Les vaccins combinés pour enfants ne sont pas sûrs

Vacciner son enfant? Oui, si les vaccins sont réellement indispensables et utiles, mais dans la limite du raisonnable, car il ne faut pas oublier qu’entre autres motifs, et comme dans beaucoup d’autres domaines médicaux, la vaccination est avant tout une histoire de gros sous et pas à l’avantage des patients. Le professeur Joyeux a tenté d’alerter les gens sur le sujet, réduit au silence, il vient de se voir notifier sa radiation de l’ordre des médecins.

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Bien que le CDC recommande les vaccins contre la poliomyélite, l’hépatite B, la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, le rotavirus, l’haemophilus influenzae de type B, ainsi que les vaccins contre le pneumocoque pour les nourrissons de deux, quatre et six mois, la combinaison de ces huit vaccins au cours d’une seule visite chez le médecin n’a jamais été testée pour sa sécurité au cours d’essais cliniques. (USA)

 

Commentaires de Brian Shilhavy, Health Impact News 18 juin 2016

 

L’une des grandes tragédies des temps modernes est la censure quasi-totale dans les grands médias par rapport à toute information qui jetterait une lumière négative sur les vaccins. Comme nous l’avons signalé de nombreuses fois dans Health Impact News, la « science » ayant trait aux vaccins est loin d’être « établie », et les médecins ne sont pas unanimes dans leurs opinions au sujet des vaccins.

Par rapport aux deux positions extrêmes, allant des médecins qui ne croient pas du tout aux vaccins jusqu’aux médecins qui croient que tous les vaccins sont sûrs et devraient être administrés à tout un chacun, par la force si nécessaire, il existe de nombreux médecins qui se situent entre ces deux positions extrêmes. Certains médecins croient qu’il serait utile de retarder les vaccinations, certains croient qu’il conviendrait d’administrer des doses uniques et rejettent les doses multiples, d’autres accepteraient certains vaccins tout en rejetant ceux qui ne semblent pas leur convenir ; ces médecins veulent évaluer chaque vaccin selon leurs propres mérites et leur pertinence pour tel ou tel patient. (Pour en savoir plus sur ce sujet voir : Medical Doctors Opposed to Forced Vaccinations- Should their Views be Silenced ?)

Pourtant, c’est uniquement la position extrémiste qui prétend que tous les vaccins sont sûrs et appropriés pour tout le monde, par la force si nécessaire, qui est présentée par les médias traditionnels et par le gouvernement des Etats-Unis. Le business pharmaceutique de plusieurs milliards de dollars exerce, il va sans dire, une influence considérable sur la politique des médias et sur celle du gouvernement.

Neil Miller a publié une excellente étude dans le Journal of American Physicians and Surgeons sur les effets que peut avoir l’administration combinée de plusieurs vaccins à un enfant au cours d’une seule visite médicale. Le CDC (Centres Américains de Contrôle et  de Prévention des Maladies) lui-même admet qu’aucune étude de sécurité n’a été menée sur l’administration de vaccins à doses multiples.

L’administration de vaccins combinés au cours d’une seule visite médicale n’est pas sans danger.

Par Neil Z. Miller : Journal of American Physicians and Surgeons, Volume 21, Number 2, Summer 2016. http://www.jpands.org/vol21no2/miller.pdf

Résumé

Bien que les autorités de Santé, y compris le CDC, affirment que les vaccins de l’enfance sont sans danger et recommandent l’administration combinée et simultanée de plusieurs vaccins, un examen des données  et rapports du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) montre une association dose-dépendante entre le nombre de vaccins administrés simultanément et la probabilité d’hospitalisation et de décès pour des réactions indésirables. En outre, plus l’enfant est jeune au moment de la réaction indésirable, plus élevé est le risque d’hospitalisation ou de décès.

 

Contexte

Dans les années 1980, les fabricants de vaccins ont été fréquemment poursuivis par des parents d’enfants qui sont restés handicapés à vie ou sont décédés après la vaccination. Après avoir payé des millions de dollars dans ces poursuites, les fabricants de vaccins étaient prêts à arrêter la production de vaccins, à moins que le gouvernement fédéral leur accorde l’immunité juridique.

