Existe-t-il encore une liberté thérapeutique ?

A-t-on la possibilité de choisir son traitement à l’heure actuelle? Peut-on réellement décider de ce qui sera le mieux pour nous et notre santé? Bien sur que non, nous ne sommes pas censés “savoir” puisque nous ne sommes pas médecins. Le médecin décide du traitement à suivre, généralement dans le but de soigner le patient, pas d’en faire un cobaye sacrifié au nom du “Dieu profit”, ce qui est le cas pour le cancer…

Il y aurait de nombreux moyens de soigner le cancer, certains sont présentés sur le blog, une petite recherche vous donnera des résultats, quand à la chimio, elle n’est une thérapie que pour ceux qui ignorent encore les quelques réalités sur le sujet…

Parmi les médecins, nous en avons un en France qui se démarque en soignant ses patients en refusant de suivre les protocoles imposés, devenue une pestiférée dans sa profession, elle ne cesse de témoigner, mais ce sont malheureusement des hurlements qui restent silencieux… Vous avez déjà vu le Docteur Delépine sur une grande chaine nationale dans une émission très regardée?

Big pharma

Le coup de gueule  d’une médecin spécialiste du cancer

Les études de médecine sont encore longues mais servent-elles encore à soigner ?

Non pas vraiment, d’ailleurs on vous démontrera que l’on peut supprimer les docteurs dans beaucoup de taches et les remplacer par des personnes ayant fait des études beaucoup plus courtes et hyperspécialisées sans le background global qui faisait la différence. On en revient aux « officiers de santé » moins chers à former et plus obéissants et rapidement aux robots puisque nous devons et devrons de plus en plus appliquer les traitements prescrits par les ordinateurs dans lesquels vous aurez entré les données prévues par le logiciel (et rien d’autre). Grand avantage pour les décideurs, les robots ne pensent pas et ne donnent comme solutions que celles qu’on a autorisées dans la machine.

Nous avons devant nous un grand combat pour effacer les méfaits de quarante ans de pensée unique au service des intérêts commerciaux et financiers qui manipulent la science.

Comme le démontre magistralement Stéphane Foucart dans La Fabrique du mensonge1, la science a été « institutionnalisée » par les champions toutes catégories en ce domaine, l’industrie du tabac, puis celles de l’amiante, des pesticides, du pétrole, des médicaments, du climat, etc. Big Tobacco, l’industrie du tabac, a constitué un vivier d’individualités qui « sans nécessairement être corrompues prêtent une plus haute attention aux intérêts industriels qu’à l’intérêt général ».

Ils ont créé des écuries « d’experts » selon leurs propres termes, car Big Tobacco a compris dès les années 1950 « qu’en injectant de l’argent dans la recherche, il obtiendrait des résultats qui lui seraient plus favorables ». Big Tobacco avait bien rationalisé le « funding effect » c’est-à-dire l’influence du financeur sur les résultats et leur interprétation. « Aujourd’hui toute l’expertise sanitaire est fondée sur des études financées voir conduites par les industriels eux-mêmes. » Ce mécanisme pervers est devenu « une norme de fonctionnement » dans tous les domaines de la science.

Ces analyses fondamentales ne nous éloignent pas du sujet de cet article sur la liberté thérapeutique mais nous y ramènent au contraire expliquant le pourquoi de cette privation de liberté des médecins et donc des patients qui a détruit notre métier en quarante ans.

En effet, l’alliance médico-politico-financière a imposé le joug de l’industrie pharmaceutique dans nos pratiques médicales conduisant à entrer de plus en plus de patients dans les essais thérapeutiques, à obéir aux recommandations thérapeutiques nationales et internationales élaborées par des groupes de travail appliquant le dogme de la « médecine par les preuves ».

Cette « évidence base medicine », élaborée par les mêmes groupes, soumis à l’industrie ne reconnaît comme source scientifique que les publications basées sur des essais cliniques randomisés (groupes tirés au sort). Ces essais, pour être reconnus valables, reposent sur de grands effectifs de patients et leur élaboration nécessitent des fonds importants que seule l’industrie pharmaceutique possède.

Ainsi, la quadrature du cercle est complète. Big Pharma élabore et subventionne les essais, publie ceux qui sont favorables à ses intérêts et dissimule les autres. Sous prétexte de propriété intellectuelle, les données et les résultats des essais lui appartiennent et dans aucun pays la publication légale de tous les essais, quels que soient leurs résultats n’a pu être obtenue.

