Réalisation d’un potager familial

J’aurai bien aimé vous dire qu’avoir son potager est l’affaire de gens ayant la fibre « écolo/bio », mais les choses ont bien changé ces dernières années et continuent de changer :

  • Augmentation du prix des denrées alimentaires en raison de la spéculation des marchés financiers sur les prix et les stocks disponible.·
  • La privatisation des terre arables de pays pauvres par des multinationales qui d’un côté les empêchent de mener une agriculture vivrière leur permettant de nourrir leur communauté et de l’autre côté contraint les consommateurs des pays industrialisé à acheter des produits sans cesse plus cher mais toujours moins qualitatifs.
  • La prolifération des OGM qui sont des armes biologiques nuisant à la santé de ceux qui en consomment. Sans parler des nombreux additifs nocifs que l’on trouve dans les supermarchés.·
  • Les sècheresses brutales notamment celles artificiellement provoquées par HAARP qui réduisent significativement les quantités produites de céréales alors que la consommation augmente.·
  •   La crise économique décuplent les effets pervers décrit plus haut, car le chômage galopant, les réductions de salaires rendent de plus en plus difficile pour les ménages la capacité à se nourrir décemment.·
  • Etc.

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sic…Face à cela il convient de ne pas attendre d’être victime de l’effondrement qui nous pend au nez avant de  vouloir réagir il sera bien trop tard. Et cela passe entre autre par le fait de reconquérir  et maintenir son autonomie alimentaire en développant son propre potager. Un des nombreux avantages de posséder son propre potager est de pouvoir sélectionner ses légumes préférés. En plus, cette petite production vous permettra d’obtenir des légumes frais, sains et goûteux sans avoir recours aux produits de synthèses (engrais, pesticides).

Faire son potager en image

La planification

Une bonne planification du potager doit inclure :

  • La sélection des variétés à cultiver;
  • Les quantités de plants requis selon les besoins familiaux et votre disponibilité pour les travaux d’entretien;
  • La rotation des cultures;
  • Le compagnonnage;
  • Les exigences des légumes;
  • L’emplacement de la production de semis à l’intérieur;
  • L’emplacement du potager à l’extérieur.

Déterminer la superficie de potager dont vous avez besoin

En dressant un plan du futur potager sur un papier, vous pourrez déterminer la superficie nécessaire à la production de vos légumes préférés ou vous ajustez selon la superficie disponible sur votre terrain.

  •  8 à 10 m2 représente un petit potager en ville;
  • 100 à 250 m² fournit des légumes frais pour une famille de 4 personnes;
  • 500 m² nourrit une famille de 4 personnes.

La préparation du potager

Avant de préparer le potager, nous devrons répondre à quelques  questions.

Quel est l’espace requis pour une croissance optimum de mes variétés sélectionnées?

  • Après avoir déterminé le nombre de plants nécessaires aux besoins familiaux, il faut calculer l’espace que notre potager occupera. Souvenez-vous que vous aurez besoin d’un espace d’au moins 100 m2 pour une famille de quatre;
  • Planifier votre jardin en considérant la dimension à maturité des plantes afin de pouvoir les placer l’une près de l’autre sans nuire à leur développement. Par exemple, en associant les radis et les tomates, vous pourrez cueillir les radis bien avant les tomates laissant ainsi à celles-ci toute la place nécessaire pour leur développement. Les variétés les plus hautes seront plantées de façon à ne pas faire d’ombre sur les variétés les plus courtes;
  • Prévoir des allées assez larges pour pouvoir vous déplacer aisément lors de vos entretiens hebdomadaires.

Quelle est la meilleure situation pour mon potager?

Bien qu’il n’y ait pas de règles fixes pour déterminer l’emplacement du potager, prenez en considération les points suivants :

  • Un emplacement avec au moins 6 heures et plus d’ensoleillement;
  • Un emplacement à l’abri des vents dominants qui sont froids et asséchants;
  • Près d’un boyau d’arrosage;
  • De préférence, là où le sol est riche, fertile et bien drainé.

Quel type de potager me convient le mieux?