En réponse à la menace des fabricants de produits pharmaceutiques de fermer leurs productions de vaccins, le Congrès a adopté le « National Childhood Vaccine Injury Act (NCVIA) » pour protéger les fabricants de vaccins. Le « National Vaccine Injury Compensation Program (VICP) fut également créé pour fournir un arbitrage par rapport aux dommages causés par les vaccins. Il s’ensuit que les fabricants de vaccins ne peuvent plus être poursuivis devant un tribunal d’état ou un tribunal  fédéral pour des dédommagements ayant trait à des dommages de santé ou à des décès résultant de vaccinations […]

L’indemnisation prévue par ce programme est payée par une taxe de 75 cents prélevée sur chaque vaccin acheté (par exemple, pour le ROR qui contient 3 vaccins, la taxe sera de 2,25 dollars). Cet argent aboutit dans un fonds géré par le Département du Trésor des Etats-Unis.

Au 1er mars 2016, plus de 3,2 milliards de dollars avaient déjà été versés. La majeure partie pour indemniser les parents dont les enfants avaient été gravement handicapés ou étaient morts après avoir reçu des vaccins [1]

Aujourd’hui, le business lucratif des fabricants de vaccins leur permet de faire, annuellement, des millions de dollars de bénéfices, mais ils n’ont guère été incités à produire des vaccins plus sûrs, du fait qu’ils sont à l’abri de toute responsabilité quand leurs vaccins obligatoires provoquent des dommages de santé chez ceux qui les reçoivent.

 

Système de déclaration des événements indésirables (Vaccine Adverse Event Reporting System – VAERS)

La nouvelle loi fédérale a également exigé que le personnel médical signale les effets présumés des vaccins à un système de rapports centralisé. C’est comme cela que le VAERS a été conjointement géré par le CDC et la Food and Drug Administration en 1990.

VAERS est un programme de surveillance de la sécurité nationale des vaccins qui collecte des informations sur les effets indésirables possibles des vaccins ; Cette grande base de données est accessible au public, y compris à des chercheurs indépendants. [2]

Le VAERS est un système de surveillance passive ; ce qui signifie que les rapports sur les événements indésirables ne sont pas collectés automatiquement. Le VAERS s’appuie sur les déclarations volontaires des médecins et des infirmières. Il est cependant à noter que des individus ou des parents peuvent aussi transmettre des rapports. Quant aux fabricants de vaccins, ils sont tenus de signaler les événements indésirables dont ils ont connaissance.

Depuis 1990, la base de données du VAERS a reçu plus de 500.000 rapports d’effets indésirables soupçonnés d’être attribués aux vaccins. Bien que cela représente un grand nombre de personnes dont la santé a pu être endommagée par les vaccins, la sous-déclaration est une limitation connue des systèmes de surveillance passive. Cela signifie que le VAERS n’est informé que d’une petite fraction des événements indésirables qui se produisent en réalité. En fait, peu après la création du VAERS, un grand fabricant de vaccins Connaught Laboratories a estimé que dans pareil système passif il pouvait exister une sous-déclaration de 50%. [3]

Il est même possible que 98% de toutes les réactions indésirables des vaccins ne figurent pas dans les bases de données du VAERS. Il serait donc possible qu’au cours des 25 dernières années, 25 millions d’Américains aient eu la santé endommagée par les vaccins.

Cet inconvénient bien connu d’un système de déclaration passive, par opposition à un système de surveillance active dans lequel les travailleurs médicaux seraient formés pour recueillir systématiquement tous les cas présumés d’effets secondaires des vaccins, est rarement reconnu par les autorités de Santé lorsqu’il est question de la sécurité des vaccins.

