderne!
    il est evident qu’un travail servant l’intérêt de la communauté proche est tout le contraire! Et cela est possible notamment à la campagne!
    alors oui, des solutions il y en a plein!

    • Vous prenez vos dirigeants pour des cons?

      40ans d’ existence dans 2000 ans d’histoire, cela relève plus de l’exception que de la normalité.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif
      …L’allocation chômage ne date que des années 70.
      Alors, si votre réflexion venait à être populaire, le droit au chômage serait retiré de l’équation du jour au lendemain. …Et le peuple serait mis à la misère.

      De toute façon, c’est ce qui va se passer!
      Car les caisses d’allocs chômage seront bientôt vides, faute de………..travailleurs salariéshttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif.

      • “Vous prenez vos dirigeants pour des cons?”

        oui, mais pas seulement, corrompu, narcissique, sociopathe aussi…

      • je pense que tu n’as pas bien saisi mes propos !
        Depuis que l’oligarchie a découvert le NAIRU, le chômage est utilisé sur les pauvres afin de garantir des salaires le plus bas possible par la peur du chômage!
        Mais le pauvre ne voit pas qu’il peut inverser le pouvoir en se mettant au chômage et en refusant les boulot mal payé, car arrivé a un certain niveau, cela ce traduirait par un “plein emploi fictif” et donc par la situation des 30 glorieuses, seule et unique époque bennie pour les salarié!
        Le plein emploi est la garantie pour le salarié de garder du pouvoir dans la lutte des classe!

        Et pas besoin que tous les salariés se mettent au chômage! tu me fais dire des choses que je n’ai jamais dites ni envisagés 😉

  5. C’est beaux les utopies.

    • Il vaut mieux viser l utopie que la dystopie, non ?

    • Les utopies sont des réalités applicables que certains ne veulent pas croire, ou simplement voir.

      • Et en poussant juste un poil:
        – “Le fou est sain et le sain est aveugle de n’être point fou”.
        …C’est sûr que là, on avance dans le bon sens.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif

      • L’homme est fait de glaise et non d’airain.
        Aucun artiste ne saura transformer la glaise en airain!
        Par contre, le génie, lui saura sublimer le matériau.
        Il n’idéalisera pas la glaise.
        Lui, il la domptera pour la transcender.

        Voilà bien toute la différence entre l’utopiste et le réaliste maître de son milieu.

  6. L’eau sera un problème majeur des générations futures.
    Si vous consommez 10 litres d’eau par jour, vous n’en restituez pas 10 litres à la nature, même en utilisant la technologie spatiale qui récupère transpiration,respiration…..
    Sans eau elle devienne quoi les terres arables?
    En multipliant le problème par 9 milliards, on réduit l’espérance de vie de la planète, et par la même on condamne la possibilité de vie de générations futures.
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    • Oui, l’eau et sa gestion est un véritable problème.

      …Comme bien d’autres.
      A commencer par l’homme en lui-même qui ne sait être que rarement être raisonnable, pas plus que de se contenter de ce qu’il a!
      Alors plus le nombre croit, plus les tensions croissent et plus la déraison s’installe.

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