Cette perversion fondamentale du système explique les scandales meurtriers tels que celui du Vioxx qui fit près de 40 000 morts aux USA par accidents cardiaques, car les problèmes cardiaques survenus lors des essais avaient été soustraits des résultats lors des publications.

Mais truquer les informations en imposant la médecine par les preuves comme source du savoir, réfuter l’expérience clinique et les études « pilote », réalisées par les cliniciens sur leurs patients en étudiant rigoureusement effets secondaires et résultats à long terme de schémas thérapeutiques publiés, ne suffisait pas au pouvoir médico-industriel et à ses lobbies.

Classées comme bas niveau de preuve par les « experts » appartenant aux « écuries » des labos2, ces études sur lesquelles avaient reposé tous les progrès en médecine jusqu’en 1985 environ ne furent progressivement plus acceptées dans les revues dites de haut niveau (dont les comités de lecture sont tenus par les mêmes) ni même en communication dans les congrès scientifiques (eux aussi très largement subventionnés par Big Pharma).

Entre 1990 et maintenant les congrès jadis scientifiques se transformèrent en grande foire commerciale comme le Salon de l’agriculture (avec les mêmes déviances) ou la Foire de Paris.

Ce nouveau système n’a pas apporté de progrès significatifs aux malades ainsi que L’institut-Gustave Roussy vient de l’avouer lors de son appel aux dons pour la cancérologie pédiatrique « devant l’absence de progrès dans cette discipline depuis quinze ans » selon leurs propres termes. C’est pourtant la volonté intransigeante – et on le voit tous maintenant, injustifiée – d’imposer à tous les onco-pédiatres l’inclusion de tous les enfants atteints de tumeurs solides dans des essais (Sommel et rapport au Sénat 2000) qui explique la guerre contre notre unité depuis trente ans. Nous souhaitions simplement ne pas inclure les enfants dans les essais, lorsqu’il existait un traitement éprouvé efficace. Crime de lèse-majesté !

Théoriquement nous aurions pu continuer à traiter nos patients avec les anciens schémas éprouvés et efficaces, mais en plus de la persécution des hérétiques au système condamnés à disparaître par départs progressifs des générations plus âgées et refus de nomination de jeunes qui n’accepteraient pas ses lois, l’industrie fit disparaître du marché nombre de médicaments trop bon marché et les faisant remplacer par de nouveaux dix fois plus chers et souvent plus toxiques. Surtout les lobbies médico-industriels très efficaces au ministère parvinrent in fine à interdire de fait la pratique traditionnelle des médecins selon Hippocrate en leur âme et conscience, en fonction de l’état de la science et uniquement pour le bien du malade.

Le totalitarisme en cancérologie érigé en loi (circulaire 2004, 2005 et décrets 2007)

Le plan cancer constitue le modèle du genre imposant à tous les mêmes traitements, le plus souvent essais thérapeutiques à tous les malades atteints de cancer. Un système totalitaire dont j’ai détaillé les rouages dans Le Cancer, un fléau qui rapporte chez Michalon, février 2013.

Le plan cancer de conception autocrate, conçu par trois cancérologues respectivement directeur de la fédération des centres anticancéreux, des centres privés et de la collégiale des oncologues de l’APHP, mis en place en 2003 fit naître, du fait du prince, l’institut national du cancer (INCA) qui s’autoproclama grand chef de la cancérologie et pas seulement de l’organisation mais aussi des traitements.

Article complet sur Les indigné(e)s via les Brindherbes

Et pour en savoir plus sur ce spécialiste exceptionnelle qu’est Nicole Delépine, je vous conseille de visionner son interview exceptionnelle entre autres vidéos disponibles dans l’article.

Benji

9 Commentaires

  1. Pas si hors sujet que cela.
    Ces circulaires ont été pondues par des membres d’un parti politique élu.
    Les partis politiques sont financés en sous main par les banques et les institutions financières qui les diriges comme bon leur rapporte.

    Les grandes banques dont la banque de Rockfeller, contrôlent le cartel des entreprises pharmaceutiques.
    En éliminant les partis politiques nous reprenons le contrôle de nos vies, et nous pourrons enfin paitre tranquillement.

  2. Notre Liberté thérapeutique ?
    Nous l’avons abandonnée au profits des politiques et des banquiers. Nous avons préféré le confort et le divertissement de la boite a images.

    Vu sur les brins d’herbes.
    http://lesbrindherbes.org/2014/09/25/saviez-du-mercure-plein-bouche/
    Demandez a votre dentiste ce qu’il en pense en vous mettant un amalgame. La négation de ce qu’il fait ne tardera pas. “Taisez vous, vous m’empêchez de travailler” risque d’être la réponse.