Bien que le VAERS recueille l’information sur les événements indésirables qui surviennent après l’administration de vaccins, il convient de noter qu’un rapport n’est pas une confirmation que le vaccin a provoqué l’événement. Les autorités sanitaires aiment insister sur ce point chaque fois que les données du VAERS sont utilisées dans une étude qui présente des résultats critiques sur les vaccins. Il s’ensuit que les études utilisant les données du VAERS ne sont pas fiables et doivent être ignorées ; Toutefois, le CDC estime que le VAERS est un outil d’évaluation important de l’innocuité des vaccins. Le CDC mène d’ailleurs régulièrement ses propres études en utilisant les données du VAERS, et souvent pour justifier le maintien des campagnes nationales de vaccination.

 

Etudes du CDC qui se basent sur les données du VAERS

En mai 2015, le CDC a publié une étude dans Clinical Infectious Diseases. Cette étude analysait dans la base de données du VAERS les rapports d’événements indésirables graves après la vaccination ROR chez les adultes.

Les chercheurs du CDC ont constaté que le vaccin avait souvent été administré à des femmes enceintes, groupe pour lequel le vaccin était contre-indiqué. […] Bien que 5% des cas étaient jugés graves et comprenaient même des décès, les chercheurs du CDC ont conclu que « au cours de notre examen des données du VAERS, nous n’avons pas détecté des problèmes nouveaux ou inattendus de sécurité en ce qui concerne la vaccination ROR chez les adultes. » [4]

 

En novembre 2014, le CDC a publié une étude dans le journal Vaccine. Cette étude analysait les rapports du VAERS relatifs au vaccin vivant atténué contre la grippe (LAIV3). Bien que 8,9% des rapports étaient qualifiés de graves (problèmes cardiovasculaires, problèmes neurologiques et décès), les chercheurs du CDC ont conclu que : « L’examen des rapports du VAERS montre qu’ils sont rassurants. La seule préoccupation inattendue du point de vue de la sécurité du LAIV3 qui a pu être identifiée fut un nombre plus élevé que prévu du « Syndrome de  Guillain Barré » dans le Département de la Défense. La chose est à l’étude. » [sic] [15]

En juin 2013, le CDC a publié une étude dans la revue Pediatrics. Cette étude a analysé la base de données du VAERS pour pouvoir évaluer les problèmes d’intussusception (invagination intestinale) chez les receveurs de deux vaccins antirotavirus, le RotaTeq et le Rotarix

(L’invagination est un problème intestinal grave qui peut nécessiter une intervention chirurgicale d’urgence et qui peut être fatale). Bien qu’il y ait des centaines de cas d’intussusception qui se produisent 3 à 6 jours après la première dose du vaccin Rota Req, les chercheurs du CDC ont conclu que le risque accru d’invagination « était compensé par les avantages de la vaccination contre le rotavirus.» [6]

Ces études et d’autres confirment que le CDC considère que le VAERS est un outil post-marketing important pour la surveillance de la sécurité des vaccins. Par conséquent personne ne devrait se laisser influencer à croire que la base de données VAERS ne contient pas des données brutes extrêmement précieuses pouvant être utilisées par des chercheurs indépendants qui réalisent des études pour évaluer l’innocuité des vaccins rendus obligatoires aux Etats-Unis. A titre d’exemple, Mark Geier, M.D., PhD. chercheur indépendant et ancien membre du National Institutes of Health (NIH) , a publié plusieurs études utilisant les bases de données VAERS pour montrer que les vaccins contenant du Thiomersal (mercure) augmentent de manière significative les chances de développer des troubles neurologiques, dont l’autisme. [7-9]

Les chercheurs indépendants Lai et Yew qui ont également utilisé la base de données VAERS ont découvert que les patients qui ont reçu un vaccin contre le zona (Herpès zoster) étaient deux fois plus susceptibles de développer ultérieurement de l’arthrite ou de l’alopécie par rapport à un groupe-témoin non vacciné. [10]

D’autres chercheurs indépendants ont utilisé les données du VAERS pour documenter de nombreux problèmes de sécurité des vaccins ; certains de leurs articles revus par des pairs sont résumés dans la revue de Miller of Critical Vaccine Studies. [11]

Suite et références médicales sur Initiativecitoyenne.be

Petit rappel intéressant sur le nombre de vaccins recommandés depuis quelques années, l’évolution est incontestable en ce qui concerne les États-Unis, reste à fouiller un peu pour les autres pays…

