« Grands » journalistes contre « petits » candidats….

L’enfumage, l’hypocrisie, les trahisons multiples et avariées, envers la charte de Munich, sont le désormais comportement des chiens de garde du système, soumis et collabos, journaleux à leurs heures et grassement payés pour soi-disant, informer le public. Ce sont ces gens là qui façonnent l’opinion publique, pour que les veaux-tants fassent le bon geste surtout avec le bon bulletin, qui légitimera le prochain destructeur (affidé des lobbies et de la finance) de notre pays. Partagez!!!  Vous pouvez lire les principales rubriques de la critique des médias. Merci Mirzabad.

Des candidats à priver de parole, voire à priver de candidature ?

L’élection au suffrage universel d’un Président de la République, quasi inamovible pendant la durée de son mandat, est-elle aussi démocratique qu’elle le paraît ? En juger n’est pas du ressort de la critique des médias telle que nous la comprenons. La méthode des parrainages nécessaires à la présentation d’une candidature est-elle aussi démocratique qu’on le prétend ? Ce n’est pas à notre critique des médias de le dire. Mais dans le cadre de ces dispositions institutionnelles, les règles établies par le CSA et leur interprétation par les grands médias est-elle acceptable ? La réponse est négative. Le pluralisme comptable distingue une période d’équité dont les critères sont arbitraires et une période d’égalité, réduite à une quinzaine de jours : cette comptabilité ne repose sur aucun principe démocratique digne de ce nom, c’est-à-dire respectueux du droit des minorités dont seuls les résultats du scrutin – et non les sondages – permettent précisément d’établir sans contestation possible ce qu’elles représentent, du moins électoralement.

Vigoureusement contestée, notamment par Nicolas Dupont-Aignan qui a, spectaculairement, quitté le journal télévisé de TF1 pour marquer son courroux, l’émission « Le Grand Débat » ne réunissait que cinq candidats. De quoi réjouir quelques « grands » journalistes mobilisés contre les « petits » candidats.

Reléguer les « petits » candidats

Ainsi, le 19 mars 2017, la veille du « grand débat » et le jour même où Le Journal du Dimanche publie quatre pages consacrées à Emmanuel Macron, son directeur de la rédaction, Hervé Gattegno, également éditorialiste à RMC et BFM-TV, délivre un fulgurant message, cette fois dans un bavardage matinal sur Europe 1. Objet de ce message ? donner sa bénédiction au choix de TF1 de n’inviter lors du premier débat pour la présidentielle que les cinq « gros » candidats.

Wendy Bouchard : « Les cinq favoris qu’a choisis d’inviter TF1 et non pas les onze candidats officiellement en lice. Alors, on sait que tout cela fait polémique et on peut le comprendre au nom de l’égalité du temps de parole. Mais vous, vous pensez que cinq, c’est la bonne solution, Hervé Gattegno ».

Hervé Gattegno : «  Évidemment que oui. Si on veut un débat sérieux, un débat où on aborde les vrais thèmes, il faut se concentrer sur les candidats qui peuvent prétendre vraiment gouverner le pays. Vous savez, avec onze candidats, dont un complotiste, deux trotskistes et celui qui veut coloniser la planète Mars, ce n’est plus un débat, c’est un jeu télévisé. C’est à dire que c’est au mieux Question pour un champion, au pire, Le Maillon faible. Donc, ça ne veut évidemment pas dire que les autres candidats, ceux que l’on appelle les ’’petits candidats’’, n’aient pas droit à la parole dans d’autres cadres, y a des règles pour ça ; et d’ailleurs en France, ces règles sont exagérément contraignantes et même un peu bureaucratiques. Comparé aux autres grands pays, cinq candidats pour débattre des grands enjeux de l’élection, c’est déjà beaucoup. Il ne faut pas confondre la démocratie et la cacophonie  ».

