Tout savoir sur les aliments raffinés

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Pourquoi raffiner ?

Les aliments raffinés n’apportent que des “calories vides” car très appauvries de vitamines et oligo-éléments, nutriments catalyseurs indispensables en particulier à une bonne assimilation. En effet, la digestion fait intervenir des réactions biochimiques qui consomment ces catalyseurs : s’ils ne sont pas présents dans l’aliment, ils seront prélevés dans l’organisme, qui verra ainsi sa réserve s’appauvrir d’autant plus qu’elle n’est pas ou peu renouvelée. Il est médicalement absurde de raffiner des aliments car alors, leurs calories et leurs matériaux nutritionnels se comportent en parasites plutôt qu’en alliés.

Le but principal de cette pratique est de prévenir l’altération de ces aliments, en supprimant des substances réactives et ainsi de pouvoir les stocker facilement.
Légitime lorsqu’il fallait prévenir les risques de famine, cette nécessité a été satisfaite par l’ère industrielle.


Ces stocks sont, aujourd’hui, coûteux à gérer, à l’origine de campagnes publicitaires incitant à consommer des aliments dévitalisés, et ils représentent un scandale permanent alors que le Tiers-Monde souffre de sous-nutrition. Il suffirait de stocker raisonnablement et à employer des produits frais non dénaturés pour l’usage courant.

Le consommateur doit rétablir l’équilibre en refusant des aliments inadaptés à la physiologie et préjudiciables à long terme : ils favorisent les maladies de surcharge et, pour certains d’entre eux, le processus de cancérisation.

Raffinage des céréales

Eventail concerné par ce raffinage : des farines blanches (pains, biscottes, pâtes, pâtisseries, etc…), aux graines “blanchies” (riz blanchi, orge perlé, etc…).

Le gâchis du raffinage des céréales

L’une des erreurs majeures de l’alimentation moderne consiste à délaisser les céréales tablo-aliments-raffinescomplètes, qui ont toujours constitué – associées avec les légumineuses – un des piliers de l’alimentation. Leur haute valeur nutritionnelle est très amoindrie qualitativement par le raffinage, qui, par contre, augmente leur pouvoir calorique.

Les céréales traitées par l’industrie alimentaire sont ainsi mises à l’index par les prescripteurs de “régimes”, alors que le produit originel permet, au contraire, de réguler le poids tout en mangeant à sa faim grâce aux fibres.

Le raffinage consiste à enlever les enveloppes adhérant à l’amande centrale du grain par usinage sur des cônes d’abrasion. Le grain perd ainsi la couleur brune du son : il “blanchit” et, s’il est “glacé”, subit ensuite un enrobage de glucose et de talc.

Or, ces enveloppes sont riches en nutriments de qualité :

  • protéines : en association avec celles des légumineuses au cours d’un même repas, elles assurent un apport protéique équivalent à celui des produits animaux.
  • fibres : leurs propriétés sont multiples. Elles constituent l’une des clefs du succès d’une réforme alimentaire. Leur carence facilite nombre de maladies.
  • minéraux et oligo-éléments variés : notamment phosphore, magnésium et calcium
  • vitamines : surtout du groupe B, si importantes pour les réactions métaboliques qui sous-tendent la nutrition et l’équilibre nerveux.

Remarques :

  • les pertes importantes concernent les fibres, les minéraux et les vitamines.
  • la perte en protéines est, en poids, relativement faible (présence dans l’amande, de gluten mêlé à l’amidon. Le gluten est également de nature protéique, sa valeur nutritionnelle est moindre que celle des protéines des enveloppes éliminées (son intérêt réside surtout dans ses propriétés de panification).
  • le raffinage concentre la céréale en amidon. Il augmente donc sensiblement sa valeur calorique intrinsèque. Mais, en réalité, importe avant tout la notion d’index glycémique, nettement plus élevé avec la céréale raffinée du fait de l’appauvrissement en fibres.