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Benji

12 Commentaires

  1. Benji,

    je te cite : …”Il faut bien comprendre une chose, uniquement en France, le principal vaccin obligatoire est utilisé pour lutter contre trois maladies: Rubéole-Oreillons-Rougeole, mais le vaccin ROR n’existe plus, seuls des vaccins permettant de lutter simultanément contre 7 voire 8 maladies sont en vente, cherchez l’erreur…”…

    ôte-moi un doute :

    il me semble que le seul vaccin obligatoire en France est le DTP (vaccin trivalent diphtérie/tétanos/polio, dont la version sans adjuvants n’est plus disponible depuis plusieurs mois ; pour info, il existe/existait ? aussi des vaccins monovalents Tétanos, Polio ou bivalents Diphtérie/tétanos) (+ celui contre l’hépatite B mais exclusivement pour les professionnels de santé),

    et non le ROR (rougeole/oreillons/rubéole), qui fait lui partie des vaccins “chaudement” recommandés

    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

  2. Bonjour LME,
    Une erreur dans la presentation de l’article : les vaccins obligatoires en France sont contre la Dyphterie, le Tetanos et la Poliomelite. Tous les autres vaccins sont recommandés. Le principe de la vaccination est de preparer le corps a mettre en oeuvre une reponse immunitaire le cas echeant car la production d’anti corps est lente. Mais c’est bien le corps lui meme qui produit les elements necessaires a sa sauvegarde. Le vaccin est un stimulant.
    1) Il est donc inutile de vacciner pour des maladies benignes car le corps ne sera pas en danger dans l’intervalle de temps entre l’infection et la duree necessaire a la reponse immunitaire.
    2) certaines maladies sont necessaires au developpement du processus immunitaire de l’enfant : les maladies infantiles fortifient le corps et ne sont generalement pas mortelles pour l’enfant. La rougeole tant decriee n’est pas mortelle en elle meme c’est le risque de convultion qui est dangereux. Ce risque lie a la fievre peut etre tres bien gere en etant attentif au petit malade et en prodiguant les soins pour enrayer une trop forte température si besoin.
    3) certains vaccins exposent le patient a des risques plus importants que la maladie elle meme. On marche sur la tete dans cette categorie. Mais comme y a du fric a faire avec la peur des gens…
    4) en france le lobby vaccin est tres puissant est possede ces relais au sein des structures administratives qui decident des politiques de sante. Les hommes politiques sont roules dans la farine et la plupart du temps ils ne font qu’avaliser les decisions proposées par ces agences.
    5) les medecins n’ont pas leur mot a dire en matiere de politique de sante. Ils doivent obeir ou sont radies de l’ordre des medecins. Ce sont les labos qui financent les programmes des etudiants de Medecine. Evidemment les cours sont tres orientes , dirons nous, vers le tout Allopathie. Normal les labos financent les etudes des medecins en retour les medecins diplomes doivent respecter les maitres qui les ont éduqués…
    6) La France est le seul pays d’Europe ou la vaccination est encore obligatoire.
    7) au etztzunie 50 injections, 70 vaccins est un taux d’autisme chez les enfants multiplie par 10 voir plus…. La courbe de la fréquence de l’autisme suit celle de l’augmentation du nombre d’injections. Mais soyons rassures il n’y a aucun lien entre les deux phénomènes, juste le hasard.
    8) n’importe qu’elle maladie peut devenir mortelle…5000 morts par an en France a cause d’une simple grippe. Et pourtant tous nos petits vieux sont vaccines contre la grippe. Peut etre meme pourrait il y avoir… Non je vais trop loin, mon imagination me joue des tours.
    9) la peur est mauvaise conseilliere les labos comptent la dessus pour vendre leur produits.
    Y en a assez ou il faut abonder encore et encore pour faire comprendre qu’on est manipule pour que certains s’enrichissent sur notre dos.

  3. Juste une remarque.
    Le tout allopathie s’est impose en Occident apres la deuxieme guerre mondiale. Les nazis avaient fait beaucoup de recherches sur la chimie. Les etztzunis ont “récupérés” beaucoup de scientifiques nazis….c’est juste une coincidence !