Marquons un temps d’hésitation : faut-il dire « hypocrite » ou « faux cul » ? Le subtil éditorialiste multicarte célèbre ici les épousailles de deux arguments. Selon le premier, onze candidats pour un même débat, c’est beaucoup trop. Peut-être… Mais d’autres modalités étaient envisageables qui permettent de confronter à égalité tous les candidats. Peu importe à notre garde-frontières, car son premier argument en dissimule un second : disqualifier par avance, toute morgue dehors, quelques-uns des « petits » candidats. On concédera, certes, qu’ils pourront disposer d’un droit à la parole selon d’autres règles, mais c’est pour contester immédiatement ces règles « exagérément contraignantes et même un peu bureaucratiques », non sans affirmer que cinq candidats, c’est beaucoup, et suggérer sans doute que c’est beaucoup trop. Il est vrai que pour éviter de « confondre la démocratie et la cacophonie », Hervé Gattegno n’envisage pas de limiter les temps d’antenne des éditocrates et leurs bavardages inspirés, notamment sur les chaînes d’information en continu !

Empêcher l’existence même des « petits » candidats ?

Pourquoi le dissimuler ? Bien qu’Acrimed ne soutienne aucun candidat, certaines candidatures ne bénéficient d’aucune sympathie (c’est un euphémisme) parmi nos adhérents et nos sympathisants. Mais, à la différence de quelques géants de l’éditocratie, nous ne ferons pas le tri et nous ne préconiserons pas leur élimination, à la différence de Christophe Barbier qui s’y emploie en toute franchise dans un éditorial du 22 mars.

Drapé dans l’écharpe rouge de son arrogance, il propose de réformer radicalement les conditions d’accès au débat démocratique pour les rendre totalement inaccessibles à celles et ceux qui n’ont pas ses faveurs. Mais avant de formuler ses lumineuses propositions pour un malthusianisme démocratique radical, Barbier s’insurge – c’est le titre – contre « l’agaçante jérémiade des “petits”  » et laisse libre cours à un mépris qui n’épargne personne :
– ni les « petits » candidats forcément «  inutiles  », dont les protestations relèvent d’une «  râlerie de boutiquier qui refuse de reconnaître que ses produits sont mauvais et que son magasin est ringard » et qui assument le risque de faire perdre les candidats légitimes ;
– ni les maires qui leur ont apporté leur parrainage, car ce sont « des élus que motivent la crédulité autant que la charité, la naïveté autant que l’équité » ;
– ni les électeurs qui leur accordent leurs suffrages, puisque «  les ouvriers en voie d’extinction hurlent avec l’extrême gauche » et que « le peuple prend goût au triomphe de l’engouement, au règne du caprice  ».

Un chapelet de sarcasmes et de qualificatifs dédaigneux sur lequel nous ne nous étendrons pas en détail tant il relève d’un genre éditocratique connu, ressassé et… éventé [1].

Mais si l’éditocratie est unanime, ou presque, pour déplorer la profusion de candidats, et, surtout, l’obligation de leur donner la parole, rares en revanche sont les ténors médiatiques à oser préconiser ouvertement des méthodes légales d’endiguement démocratique et de restriction du pluralisme électoral… Christophe Barbier, lui, n’a pas ce genre de pudeur, et tient visiblement en si haute estime le jugement de Christophe Barbier, qu’il explique comment évincer les candidats qui, ne cadrant pas avec l’idée qu’il se fait d’une élection présidentielle, indisposent Christophe Barbier. Le programme de ce faux candidat est impressionnant : suppression «  des primaires ouvertes, trop soumises aux effets de mode et aux embardées utopistes » ; « parrainage obligatoire pour les élus nantis du privilège de signature, mais relèvement du seuil à 2 000, voire 5 000 paraphes  » ; suppression du «  remboursement des frais de campagne » ; obligation « d’investir 577 candidats aux législatives ».

Quelle que soit l’opinion que l’on porte sur elle, cette proposition revient à assurer le monopole de l’élection présidentielle à une poignée de professionnels de la politique. À ce titre, elle est significative de ce que Christophe Barbier représente jusqu’à la caricature : un professionnel des médias qui outrepasse systématiquement les fonctions du journaliste, qu’informer n’intéresse pas, qui se croit fondé à commenter et intervenir dans le débat public à tout propos, tout à tour militant, consultant, voire responsable politique ; un chien de garde, en somme, qui doute si peu de sa propre légitimité qu’il entend circonscrire le périmètre de la vie politique aux frontières de ses propres opinions !