  3. Bonjour à tous,

    A partager au nom de la santé de nos jeunes.
    plus de 50000 signatures en 1 jours!
    avec mes salutations.

    http://petition.ipsn.eu/papillomavirus/?utm_source=IPSN&utm_medium=Newsletter-gratuite&utm_campaign=201409-24-papillomavirus

  4. Plombage (amalgame dentaire) !

    Ahurissant, le communiqué suivant, il émane de Agence Fédérale du Médicament et des Produits de Santé !
    http://www.fagg-afmps.be/fr/public_information/dispositifs_medicaux/amalgames_dentaires/

    http://lejour-et-lanuit.over-blog.com/article-symptomes-de-l-intoxication-mercurielle-91818758.html

    Un amalgame dentaire contient environ un gramme de mercure, dont une partie est progressivement relarguée dans la bouche. La quantité de mercure libérée dépend des conditions : qualité de l’amalgame et en particulier polissage, acidité et température des aliments, présence d’autres métaux dans la bouche, mastication de chewing gum…
    En fin de vie, de nombreux patients ont entre 5 et 10 amalgames, voire plus.
    Le doute sur la toxicité de l’amalgame, couplé au risque environnemental lié à la présence de mercure, a conduit certains pays d’Europe (Allemagne, Autriche, Suède, Danemark) à limiter son emploi5. La Russie et le Japon ont respectivement interdit l’usage d’amalgames dentaires au mercure en 1975 et 1982. Depuis le 1er janvier 2008, la Norvège a interdit l’utilisation du mercure dans les amalgames dentaires (et pour toutes autres applications)6.

    Le mercure contenu dans les amalgames dentaires est, comme son nom l’indique, “amalgamé” avec de l’argent. Le conseil de l’ordre des chirurgiens dentistes a demandé et compulsé plusieurs études qui n’ont jamais pu mettre en évidence un relargage quelconque de mercure (diverses publications du CNOCD dont celle du 4 octobre 2008 sur son site) Par ailleurs, on n’a jamais pu mettre en évidence la moindre pathologie chez les patients traités à l’aide d’amalgames dentaires qui sont pourtant nombreux. Malgré cela il est à noter que des précautions sont recommandées par prudence lors de la pose et de la dépose de ces amalgames. Il semblerait que cette information sur la toxicité des amalgames dentaires ait été lancée par certains fabricants de résines composites qui restent les seuls matériaux de remplacement financièrement exploitables. Malheureusement ces résines sont loin d’être dépourvues de défauts. Elles sont très allergènes[réf. souhaitée], elles vieillissent très mal et doivent être refaites très fréquemment. Aucune étude connue n’a été réalisée pour en connaître la toxicité. Par ailleurs le retrait de prise de ces résines les rendent peu protectrices malgré les collages qu’elles imposent. Le matériau d’obturation des caries dentaires idéal n’existe pas encore, les amalgames sont laids, les résines peu fiables, les inlays en or, en céramique ou même en acier beaucoup trop chers et les aurifications ont disparu de la panoplie thérapeutique pour des raisons matérielles et de coût.

    Cela dit, la question de l’intoxication chronique au mercure dentaire est controversée. En effet, si elle n’a pas été mise en évidence par des études en France, la toxicité du mercure dentaire a fait l’objet de nombreuses études internationales qui tendent à montrer sa réalité. Par ailleurs, de très nombreuses personnes ont été guéries de pathologies aussi diverses que la fatigue chronique, la fibromyalgie, l’autisme voire la sclérose en plaques en se détoxifiant des métaux lourds, mercure compris. Le fait que de nombreux porteurs d’amalgames soient en bonne santé ne prouve pas leur innocuité, dans la mesure où d’autres facteurs peuvent intervenir, notamment génétiques (capacité d’élimination des toxines).
    On remarquera aussi que les amalgames dentaires n’ont pas bénéficié d’autorisation de mise sur le marché, leur utilisation en France ayant débuté il y a près de deux siècles.

    Des associations comme Non Au Mercure Dentaire demandent leur suppression[réf. souhaitée], au titre du principe de précaution.
    Cosmétiques

    Le « mercure et ses composés » entrent dans la « liste des substances interdites dans les produits cosmétiques » (Journal officiel de l’Union européenne, Annexe II, numéro d’ordre 221), « sauf exception reprise dans l’annexe V »

    Annexe V : Liste des agents conservateurs admis dans les produits cosmétiques

    Type de produit (uniquement dans les): « Produits pour les yeux »

    Concentration maximale dans les préparations prêtes à l’emploi : « 0,007 % en Hg »

    Thermomètre et tensiomètre
    les thermomètres et tensiomètres à mercure sont interdits à la vente depuis 1998, mais ils sont encore très fréquents chez les particuliers.