Conséquences métaboliques et pathologiques induites par le raffinage des céréales

  • Une céréale a un effet hyperglycémiant (élévation du taux de sucre dans le sang après son ingestion) plus marqué si elle est raffinée.
    Ensuite, la baisse du taux de sucre dans le sang, avec hypoglycémie réactionnelle, s’observe comme avec du sucre très concentré (saccharose), alors qu’avec la céréale complète, l’augmentation de la glycémie est nettement moins élevée, mais répartie sur une plus longue durée, sans hypoglycémie réactionnelle.
  • L’amidon, à condition d’être ingéré avec des fibres et des éléments catalytiques, est le sucre de l’endurance.
    Par contre, l’amidon des céréales raffinées provoque des à-coups caloriques (cependant moindres que ceux du saccharose raffiné). Ils ont pour conséquence de faciliter la tendance à l’excès de poids et le surmenage pancréatique (sécrétion d’insuline proportionnelle aux pics glycémiques), d’où risque diabétique à long terme, si le terrain du sujet est prédisposé.

Or, les céréales complètes s’opposent précisément à ces deux tendances !
Le cas particulier des céréales est très démonstratif d’un fait général : le raffinage, non seulement dénature et appauvrit l’aliment, mais transforme ses vertus en influences pathogènes.
Le raffinage des céréales a eu pour conséquence également de rendre caduc l’un des dogmes de la nutrition : la notion de “sucres simples rapides” et de “sucres complexes lents”.
Les sucres de structure moléculaire simple (constitués d’1 ou 2 molécules: glucose, fructose, saccharose, lactose, etc … .) étaient considérés comme absorbés rapidement, et l’amidon, sucre complexe (formé d’une longue chaîne de molécules de glucose), comme absorbé lentement.
En réalité, l’amidon, s’il est ingéré isolément, est assimilé presque aussi vite (20 à 30 minutes), en raison de l’équipement enzymatique du tube digestif qui le scinde simultanément en plusieurs endroits.

Il ne faut donc pas raisonner en termes de vitesse d’assimilation, mais en termes d’effet plus ou moins hyperglycémiant induit, effet défini par l’index glycémique.
Plus cet index est élevé et plus la sécrétion d’insuline est importante. Or, cet index glycémique est bas pour les céréales complètes, et il s’élève lorsqu’elles sont raffinées.
Le même phénomène est observable lorsque l’on compare un fruit aqueux frais, contenant fructose, fibres et vitamines, et le sucre blanc raffiné (saccharose pur).

Remarque : un index glycémique égal ou supérieur à 60 favorise l’hyperinsulinisme, donc le surmenage du pancréas. En réalité, c’est la richesse en fibres qui détermine la bonne tolérance aux glucides, plutôt que la composition chimique de ceux-ci (effet “tampon” des fibres).

Réduction de l’éventail nutritionnel

  • Appauvrissement en vitamines, minéraux et oligo-éléments
    Les états de sub-carence, voire de carence, en ces éléments essentiels sont de plus en plus fréquents dans les sociétés de surconsommation. Ils sont la conséquence des procédés agricoles intensifs et des procédés de l’industrie alimentaire.
  • Élimination des protéines des enveloppes du grain
    Lors d’un repas, les céréales ne sont plus consommées que pour leur amidon tout comme une pomme de terre, pour accompagner une viande ou un poisson. Or, une céréale complète peut constituer, associée à une légumineuse et à des légumes, le plat principal du repas (apport protéique équilibré).
    Cette association permet d’enrichir la variété des menus en alternant des repas de type végétarien (dépourvus de graisses) et des repas comportant des produits animaux (les viandes, par contre, contiennent des graisses saturées caloriques qui favorisent l’athériosclérose).
  • Réduction des fibres dans l’alimentation et maladies induites
    Jadis, céréales et légumineuses constituaient la base de l’alimentation, assurant ainsi sa richesse en fibres. Ce n’est plus le cas depuis l’après-guerre.
    En France, la consommation moyenne de fibres est actuellement <à 20 g/jour, alors qu’elle devrait être de 40 g.
    Il existe une corrélation nette entre le développement socio-économique d’un pays et la faible consommation de fibres (en 1880, le Français consommait 215 kg/an de pain complet. Un siècle plus tard, il ne consomme plus que 61 kg/an de pain blanc).