Ah ! Si Christophe Barbier était Président !

Blaise Magnin et Henri Maler [2] pour ACRIMED

Url de l’article http://www.acrimed.org/Grands-journalistes-contre-petits-candidats

Volti

19 Commentaires

  1. Sujet journalisme :
    En france, Mediapart
    https://www.youtube.com/watch?v=RzzlLmRkp04

    Aux States ;
    http://lesakerfrancophone.fr/les-medias-etasuniens-travaillent-main-dans-la-main-avec-la-cia-depuis-les-annees-1950

    La presse a été “tutellisé” de la même manière depuis 2003.

  2. bonjour

    des faits

    “réflexion….prise de décision = conséquences bonnes ou mauvaises”

    je connais les agissements d’un assassin, d’un escroc, d’un voleur………je le glorifie…je le défends…..je le considère comme mon maître = je suis son complice

    la vie humaine, les associations, et comme dans beaucoup d’autres domaines

    rencontre .. conception…naissance…adolescence….adulte…vieillesse … mort =
    naissance pour du nouveau (bon au mauvais)

  3. Merci Volti.

    En fait cet article oublie juste quelque chose d’incontournable: les vrais journalistes !!!

    Ce sont eux les plus grands de tous!!!

    Je pense à :

    Benji et Volti de LME,
    Guy Fawkes, de Fawkes News,
    JBL
    Orné et Akasha
    Agoravox
    LLP
    Panamza
    Sylvain Timsit
    Merlin
    Benjamin Fulford
    Jovanovich
    Thierry meyssan
    etc…
    et tous ceux que j’oublie de citer

    ça fait longtemps que le public ne fait plus confiance aux chroniqueurs “à la botte” où qu’ils sévissent…

    Bravo aussi à tous ceux qui les font vivre, c’est à dire nous tous qui les lisons !!!

  4. de toute façons, si on veux vraiment s’informer sur les “petits candidats” il y’a toujours moyen de passer ailleurs que sur les “grands médias” alignés. chaque “petit candidat” a son site internet, un compte sur you tube, etc..etc..
    et ça les journaleux des “grandes chaines” n’y peuvent rien. du moins pour l’instant. voir l’histoire des fakes news qui commencent a arriver.
    il faut être un peu curieux aussi. il n’y a pas que BFM ou TF1 pour suivre l’info a l’heure du smartphone. même si tout le monde ne possède pas un smartphone j’en conviens.

    • C’est fou le nombre de gens âgés et retraités etc… qui ne comprennent rien à Internet et n’ont pas de aïe-phone, juste la sacro-sainte TV, donc c’est à ceux là que s’adressent les chiens de garde, et ils y en a un paquet!! 😉

      • C’est vrai mais être âgé, retraité et ne pas comprendre grand-chose à internet n’excuse pas tout. Je suis sidérée par le nombre de personnes autour de moi (et pas seulement des seniors) qui ont internet et ne s’en serve que pour jouer ou envoyer des mails. Ca sert à ça bien sûr, mais ignorer la fantastique possibilité de s’instruire, de voyager virtuellement, de connaître d’autres coutumes, d’autres idées que les siennes, c’est tout simplement d’une idiotie totale.
        Quant à la tv, elle permet aussi de voyager car il y a des documentaires intéressants. Pour le reste… mieux vaut l’oublier.

