L’étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York ….

Pour les amateurs de mystères, les adeptes des prophéties et les curieux en général. Personnellement j’adore les monuments, les symboles et gravures qui semblent annoncer des “choses” pour beaucoup hermétiques. Comment interpréter ces sculptures? Travail commandé, inspiration artistique ou avertissement? Il y a beaucoup d’endroits, où des monuments recèlent des inscriptions symboliques, des sculptures apocalyptiques. Connaissez vous le mystérieux monument des droits de l’homme à Paris? Je l’avais présenté en 2011, si ça vous intéresse, faites le “remonter” sans oublier de visiter le site source pour avoir toutes les indications à la compréhension de cet édifice.

L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Le portail d’entrée de la façade ouest de la Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York, intitulé “Portail du Paradis” est décoré d’une allégorie de symboles pour le moins étranges et inattendus.

Il n’en fallait pas plus pour que la cathédrale se voit attribuer une aura mystérieuse.

L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-YorkL'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York
L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-YorkL'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Sur l’une des colonnes sculptées avec éloquence, du côté droit du portail, sous les prophètes Isaïe et Jérémie, New York et Jérusalem sont jointes dans une vision apocalyptique. Représentant la prescience des prophètes de la destruction de la ville sainte, les twin towers et l’Empire State building sont soufflés de leurs amarres dans une vision des derniers jours par des vagues submergeant les gratte-ciels effondrés.

L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Sur la colonne située à côté, le pont de Brooklyn se brise en deux, un bus chute de celui-ci dans l’eau. Des gens commercent en dessous de la Bourse, et à côté d’eux un scorpion, des serpent, et d’autres signes de peste se répandent en essaim autour d’un squelette.

L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Du côté gauche du portail, une autre scène représente une naissance, une tête émerge d’une sorte de fleur, entourée de momies, au-dessus d’un agneau avec les pattes attachées. L’antéchrist? En dessous se trouve un vortex en spirale, sous lequel on peut apercevoir des gens, en vénération?

L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Sur une autre se trouve l’Arbre de vie, ou Etz haHa’yim, qui représente symboliquement les lois de l’Univers dans la Kabbale.

L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Chacune des boules est gravée d’un symbole.

L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Des chevaux au dessus d’une mer de flammes…

L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Un pilier symbolisant la mort, avec des roues remplies d’yeux, telle la vision d’Ezéchiel.

L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Et sous le pilier central entre les deux portes, quatre chevaux montés. Les cavaliers de l’apocalypse?

L'étrange Cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Des représentations bien singulières, surprenantes et inattendues.

Revenons un peu sur l’histoire de cette cathédrale dont la construction fut initiée le 27 décembre 1892, jour de la saint Jean, et qui est encore loin d’être achevée.

Le terrain vierge de 47,000 m² sur lequel la cathédrale est bâtie (terrain où avait notamment été construit le célèbre orphelinat Leake and Watts Orphan Asylum) a été acheté en 1887.

Les plans de l’édifice, réalisés par les architectes George Lewis Heins et John LaFarge, d’une cathédrale de style roman et byzantin; furent acceptés au terme d’un concours officiel.

Les coûts des fondations furent très élevés, en raison de travaux d’excavation très onéreux, du fait de la présence de soubassements rocheux, qui portèrent la profondeur de l’excavation à près de 22 mètres. Les premiers offices religieux furent tenus dans la crypte (sous la partie en croix) dès 1899.

La crypte de la cathédrale Saint Jean le Divin de New-York

Après la construction du dôme central en 1909, les plans roman et byzantin originels furent changés en un style gothique d’inspiration française de telle sorte que la nef et l’abside sont d’inspiration gothique alors que la croisée du transept est de style roman.

“La grande cathédrale sur Morningside Heights s’approche de l’achèvement plus rapidement que la plupart d’entre nous l’imaginent,”

New York Times – 28 Novembre 1909

 

 

En 1911, le chœur et la croisée du transept furent ouverts. Depuis le changement du style architectural original, ceux-ci sont destinés à être démolis et une tour gothique massive érigée à la place.

 

Représentation de la cathédrale telle qu’elle devrait être une fois terminée:

La façade ouest fut finalement achevée en 1925.