    Ampoules fluorescentes
    Chacune de ces lampes contient environ 3 mg de mercure. Souvent indiqué [<5 mg Hg]
    Conservateur mercuriel dans les vaccins

    On utilise depuis les années 1930 le thiomersal (Thimérosal aux États-Unis et Canada) comme agent conservateur dans les vaccins. En 1998, une étude scientifique aujourd’hui très controversée proposait que l’injection de vaccins ciblant la rougeole, les oreillons et la rubéole (vaccin ROR) puisse être à l’origine du développement d’un syndrome autistique chez huit enfants7 En 1999, suite à une enquête de la FDA dans la quantité de mercure dans les aliments, le service de la santé publique américain recommandait la suppression des dérivés de mercure dans les vaccins. L’association de ces deux évènements a provoqué une crainte importante dans les populations, allant jusqu’à la création d’associations anti-mercure. Début 2009 plusieurs études scientifiques sont revenues sur ce sujet, mais aucune ne montre de lien évident entre la présence de thiomersal et l’apparition de troubles neuro-psychologiques.

    Au Québec, le mercure a été supprimé en 1996 de tous les vaccins administrés aux enfants, à l’exception de celui contre la grippe. Cela a été fait car combiné avec quatre autres vaccins dans la même injection, celui contre la polio ne survivrait pas en présence de mercure. Le mercure a aussi été retiré en 1992 au Danemark et en 2001 aux Etats-Unis, pour les mêmes raisons. Dans tous les cas, ce retrait n’a eu aucun effet sur les taux d’autisme. Dr Fombonne précise : « Du point de vue scientifique, la question est entièrement réglée depuis des années, mais il y a un contexte légal aux États-Unis où plusieurs familles continuent à poursuivre le gouvernement et les fabricants de vaccins dans l’espoir d’obtenir des compensations financières extrêmement juteuses. Il y a également des centaines de firmes d’avocats impliquées dans ces causes qui veulent s’en mettre plein les poches et qui ont intérêt à ce que la controverse persiste même si les scientifiques l’ont réglée »

    • Pour les amalgames dentaires au plomb/mercure, les faire remplacer par de la céramique ou de la résine composite.
      Il n’y aucun problème, ce sont des produits très fiables

  5. Code de la Santé Publique

    Article L1111-4
    Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des
    préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé.
    Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses
    choix.
    Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre tout traitement met sa vie en danger,
    le médecin doit tout mettre en oeuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. Il peut
    faire appel à un autre membre du corps médical. Dans tous les cas, le malade doit réitérer sa
    décision après un délai raisonnable. Celle-ci est inscrite dans son dossier médical. Le médecin
    sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à
    l’article L. 1110-10.

    Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.

    Lorsque la personne est hors d’état d’exprimer sa volonté, aucune intervention ou investigation ne
    peut être réalisée, sauf urgence ou impossibilité, sans que la personne de confiance prévue à l’article
    L. 1111-6, ou la famille, ou à défaut, un de ses proches ait été consulté.
    Lorsque la personne est hors d’état d’exprimer sa volonté, la limitation ou l’arrêt de traitement
    susceptible de mettre sa vie en danger ne peut être réalisé sans avoir respecté la procédure collégiale
    définie par le code de déontologie médicale et sans que la personne de confiance prévue à l’article
    L. 1111-6 ou la famille ou, à défaut, un de ses proches et, le cas échéant, les directives anticipées de
    la personne, aient été consultés. La décision motivée de limitation ou d’arrêt de traitement est
    inscrite dans le dossier médical.
    Le consentement du mineur ou du majeur sous tutelle doit être systématiquement recherché s’il est
    apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision. Dans le cas où le refus d’un traitement par la
    personne titulaire de l’autorité parentale ou par le tuteur risque d’entraîner des conséquences graves
    pour la santé du mineur ou du majeur sous tutelle, le médecin délivre les soins indispensables.
    L’examen d’une personne malade dans le cadre d’un enseignement clinique requiert son
    consentement préalable. Les étudiants qui reçoivent cet enseignement doivent être au préalable
    informés de la nécessité de respecter les droits des malades énoncés au présent titre.
    Les dispositions du présent article s’appliquent sans préjudice des dispositions particulières relatives
    au consentement de la personne pour certaines catégories de soins ou d’interventions.