  5. “Je suis journaliste depuis environ 25 ans et j’ai été formé à mentir, à trahir et à ne pas dire la vérité au public” .

    http://echelledejacob.blogspot.fr/2017/03/je-suis-journaliste-depuis-environ-25.html

  6. Mais Volti, comment les chiens de garde pourraient les atteindre s’ils n’ont que la TV comme référence ? Toi, moi, les autres, ne pouvons rien faire car ils ne nous croiront pas…
    Combien de fois n’ai-je alerté mes collègues de travail sur tel ou tel sujet médical ou nutritionnel car c’est ce que je connais le mieux, et je n’étais pas comprise ni crue. Combien de fois encore, ne leur ai-je dit “oui, si j’avais une blouse blanche et un stéthoscope autour du cou et que je passais à la TV comme les acteurs engagés pour la pub, vous me croiriez dur comme fer… ” là c’est pareil…
    J’ajoute cependant, qu’il n’y a pas que les gens âgés, je connais un certain nombre de quadra ou quinqua qui ne jurent que par ce qui est “officiel” à la télé ! avec le raisonnement suivant “si c’était vrai ce serait dit à la télé ” ! combien de fois n’ai-je entendu cette phrase au cours des ans…

  7. Bahh, pas de généralisation. J’ai 70 ans, je n’ai plus la télé depuis des années et je m’informe via les sites de “réinformation”… et je ne suis pas le seul dans ce cas.

    • Idem, et j’ai 60 ans.

      En fait la vague internet est arrivé dans le milieu des années 90, disons en 95.

      Allez, disons il y a 20/25ans pour faire une côte mal taillée.
      Donc,de nos jours les gens agés de 80 ans en avaient 60 à l’époque ce qui n’était pas déjà trop tard pour s’y mettre…
      Par ailleurs si l’on se met à parcourir les sites de réseautage de sorties en groupe du genre “On Va Sortir” ou autres, on se rend vite compte que la tranche sénior 60/80 est assez bien représentée. Et ce n’est là que la partie de ceux “qui aiment sortir”…
      Quelles conclusions en tirer? Hé bien en premier lieu, cette tranche de population sait se servir d’internet. Pourquoi, comment? hé bien pareil: de plus en plus d’associations du 3ème âge proposent des cours d’initiation à l’informatique.
      Contrairement à ce qu’on pourrait croire, le 3ème age sera une des forces du changement !!!
      On ne dupe pas aussi facilement les “sages” surtout s’ils se “ré-informent”.

      Je crois, moi, au contraire de l’idée reçue que “les vieux” votent FN, que c’est tout le contraire, et que les idées d’un certain candidat se référant au CNR ne leur sont pas indifférentes…

      Bon, après il reste la tranche des plus de 80 ans jusqu’à 100 ans et plus… je ne sauais faire de pronostic sur leurs intentions…

      • Non mais attendez!! Mdr Il y a des vieux VRAIMENT VIEUX!! Même à 40 piges (j’en connais) râleurs, jamais contents, comprennent rien, ne croient rien silatévénelapasdit, et ceux qui s’en cognent comme d’une guigne mais qui rouspètent après coup parce que tout va de traviole.. ;)!

  8. pour moi ce qui discrédite le net, c’est surtout qu’il y’a de tout comme “infos”. il faut faire le trie quand même. genre les reptiliens ou les extras terrestre sont sur terre et bien d’autres.
    et ça, les médias officiels s’en servent pour discréditer le web. il y’a des sites alternatif très sérieux et des sites vraiment farfelus. beaucoup d’ailleurs hélas. a nous de faire la part des choses.

  9. journalistes et candidats,c’est le club des mytho
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

  10. Ba oui les petits candidats sont moins mis en avant mais en un sens c’est logique.

    Une personne qui va faire 1% doit t’elle avoir le même temps de parole qu’une à 40% ?
    C’est une vraie question et on peut tout autant argumenter pour, que contre. Les petits candidats se plaignent d’un système qui les désavantages, mais si demain ils deviennent de gros candidats ils seront moins prompts à se plaindre.

    Bref on peut trouver ça injuste qu’un candidat n’est pas le même temps de parole juste parce que son score est faible, mais la mise en avant de candidats faibles au détriment de candidats forts peut être ressenti comme tout aussi injuste par une partie des électeurs. Par exemple le raisonnement suivant ne serait pas faux: de quel droit cette personne a 0,4% sans aucune chance de victoire ( par exemple La Salle) prend du temps de parole à des candidats qui eux vont probablement l’être, il prend du temps sur les ondes et m’empêche d’écouter des projets sérieux (sérieux dans le sens où le candidat peut être élu). Je précise il ne s’agit pas de mon raisonnement, mais certains peuvent voir de cette manière.