Les fibres exercent une action régulatrice très importante dans plusieurs domaines : tube digestif (régulation du transit et de la flore intestinale), régulation du métabolisme des sucres et des graisses, régulation faim-satiété, et donc du poids (les fibres procurent une sensation de satiété et limitent les prises alimentaires).
Cette régulation plurifactorielle des fibres faisant défaut, de nombreux troubles peuvent se développer (certains dus à d’autres facteurs de risque associés) :

  • troubles et maladies des intestins : constipation, flatulence, diverticulose, hémorroïdes, polypes et cancers, déséquilibre de la flore intestinale avec troubles très variés qui en découlent (au-delà des fonctions digestives).
  • troubles métaboliques avec mauvaise tolérance aux sucres et dépôts de graisses d’où : athériosclérose et maladies cardio-vasculaires, excès de poids, aggravation d’une prédisposition au diabète ;
  • excès de poids par une mauvaise régulation faim-satiété.

Mieux vaut manger des céréales complètes plutôt que du son en tablettes !

L’industrie alimentaire des pays économiquement développés est parvenue à une véritable aberration : raffiner et traiter – ce qui est préjudiciable à l’hygiène alimentaire et augmente le coût de production – pour ensuite proposer, tels d’onéreux médicaments, ce qui a été enlevé aux aliments.

Raffinage du sucre

Le sucre blanc raffiné est du saccharose et rien d’autre. Les nutriments glucidiques regroupent 2 grandes catégories de molécules : sucres complexes (tel l’amidon) et sucres simples, l’une et l’autre étant concernées par le raffinage. En fait, l’usage courant désigne par “sucre” le produit blanc constitué de saccharose et résultant du raffinage de la betterave ou de la canne à sucre.

L’amidon provient des céréales, légumineuses, tubercules (pomme de terre), bananes et châtaignes, fruits oléagineux. Les sucres simples proviennent des fruits et légumes (fructose, parfois glucose), du miel (fructose et glucose), du lait (lactose).
L’impact hyperglycémiant de ces sucres est tempéré en raison de la présence d’autres nutriments associés – surtout s’il s’agit de fibres – et du volume occupé par l’aliment.
Avec les pratiques de l’industrie alimentaire, le sucre blanc raffiné a supplanté ces apports diversifiés et équilibrés, au point d’exercer un quasi-monopole chez nombre de consommateurs. Or ici, il s’agit de saccharose – uniquement de saccharose – présent dans un grand nombre d’aliments et de boissons sucrés.

Mode d’obtention du sucre blanc

Le saccharose pur (constitué d’une molécule de fructose et d’une molécule de glucose) s’obtient à l’aide d’une batterie de procédés complexes, physiques et chimiques, qui, techniquement, peuvent différer selon qu’il s’agit de canne à sucre ou de betterave sucrière, mais dont le principe est commun:

  • traitement physique par broyage (canne) ou trempage dans de l’eau chaude (betterave), puis filtrage.
  • traitements chimiques : à la chaux éteinte pour neutraliser les acides organiques, clarification (“défécation”, disent les industriels !) du jus chaulé, notamment avec de l’anhydride carbonique, de l’anhydride sulfureux, et bouillissage, décoloration (suffoxylate de sodium), raffinage proprement dit car nous ne sommes parvenus qu’au “sucre brut” intermédiaire – par déshydratation et réactifs chimiques (noir animal, alcool isopropylique, bleu anthraquinonique, etc… ).