  6. Pour la Belgique

    La loi sur le droit du patient en vigueur depuis le 22/08/2012, donne ceci :

    4. Consentement à toute intervention du praticien professionnel

    Avant d’entamer un traitement, le praticien doit obtenir le consentement libre et éclairé du patient à celui-ci.

    Cela implique que le praticien doit avoir clairement informé le patient des caractéristiques de l’intervention envisagé, à savoir :

    · le but de l’intervention, le degré d’urgence, la durée, les effets secondaires, les risques, le suivi, etc.

    · le coût financier (honoraires, tickets modérateurs, suppléments, etc.)

    · les alternatives éventuelles

    Lorsqu’il est impossible de discerner la volonté du patient ou de son représentant (ex. un cas d’urgence), le professionnel pratique toutes les interventions nécessaires et fait mention de cette situation dans le dossier du patient.

    Comment le patient consent-il ?

    Le consentement est exprimé de manière verbale par le patient ou déduit de son comportement par le praticien.

    Le patient peut donner son consentement à certaines conditions (ex. arrêt d’un traitement de chimiothérapie en cas d’échec).

    D’un commun accord, le patient et le praticien peuvent fixer le consentement par écrit et l’ajouter dans le dossier du patient.

    Si le patient refuse ou retire son consentement

    Le praticien professionnel respecte le refus ou le retrait du consentement du patient aussi longtemps que le patient ne l’a pas révoqué.

    Néanmoins, (*)le praticien continue à dispenser des soins de qualité (ex. poursuite des soins corporels de base à un patient qui refuse de boire et de s’alimenter).

    Le patient ou le praticien peut demander que le refus ou le retrait du consentement soit indiqué dans le dossier du patient.

    Lorsque le patient se trouve dans un état de santé l’empêchant d’exprimer sa volonté (ex. coma, maladie mentale dégénérescente), le praticien doit respecter la déclaration de volonté anticipée rédigée par le patient lorsqu’il était encore à même d’exercer ses droits.

    Cette déclaration de volonté anticipée :

    · peut contenir le message que le patient refuse de donner son consentement à une intervention déterminée

    · est préférablement rédigée en présence d’une tierce personne (ex. un praticien) afin d’éviter des dérives d’interprétation

    · n’est pas limitée dans le temps, à moins d’une révocation par le patient à un moment où il est en mesure d’exercer ses droits.

    ——————————————————————————
    (*)Mais voilà, comme toutes lois (belges), elles ont leur opposé, voyez plutôt :

    2. Le libre choix du praticien professionnel

    Le patient choisi lui-même un praticien professionnel et il peut toujours revoir son choix.

    Mais la loi ou des circonstances propres à l’organisation des soins de santé peuvent parfois limiter ce libre choix (ex. lors de l’admission forcée d’une personne atteinte de maladie mentale ou de la présence dans un hôpital d’un seul spécialiste).

    D’un autre côté, tout praticien peut refuser de dispenser des services à un patient pour des raisons personnelles ou professionnelles (Fameux coup de pied au serment d’Hippocrate !), excepté en cas d’urgence.

    Dans le cas où le prestataire se dégage de sa mission de soins, il doit néanmoins veiller à en assurer la continuité.

  7. Vaincre le cancer.

    Vaincre le cancer et non traiter le cancer implique une participation active du
    cancéreux,tandis qu’un traitement est subit passivement.

    Il est admis que pendant toute la vie des cellules anormales naissent dans notre corps.
    On admet aussi que l’organisme reconnaît ces cellules anormales,sait que les sont un danger mortel pour notre république cellulaire , les isole et les détruit..

    Chez un cancéreux ,le corps ne résiste pas,les cellules anormales prolifèrent.

    Parmi les préjugés erronés,il en ai un qui est particulièrement néfaste.
    C’est de croire que le patient ne peut rien pour lui-même.
    La pensée positive, la méditation.

    La ou les causes :
    – selon l’ayurvéda ,la cause ultime et unique de toute les maladies vient de la
    production d’amadoshas (les amadoshas sont des toxines produites dans le tube
    digestif,fermentation,putréfaction)
    A cette cause unique s’ajoute :
    – environnement,pollution de l’air de l’eau….
    – Vient s’ajouter le stress

  8. Vérités sur les maladies émergentes – Françoise Cambayrac (PDF – OCR)
    http://www2.zippyshare.com/v/85802236/file.html

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