L’article stipule: « Il est particulièrement approprié que les francs-maçons, qui étaient les bâtisseurs de cathédrales et d’églises au cours de la plus grande période de construction de cathédrale, devraient désormais avoir un rôle principal dans le mouvement pour construire la plus grande cathédrale de l’Amérique (…) Peu mérite d’être ajouté à l’histoire de la Franc-Maçonnerie durant la période de construction des cathédrales; ses monuments sont sa meilleure histoire, tout comme son génie, sa foi et ses symboles. » L’article admet ouvertement que les cathédrales maçonniques représentent le meilleur héritage de la Fraternité et que le symbolisme est présenté au bon endroit. Les masses sont cependant trop ignorantes pour reconnaître la signification derrière l’art, donc elles le regardent, et pensent que « c’est très sympa ».

La cathédrale fut ouverte officiellement le 30 Novembre 1941, une semaine avant le bombardement de Pearl Harbor et les premiers offices religieux furent tenus dans la nef la veille de celui-ci. Pendant la guerre l’argent vint à manquer et les travaux avancèrent peu en raison du manque de main d’oeuvre. Après la guerre, les fonds disponibles furent utilisés à des fins charitables et ce n’est qu’en 1979 que la construction fut relancée.

La construction des tours a continué par à-coups jusqu’au début des années 1990, quand un manque de fonds a forcé son abandon, la cathédrale ayant largement passé sa dotation.

Le portail du Paradis est la principale entrée solennelle à l’espace sacré de la cathédrale de St. Jean le Divin.

Un financement important pour le projet de sculpture du Portail a été fourni par: la Fondation Florence Gould, Irving Berlin Charitable Trust, la Fondation Overbrook, le Fonds JM Kaplan, la famille Darrin – Drake Darrin, Timothy Darrin, David Darrin & Peggy Darrin – le Dr K . David G. Edwards, Mr Robert Taggart et son épouse Anna Marguerite McCann, et la Fondation Sheldon H. Solow.

Les sculptures des personnages situés de chaque côté de l’arc frontal de la cathédrale représentent des figures bibliques de l’Ancien et du Nouveau Testament, symbolisant l’entrée du tombeau du Christ. Elles furent sélectionnées par un groupe interconfessionnel de prêtres et de rabbins. On y trouve notamment, du côté gauche:

Portail Nord – partie haute: Noé – Ismaël / Agar – Rachel – Miriam / Aaron – Deborah – Hannah

Portail Nord – partie basse: Melchisédek – Abraham / Sarah / Isaac – Jacob – Moïse – Élie / Élischa – Samuel

Jean-Claude Marchionni & Simon Verity
Jean-Claude Marchionni & Simon Verity

Le projet de sculpture du portail a commencé en 1988 avec un concours international remporté par le tailleur de pierre britannique Simon Verity, sélectionné pour diriger l’entreprise. Depuis plus d’un demi-siècle, cette porte centrale était flanqué de blocs de calcaire de l’Indiana non sculptés attendant de prendre les formes d’hommes et de femmes bibliques qui incarnent l’histoire des grandes religions monothéistes.

Photo: Martha Cooper

Huit à dix heures par jour, du printemps à l’automne, le travail démarra jusqu’à ce qu’apparaisse lentement un cortège de trente-deux matriarches et patriarches de l’Ancien et du Nouveau Testament. Au début, Mr Verity a été aidé par six apprentis. En 1993, Jean-Claude Marchionni, un maître tailleur de pierre Français a rejoint Simon Verity dans le projet.En 1996 Verity a commencé à peindre le palier supérieur des statues du Portail, ce qui remonte à des traditions gothiques plus anciennes du 13ème siècle:

«Je prends les cristaux minéraux qui sont mentionnés dans le livre de l’Apocalypse – chrysoprase, malachite, béryl – et les travaille en des pigments afin de peindre les personnages. On devrait toujours utiliser des matériaux magnifiques et rares dans la création de quelque chose d’honneur.».

Sous leur égide, le travail sur la statuaire du portail central de la façade occidentale de la cathédrale a été achevé en 1997. La cathédrale n’a plus évolué depuis lors, la construction actuelle représentant trois cinquièmes de l’édifice final.

Simon Verity

Maître sculpteur et directeur du Projet de sculpture du Portail

Simon Verity, qui provient d’une lignée d’architectes, est l’un des artistes les plus importants dans la sculpture contemporaine et traditionnelle en pierre. Son arrière-grand-père a conçu le Théatre Criterion à Londres. Il a choisi de ne pas suivre la carrière de la famille, et a choisi la taille de pierre. Il est venu à la cathédrale de St. Jean le Divin après deux décennies de travail en Grande-Bretagne en tant que graveur, sculpteur, et constructeur de grotte. Son travail se trouve dans des collections publiques et privées du monde entier, incluant le Victoria and Albert Museum, les jardins botaniques de Chicago, l’Hôpital Bellevue, et l’American Academy à Rome, et compte également SAR Le prince de Galles, la Comtesse de Rosse, Elton John et Lord Jacob Rothschild comme clients.


