Un patron offre sa boîte à ses salariés… et renonce à 4 millions d’euros !…

Un geste d’autant plus fort qu’il est rare. Bravo à ce patron, auquel les collaborateurs peuvent chanter “Merci Patron”.

Quand certains patrons licencient pour engranger les bénéfices, d’autres, à l’inverse, renoncent à leur fortunes pour préserver l’emploi. C’est le cas de Éric Belile. Plutôt que d’encaisser 4 millions d’euros de dividende à son départ en retraite, ce chef d’entreprise a préféré faire cadeau de sa boîte à ses salariés ! Lumière sur une décision aussi rare que généreuse. Eric Belile, 56 ans, est à la tête de La Générale de Bureautique, une entreprise de 40 salariés qui commercialise des imprimantes à Nantes. Bientôt, pour lui ce sera la quille. Mais pas question pour autant de céder son entreprise au plus offrant. Ça serait prendre le risque de licenciements et ça, il n’en est pas question !

L’homme d’affaires a donc décidé de donner la boîte à ses travailleurs et de former lui-même les 5 salariés qui reprendront les rênes ! Tant pis pour les 4 millions d’euros. Pourquoi un tel choix ? L’homme s’est confié au micro de BFMTV :

Voir la vidéo

Source Positiv.fr

Le site positiv.fr regorge de photos, vidéos, articles qui remonte le moral, présente des solutions, des innovations, de l’insolite, un véritable anti stress. Visitez le et si vous dénichez une “perle”, partagez..

Volti

6 Commentaires

  1. Je pense que tous les hommes n’ont pas les mêmes aptitudes. Certains sont doués pour la gestion et les responsabilités ,d’autres sont plus aptes à l’exécution et préfèrent suivre des consignes. Il n’entre pas dans cette opinion de jugement de valeur mais simplement je crois que forcer les gouts et la nature des personnes n’est pas souhaitable. Chacun comporte sa part d’inné. N’en déplaise il y aura toujours des chefs et des subordonnés. Les seconds ne sont pas toujours les plus à plaindre. La mode actuelle au sein des entreprises qui parle de “collaborateurs” au lieu de “salariés” n’est qu’une hypocrisie de plus. Certes tout le monde y est sur le même bateau et a intérêt à ce qu’il flotte. Pourtant tous ces passagers ne logent pas sur le même pont et lorsque le bateau coule, les billes sont immanquablement redistribuées. Je souhaite bonne chance aux repreneurs de cet établissement.

  2. Salut les enragés.

    La lecture de cet article m’inspire deux réflexions.

    1° Pour une fois, BFM diffuse quelque chose vraiment digne d’intérêt.

    2° Ce gars nous donne un bel exemple de philanthropie, que beaucoup devraient suivre, j’espère simplement qu’il aura pensé à inclure une clause irrévocable dans les statuts de sa boite, à savoir que son (ou ses) successeur(s) à la tête de cette entreprise soi(en)t tenu(s) de faire de même le moment venu… Pour que son geste de grand Seigneur ne soit pas vain…

    • J’ai pensé la même chose, mais il y a aussi les compétences, si lui s’est montré bon gestionnaire, il faut que la suite assure, sinon son geste aura été vain.. 😉

  3. en voilà un qui a compris que sans salariés pas d’entreprise ni de patrons et encore moins de riches patrons

    Bravo Monsieur

  4. Bravo à cet homme !!!!

    BFM devrait passer en boucle sa façon de penser, de voir l’avenir !!

    Encore merci pour cette bonne nouvelle Volti 😉

  5. Un pas probable vers l’autogestion ce qui n’est pas un mal face à tous les groupes (1) qui s’imposent de plus en plus et tuent les petites entreprises.

    1) La mafia internationale ne peut pas voir d’un bon oeil de telles initiatives.

Les commentaires sont clos.