    Quelque part le système actuel sur l’égalité du temps de parole est un peu mixte, on entend parler des petits candidats tout en laissant un plus grand temps de parole pour les gros candidats. Ainsi on a tous entendu parler de Poutou, DA, ou Cheminade. Car déjà candidats lors des élections précédentes, c’est la preuve que ça marche un peu. Les petits candidats ont une tribune pour se faire connaître, et en théorie les électeurs doivent se renseigner par eux même. L’échec de DA n’est pas imputable uniquement aux médias; son discours, ses solutions ou sa personne ne sont simplement pas au goût de la majorité des électeurs.

    J’imagine que en mettant cela Mirzabad pense notamment à l’UPR. Nul doute que si le parti monte comme tu l’espère Asselineau sera invité le soir même sur toutes les télés. Le silence des médias à l’égard des petits candidats est plurifactorielle, pour l’UPR par exemple il est estimé comme négligeable par beaucoup, avec les 0, 7% (de mémoire) lors des dernières élections. Or on ne parle pas du négligeable, le temps d’antenne est précieux, il faut le rationnaliser. Et je passe sur les raisons tel que l’audimat, les pressions, etc…

    De toute manière le système de la Veme République n’est pas vraiment adapté à une élection faite en toute égalité en ce qui concerne le mandat de président. Donc sa se fera probablement jamais une élection où chacun est égal.

  11. Bonjour amies moutonnes et moutons,

    A peu de variantes prés l’histoire tourne en boucle. Comment pouvons nous éviter ces horreurs.
    Pour les éviter il faudrait déjà ne pas les oublier mais aussi les connaître et surtout les comprendre en toute neutralité. Cela ressemble à un test auquel nous, nous tous, être humain, nous échouons systématiquement car nous n’avons toujours pas compris que ce n’est pas un test individuel mais un test collectif. Que les problèmes ne sont pas les événements mais simplement nous. Plus grand et le pouvoir plus fortes sont les responsabilités. C’est d’EVOLUTION qu’il s’agit.

    Un test collectif c’est beaucoup moins d’ego, de suffisance, de nombrilisme, d’indifférence, de superbe, d’ignorance, de cruauté, d’avidité, de certitude, de perfidie, de gaspillage, de mercantilisme …
    Ce devrait plutôt être le respect de tout, de nous, des animaux, de la nature, l’entraide, le soutien, l’honnêteté intellectuelle, la loyauté, …

    Remarquez que si l’histoire boucle toujours, à chaque tour les moyens ont évolué. Nous sommes passés du sabre, au mousqueton puis à l’arme automatique, au canon, au chimique et au nucléaire. Comme si nous avions presque consommé toutes les boucles.

    Le documentaire que je vous propose est à mon avis intemporel. Remplacez les noms d’avant par les noms de maintenant et de même pour les dates, il correspondrait presque à notre époque.

    Est-ce que la situation peut évoluer favorablement ? Je ne sais pas, je ne suis qu’une goutte d’eau, mais laissez moi rêvez que oui.

    Du Travail ou du pain (Front populaire).
    1/4 14’48’ ‘ https://www.youtube.com/watch?v=lPomz4D8hW0
    2/4 14’53’ ‘ https://www.youtube.com/watch?v=zJKGCWzSv9c
    3/4 11’38’ ‘ https://www.youtube.com/watch?v=_dOrlHFMumc
    4/4 08’27’ ‘ https://www.youtube.com/watch?v=GX-QSIk6e10

  12. Slt les ME.
    Je viens d’arriver dans les alpes pour une semaine de repos bien mérité… enfin.

    On s’est arrêté sur une ère d’autoroute pour faire le plein et je me suis arrêté devant les magasin dans le magasin.

    Sur toutes une étagère, que la tête de Macron … paris match et consorts n’avait d’yeux ‘dieu’ que pour lui.

    Je vous plein me voisin on vous volera encore votre élection.

Les commentaires sont clos.