Jean-Claude Marchionni

Jean-Claude Marchionni, de Vittel, en France, apporte plus de 15 années d’expérience spécialisée dans la sculpture sur pierre et la restauration des monuments historiques à la fois en France et aux États-Unis. Il a fait un travail de restauration sur la cathédrale de Strasbourg et au Musée du Louvre à Paris. À New York, il a beaucoup travaillé sur les restaurations de l’Eglise Presbytérienne de la cinquième avenue, la gare Grand Central et au Rockefeller Center, il a produit de nouveaux travaux pour le Musée juif et la Bibliothèque Huffington dans l’Ohio.

Simon Verity raconte:

«Fin 1988, on m’a appelé pour travailler ici, sur St. John the Divine. Pourquoi un anglais? Hé bien, si vous construisez une cathédrale gothique en Amérique, vous appelez un anglais ou un français, car nous avons une église vieille de six cent ans dans chaque village. Et les Français sont impossible comme tout le monde le sait….»

Il écrit «L’intérieur de cet énorme, ce magnifique bâtiment a une extraordinaire sainteté qui monte et se répand. L’extérieur est vicié, pesant, trop détaillé et encore inachevé. mais pour moi ici il y avait douze blocs de calcaire fin de l’Indiana, attendant d’être taillés en prophètes.»

Les blocs de pierre faisaient partie de la conception originale de la Cathédrale par les architectes Ralph Adams Cram et Mgr William Thomas Manning en 1925. Cela signifie que la pierre ne pouvait pas être sculptée dans les ateliers (ce qui est la norme aujourd’hui), mais a dû être taillée directement dans l’arc de calcaire de la cathédrale.

«J’ai eu des moments de véritable connexion avec mon travail», dit Verity. «Je me sens comme si une étincelle s’est produite, puis a disparu. Ces moments ne sont pas continus. Je continue à essayer d’obtenir plutôt un flux, afin de permettre plus sans chercher à contrôler tellement. Comment pouvons-nous prolonger ces moments de connexion? Voilà la question et c’est ça qui est si douloureux. Vous avez le sens de cette ouverture, cette autre énergie y passant, et c’est le bonheur absolu quand cela arrive, mais il est transitoire. Je pense que cela est ce dont tout artiste est à la recherche. Ce qui vous pousse est que c’est là et que c’est juste une question de sortir de la voie. Il y a quelque chose dans l’action répétitive du travail. Je frappe cette pierre une fois par seconde pendant deux heures, puis j’arrête le travail pendant vingt minutes, puis je commence de nouveau, et ce alternativement pendant huit ou dix heures par jour, voilà ce que je fais. Cela est extraordinaire, non? Et voilà trente ans que je le fait . Et c’est une chose très étrange.»

Martha Cooper indique: Les 32 figures bibliques sculptées représentent les rois, les prophètes, les juges, les agriculteurs, les musiciens, les parents, les enfants, riches et pauvres. Ils font face dans le demi-cercle de la porte: Deborah soulève son voile pour donner ses avertissements; Abraham se tient à côté de Sarah, avec sa main posée sur son ventre de femme enceinte; Jean-Baptiste est drapé de peaux d’animaux; Noé détient une arche inachevée, regardant en arrière la cathédrale inachevée.

Le grand art est toujours une vision du passé né dans le présent, et la vie de Verity à New-York a tracé son chemin dans la pierre. Une de ses amies, Naomi, est devenu le visage de Naomi sur le portail. Le propriétaire du coffeeshop situé en face de la Cathédrale, George Gross, a posé comme portrait du prophète Siméon. Paula Jennings, qui collecte les fonds pour la cathédrale, est devenu le modèle pour Jonas en raison de sa coupe de cheveux. Le modèle pour Hagar exilée était une femme tibétaine du quartier, en exil de son pays natal.

Un sans-abri qui faisait souvent la manche en face de la cathédrale a servi de modèle pour Jean-Baptiste; Noé est calqué sur le doyen à la retraite de la Cathédrale, Le Très Révérend James Parks Morton, et Deborah, d’après sa femme Pamela.