Au terme de toutes ces tablo-sucreopérations (détaillées partiellement car les traitements industriels sont encore plus complexe), le saccharose est ainsi isolé de tous les autres nutriments pour devenir un produit “chimiquement pur” répondant à la réglementation.
Or, ces nutriments, éliminés telles des impuretés, sont des protéines et surtout des vitamines, minéraux et oligo-éléments (réservés, sous forme de mélasse, à la consommation animale).
Le sucre dépourvu de ces éléments de vie peut être stocké et conservé facilement dans d’imposants silos, ce résultat impliquant, en amont, des domaines de cultures intensives et des complexes industriels polluants.

Notes du tableau :

  • (1) Le sucre complet n’a pas droit à l’appellation “sucre” ! Il est dénommé “suc de canne complet”. Obtenu par évaporation du jus de la canne à sucre, il se présente sous l’aspect d’une poudre très compacte, sans cristaux, de couleur marron très foncé. Produit remarquable par sa richesse en minéraux et oligo-éléments – notamment en magnésium et fluor anticariogènes!, et par ses arômes (dont le sucre blanc est totalement dépourvu) et saveurs incomparables qui permettent de réduire la quantité de sucre pour un plaisir bonifié (les pâtisseries maison à base de suc de canne complet séduisent l’odorat avant de ravir le palais).
  • (2) Le sucre de canne roux véritable a néanmoins une valeur nutritionnelle amoindrie, il est obtenu par cuisson prolongée (s’il provient bien du végétal original, sinon il s’agit de sucre blanc… teinté !).
    (source: “L’assiette aux céréales” de Claude Aubert d’après des analyses du laboratoire de l’institution de nutrition d’Amboise).

Conséquences du raffinage du sucre: surconsommation et maladies de surcharge

(facilitée par un double processus physique et métabolique )

Sur le plan physique

Le sucre blanc permet d’ingérer, sous un faible volume, 100% de calories. Totalement dépourvu de fibres qui rassasient, sa consommation en est d’autant plus facilitée. Ainsi, une pomme de 100g contient 10 à 15g de sucre (en moy. 13g de fructose), soit l’équivalent calorique (et non qualitatif ) de 2 à 3 morceaux de saccharose (une pierre de sucre blanc =5g). Ils seront rapidement ingérés par celui qui est friand de sucre, amateur de “jus de fruits”, de sodas sucrés (un verre équivaut à 5 morceaux de sucre), de chocolat et de petits gâteaux (>60% de sucre), de pâtisseries du commerce (une seule part de certaines tartes aux pommes nappées de confiture peut apporter autant de calories que 6 pommes!).
Le pouvoir sucrant du sucre blanc est médiocre par rapport au suc de canne complet, ce qui amène à augmenter la quantité pour satisfaire le plaisir gustatif (arômes et saveurs sont très affectés par l’élimination de vitamines et de minéraux).

Sur le plan métabolique

L’hyperglycémie provoquée par l’assimilation d’un sucre chimiquement pur est beaucoup plus marquée que celle provoquée par un sucre accompagné d’autres nutriments. Parmi ceux-ci, les fibres sont les plus importantes pour amortir cet effet.
Ce phénomène est prouvé expérimentalement en notant l’évolution de la glycémie après absorption de glucose ou de saccharose purs et avec des fibres de pectine (présente surtout dans les fruits -pomme- et les légumineuses).
L’index glycémique moyen des fruits frais aqueux est de 30 et celui des légumineuses de 33, alors que celui du saccharose pur est de 75 et celui du glucose pur de 100.
Ce pic hyperglycémique, véritable agression métabolique, déstabilise le grand principe de la physiologie : l’homéostasie (l’équilibre stable des différentes fonctions de l’organisme).
L’organisme réagit par sécrétion proportionnelle d’insuline pour ramener la glycémie à la normale (0,8 à 1g/l).
Or, un index glycémique > à 60 favorise l’hyperinsulinisme, avec pour conséquence d’opérer un effet correcteur exagéré avec hypoglycémie réactionnelle d’autant plus marquée que la charge glycémique aura été intense.
Cette hypoglycémie se traduit par divers troubles (fatigue, difficultés de concentration, irritabilité) et appelle à consommer de nouveau du sucre (d’autant plus que ces pics d’insuline sollicitent l’estomac avec sensation de faim).