  4. Il est reconnu que les bébés bénéficient pendant une bonne année de l’immunité transmise par la mère. or, en les vaccinant on leur injecte des poisons qui nutralisent précisément cette immunité. D’où un nombre impressionnant, qui ne cesse d’augmenter d’ailleurs, d’enfants asthmatiques, autistes, toujours malades etc… mais le lobby pharmaceutique est tel, la pression subie par les jeunes parents itou, que ceux-ci croient bien faire en toute conscience, détruisant ainsi la santé de leurs petits, santé qu’ils croient protéger !
    Il est avéré que les enfants qui ont “échappé” aux vaccinations se portent très bien au contraire des autres.
    A une maman qui voulait inscrire sa petite fille en maternelle il a été répondu d’un ton indigné par la directrice :

    “mais madame, elle n’est pas vacciné, si elle attrape la rougeole ou la coqueluche elle va la transmettre aux autres !”

    réponse très intelligente de la maman ” si tous les autres enfants sont vaccinés contre cette maladie, ils sont immunisés non ? alors elle ne leur transmettra rien du tout” !
    la directrice n’a su quoi répondre à cette logique et s’est retranchée d’un air scandalisé derrière les ordres reçus. Je ne sais plus comment l’histoire s’est terminée, mais je crois me souvenir que la maman a eu gain de cause en passant par je ne sais plus qui ou quoi.

  5. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_mail.gif Ceci n’est rien d’autre qu’une autorisation de génocider:
    “En réponse à la menace des fabricants de produits pharmaceutiques de fermer leurs productions de vaccins, le Congrès a adopté le « National Childhood Vaccine Injury Act (NCVIA) » pour protéger les fabricants de vaccins. Le « National Vaccine Injury Compensation Program (VICP) fut également créé pour fournir un arbitrage par rapport aux dommages causés par les vaccins. Il s’ensuit que les fabricants de vaccins ne peuvent plus être poursuivis devant un tribunal d’état ou un tribunal fédéral pour des dédommagements ayant trait à des dommages de santé ou à des décès résultant de vaccinations […]” https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yes.gif …un permis de TUER quoi ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_negative.gif

  6. Permis de tuer ? Oui, tout à fait ! qu’a-t-on besoin de vacciner un bébé contre le tétanos ? Contre la diphtérie ? Il ne marche pas, il n’est pas sensé boire de l’eau croupie… L’intention est claire, et on va encore nous traiter de complo***es.
    Oui, bien sûr, il y a aussi l’aspect financier. Mais ne peut-on pas faire de l’argent avec de bons produits ? Naïve, que je suis naïïïve !! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

    Bien sûr qu’il faut laisser les enfants attraper les maladies qui vont renforcer leur système immunitaire. On en accompagne le déroulement pour éviter les dérapages, c’est tout.

  7. Au fait, si vraiment il y a des lecteurs du blog qui font quand même vacciner leurs enfants, voyez un homéopathe. Il existe en homéopathie de quoi limiter les dégâts. Même si, avec un tel cocktail, on n’est jamais sûr de sauver les enfants qui le reçoivent…

  8. Bonjour à tous, nous voilà enfin dans l’impasse des vaccins, notre fille de 3 ans (née mars 2013) n’était pas vaccinée, doit l’être avant fin décembre 2016 si nous souhaitons qu’elle reste inscrite à l’école Montessori de notre ville, ce sera sa première rentrée scolaire.
    La crèche a toléré sans problème, le centre de loisir pour cet été à également accepté.
    Maintenant la pédiatre nous propose le tétravalent et notre médecin homéopathe nous propose le Revaxix car le corps mêdical n’oblige plus l’age de 6ans pour le faire….. Nous sommes perdu dans ce choix délicat sur les effets secondaires que chacun peuvent provoquer.
    Une dose d’aluminium élevée ou des adjuvants dont l’acide acétique?

    Que faire dans cette situation où Les Grands font pression et encore plus cette année ?!

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