Daniel Alcide, un jeune homme très religieux qui travaillait à l’époque dans la boutique de la cathédrale a servi de modèle à Verity pour la statue de Daniel. (Photo ci-contre)Martha Cooper

Photo: Martha Cooper

Verity a aussi travaillé parfois à partir de photographies. Alors qu’il prenait un Polaroid d’une amie nommée Jessica Durham comme modèle pour Esther, son chien nommé Cooper (elle était étudiante à l’école de design Cooper Union et avait nommé son chien comme l’école) s’est invité sur la photo. Inspiré, il a sculpté le chien à côté d’elle sur le mur de la cathédrale. La photographe Martha Cooper, qui a documenté le travail de Verity sur trois ans, portait le même nom. Alors le chien a été sculpté avec un appareil photo autour du cou.Martha Cooper n’a documenté que les trois dernières années de travail, qui concerne surtout la partie haute, et son témoignage ne fait malheureusement pas mention du symbolisme des parties basses des piliers.

Elle indique: “Les bases et chapiteaux entourant les grandes figures présentent de nombreux symboles d’actualité, plein d’esprit, mais intemporels,: une vision de la façade ouest de l’inachevée Cathédrale St. John the Divine; les mains d’un pianiste; une spirale d’ADN; messages personnels des artistes.”

Une autre personne, Tracy Cochran, relate de la conversation qu’elle a eue avec lui lors de leur rencontre devant la cathédrale alors qu’il sculptait:……………

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Auteur Syntax-Error pour Le-blog-de-Syntax

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Volti

14 Commentaires

    • J’ai bien aimé ce film… 🙂

      • Excellent … Actuellement, on peut le voir en VF sur un site dont le nom commence par You et finit par Eprouvette 🙂

    • https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_rose.gif Merci Marabout, je ne connaissais pas ce film (mea culpa : D)
      Elles sont belles ces sculptures, c’était une occasion rêvée pour ces sculpteurs d’exposer leur talent, ils marient la tradition et une vision contemporaine de la sculpture sacrée, et pour une fois ce sont des gens de métier qui sont invités à s’exprimer, pas des imposteurs.

      L’Apocalypse de Jean est effrayante et emplie d’espoir pour ceux qui ont soif de la Justice Divine, cette cathédrale implantée au cœur de babylone ne pouvait pas dire moins aux spectateurs;
      Que les f.m y aient mis leur nez j’en suis sure, cette vermine est partout, mais justice leur sera faite, ils n’y échapperont pas, le fric ne les sauvera pas.

  1. Les twin towers n’étant plus là, ça la fout mal pour la prophétie.

  2. Merci Volti pour cet excellent et long article.

    Connaissez-vous aussi le sens ésotérique de la Cathédrale Notre Dame de Paris ?
    voir le film de Patrick Burensteinas sur le sujet. Un des sujets de la série “voyages initiatiques”.

  3. Pour ceux qui apprécient le papier à sa juste valeur.
    http://www.babelio.com/auteur/Henri-Vincenot/5473

    À lire sur le sujet “les étoiles de compostelle” (là on est pile dans le sujet) et “le pape des escargots” (ce dernier plus axé sur le compagnonnage et “la vouivre”).

    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_rose.gif

  4. J’ai tellement hâte que la colère Divine s’abat sur les États-DésUnis d’Amérique mais surtout sur l’état sioniste d’Israël et le soit disant peuple élu qui dans le passé avait rejeté notre doux Jésus ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif

  5. Si tu comptes là-dessus, “bois de l’eau” comme disaient les anciens.
    Les hommes sont bien capables de tout faire sauter tout seuls et de mettre la terre entière à feu et à sang. Pas besoin de colère, divine ou non ! la bêtise suffit bien.
    D’ailleurs l’expression “colère divine” ne rime à rien, car le Divin est, heureusement, au-dessus de tout ça…

  6. Malheureusement, nous trinquerons tous, car si le monde est ainsi, nous en sommes tous responsables, peu ou prou.

    Boazuk, notre “doux Jésus” comme tu le dis joliment, nous a appris le pardon. Il me semble regrettable d’en vouloir encore au Juifs de ne pas, il y a 2 000 ans, avoir reconnu Jésus comme Messie.

    La colère est purement humaine. Envoyons plutôt des ondes bienfaisantes, des ondes de paix, d’amour, de joie à ce monde pour que les mentalités – à commencer par les nôtres – changent en ce sens.
    Ce qui n’empêche en rien un petit coup de gueule de temps à autre. Nous sommes humains !

  7. http://symbolique-eso.blogspot.fr/2013/05/la-gargouille.html

    La double signification des gargouilles montre bien la nature double de l’être humain, sa nature humaine et sa nature spirituelle. Ou encore sa nature démoniaque (à apprivoiser pour la transformer) et sa nature divine…
    Le tout à unir…

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