Ainsi, loin de satisfaire les besoins énergétiques, le sucre blanc les suscite selon une évolution en Yo-Yo, qui n’est pas sans rappeler celle du poids en réponse à des régimes amaigrissants antiphysiologiques : s’écarter de la stabilité aggrave le processus que l’on souhaite satisfaire ou corriger.
Les carences ou subcarences en vitamines et oligo-éléments, qu’occasionne la consommation de sucre raffiné, participent au déséquilibre nerveux.
Il peut en résulter une compensation alimentaire avec renforcement de cette consommation itérative de sucre : un processus métabolique de dépendance est ainsi facilité par le raffinage proprement dit, indépendamment du conditionnement socio-économique.

Source et suite sur Onpeutlefaire.com

 

 

Benji

23 Commentaires

  1. Très bon article, mais étant un peu long je doute que beaucoup aient le courage de le lire jusqu’au bout.

    A propos de calories vides, j’ajoute que tout ce qui passe au micro-ondes se retrouve dans le même cas. J’ai pu voir au microscope les cellules de divers aliments avant cuisson vapeur ou chaleur douce, et après, ainsi qu’avant passage au micro-ondes et après.
    Autant dans le premier cas elles ne sont que peu altérées, autant ce dernier passage est une catastrophe, les cellules sont éclatées, on ne les reconnaît même plus. Les aliments sont morts totalement.
    Et je ne parle même pas des radiations qu’ils subissent et que le corps engrange. Il ne faut donc pas s’étonner de la multiplication des cancers : œsophage, estomac, intestins, foie etc… cela s’ajoute à toutes les autres pollutions dont notre corps fait les frais et paie les pots cassés.

    • Bonjour graine…. Ton expérience ”micro onde” me trouble…. Tu as des ‘complements d’info’ stp ???

      • Bien sûr Pinpin, mais il faut que je les retrouve sur mon blog, aussitôt fait je vais te les mettre. Par contre pour ce que j’ai vu au microscope je ne pourrai te le communiquer…
        Tiens je viens de retrouver ceci, il faut que je trouve le reste mais c’est déjà loin
        Pourquoi la Russie a interdit l’usage des fours à micro-ondes :
        http://altitudes06.canalblog.com/archives/2013/06/26/27512400.html

        @ Patou, tu ne peux comparer notre estomac, qui est fait pour notre corps et son bien être quand on en prend soin, et une machine qui détruit tout avant même que les aliments soient dans notre estomac ! ne confonds donc pas les torchons et les serviettes ou alors prends des cours de biologie.

        • bah c est plutot toi qui en as besoin de court de biologie puis de chimie aussi, je sais pas toi mais en ce qui ne concerne je connais trés bien le fonctionnement de l appareil digestif et comment sont decomposé les aliments au niveau chimique par tout les fluides de la bouche a l estomac.

          Et franchement quand je lis des article et surtout des commentaires ou vous envoyez des liens qui explique des choses absolument pas etayer, qui balance des chiffres complétement farfelus sans aucune preuve reelement scientifique, vous perdez toute credibilité.

          Je suis partisant d une autre agriculture une autre facon de consommer mais pour convaincre faut arreter de dire des conneries.

          et j ai un scoop, si quelqu un l as dit sur un blog c est pas forcement vrai.

          • C’est un peu l’hôpital qui se fout de la charité ici. Tu critiques l’article en balançant sans le moindre contre argument que c’est des conneries, c’est une affirmation péremptoire, tu expliques rien. Il se trouve que je suis nutritionniste et je peux te dire que l’article est exacte pour l’avoir lu calmement et en entier, j’étais prête à apporter un complément d’information le cas échéant, or je n’ai rien trouver à redire. Pour prouver que je ne dis pas de connerie voici des articles écrit par ma main il y a un an sur le même sujet : http://www.noviorbis.net/t25-comment-bien-se-nourrir-la-dietetique-pour-une-alimentation-equilibree-et-salutaire?highlight=comment+bien+se+nourrir
            Donc au fait tu ne nous dis patou^^

            Akasha.

            • je m excuse car j etais plus remonté contre les commentaires anti micro onde que sur le fond le l article.
              en ce qui concerne l article, je lis ça je comprend que les farines blanches le sucre rafiné etc c est le mal, que des personnes ont élaborés des systémes de production couteux juste pour nous rendre malade.
              ben non c est pas vrai, il faut manger de tout et varier au maximum son alimentation.
              Enfin ce qui me derange surtout c est le negativisme de plus en plus present dans les articles.
              C est une suite de descriptions alarmistes, il y as quelque jours un article avais pour theme le potagé et ce qu il fallait faire. Ou plutot ne pas faire (vision negative) cet article la m aurai beaucoup plus interesse si cela avez ete “les choses a faire” plus positif .

            • Il n’y a pas de soucis Patou. Pour le positivisme je ne peux que te dire une chose, les sucres rapides sont pratiquement à bannir de tout régime salutaire. Il n’est qu’utile qu’à de très rare cas. Il faut donc se baser sur les sucre à digestion lente qui ne cause pas de pic d’insuline. Se sont donc toutes les farines complète et pâtes et ris complet. Ainsi que les légumes verts qui sont assez indispensable pour une bonne assimilation des protéines. Les fruits doivent aussi faire partie de votre stratégie alimentaire, car outre leurs apports en vitamines non négligeable, ils sont aussi utile pour leurs fibres solubles.

              Si le cœur t’en dis tu peux consulter le sujet que j’ai posté plus haut, tout ceci est décris plus en détail.

              Akasha.

          • à Patou04

            Question rigueur scientifique, la digestion ne s’arrêtant pas à l’estomac, “de la bouche au rectum” eut été plus pertinent ! (eh oui, le duodénum, jéjunum, iléon et le reste – à savoir le biote intestinal).

            https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif

      • Le four a micro ondes contient un composant appelé magnétron.
        Ce composant peut etre utilisé pour d’autres choses que la cuisson.
        : ) 🙂 🙂

  2. Article tres interessant…! Il ne me semble pas que cet article soit ‘trop long’. Il est plus interessant de mon poi t de vue, de produire moins d’articles mais de bonne qualite, que d’entrer dans le relayage systématique des articles parru ailleur (ce qui de toute facon est re relayer en revue de l’info chaque jour !!)

    Merci donc benji pour cet article qui sent bon le ‘site a plein temps’….

    Une question… Qu’en est il pour la STEVIA (meme a 100%, elle est aussi raffinée me semvle t’il)….

  3. Pinpin, je t’ai répondu plus haut.
    Tu as vraiment eu raison de lire tout l’article.
    le meilleur pour avoir de la stévia bon marché et sous la main c’est de la cultiver soi-même dans un pot, ça pousse très bien.

  4. Ce qui me rassure, c’est qu’il n’y a pas de cochon “raffiné”…
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    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif
    OK ! Je sors… https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_rose.gif

  5. Une précision d’importance: manger des céréales complètes non bio est pire !!!
    En effet, dans ce cas vous mangez tous les traitements chimiques qui sont sur l’enveloppe https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_negative.gif

  6. Des précisions concernant l’altération des aliments, l’impact sur la santé, et les conséquences néfastes de l’irradiation due au four à mico-ondes

    http://www.savethegreen.fr/2012/11/28/les-reels-dangers-du-four-micro-ondes/

    A la suite d’études scientifiques

    http://microondestpe.free.fr/m3s2.html

    Et des liens importants

    http://microondestpe.free.fr/m5.html

  7. Tout ce que je dit depuis un bout est dans cette article, Il y a également les huiles (Huile de Palme, Canola, Olives ect.. CHAUFFÉ) qui sont partout qui sont indigérable par l’organisme. Car ces huiles sont chauffé puis perdent tout leur propriété.

Les commentaires sont clos.