La culture en rangs

 

  • La culture en rangs simples ou doubles, en planches régulières ou surélevées, en rectangles ou carrés de dormants de bois sont autant de choix qui vous sont offerts. Chacun a ses avantages et inconvénients;
  • La culture en rangs est recommandée pour ceux qui ont l’intention d’avoir un grand potager. Elle consiste à travailler une grande parcelle de terre, puis y planter les légumes en rangs espacés selon les directives requises. L’entretien est facilité par l’utilisation de machinerie, mais elle demande beaucoup d’espace;

La culture en planches

La culture en planche est le design traditionnel du potager. Ce design est adapté si le sol est naturellement meuble et bien drainé. Tout ce que nous devons faire c’est enlever le gazon, passer un motoculteur et d’incorporer de la matière organique (compost, fumier) au sol d’origine.

  • Diviser le potager en planches de 1,2 m de large séparées par des allées de 30 cm. Amender les planches en fonction des résultats de l’analyse de sol;
  • La longueur des planches peut varier selon l’espace que vous avez de disponible. Pour cultiver que quelques plants, une planche de 1,2 m x 1,2 m suffit. Si vous voulez faire des conserves, la réalisation de plusieurs planches est nécessaire. Par exemple, vous pourriez réaliser des planches de 1,2 m x 3,6 à 9,6 m de long.

La culture en planches permet une plantation plus concentrée de légumes, une plus grande facilité d’y faire le compagnonnage et demande moins d’espace. Par contre, l’entretien est entièrement manuel

La culture en buttes

La culture en buttes est recommandée lorsque votre sol est trop pauvre, glaiseux, trop dure ou trop humide. Alors dans ce cas, il est préférable de cultiver sur des planches dont de la bonne terre a été ajoutée à la surface du sol existant.

  • Prévoir la largeur des buttes à environ 1,2 mètre de façon à ce qu’elles soient faciles à travailler;
  • Espacer les buttes par des allées de 30 à 50 cm de large;
  • Ajouter 30 cm de bonne terre à jardin et incorporer du compost.

Cette technique vous permet d’obtenir un sol plus profond en plus de favoriser le drainage du sol

La culture en carrés ou en rectangles de bois

La culture en carrés ou en rectangles de bois est le potager le plus dispendieux à concevoir. Son entretien est plus facile et plus propre que celui de la culture en planches. Le rebord surélevé élimine l’érosion pluviale et sert de banc lors de l’entretien.

La culture en carrés est particulièrement bien adaptée aux petites surfaces. Cette pratique est aussi très intéressante lorsque la qualité du sol est peu appropriée.

  • Fabriquer un cadre de bois d’au moins 30 cm de hauteur par 1,2 mètres de largeur et par la longueur désirée. Il est possible de diviser la planche de culture en carrés de 40 cm par 40 cm ou d’un mètre par un mètre;
  • Installer des pieux à l’aide d’une masse pour y fixer le cadre de bois;
  • Pour augmenter la durabilité du bois, fixer à l’intérieur de la boîte une membrane géotextile imperméable;
  • Incorporer un mélange de terre enrichi pour le potager ou faire votre propre mélange (bonne terre et compost);
  • Prévoir l’utilisation de paillis organique puisque les plantes cultivées en bacs requièrent plus d’eau.

Combien d’heures puis-je consacrer à mon potager?

Si votre horaire ne vous permet qu’une ou deux heures d’entretien par semaine, vous risquez rapidement de perdre le contrôle de votre jardin. Nous aborderons plus loin une liste de tâches estivales qui pourraient être déterminantes quant au choix du potager.

Le Compagnonnage

Le compagnonnage est depuis longtemps utilisé dans le but de fournir un environnement le plus adéquat possible pour la culture des légumes et des fleurs. Un des avantages du compagnonnage est de planter, l’une près de l’autre, des plantes qui s’aideront mutuellement dans le potager. Par exemple, un légume associé à un autre, pourra être protégé contre les attaques des ravageurs. Certaines plantes peuvent nuire ou favoriser la croissance de la plante potagère ciblée ou tout simplement en améliorer le goût.

 

Plante potagère

 

  Compagnons Ennemis ou mauvais compagnons Protection contre les insectes
Ail Betterave, carotte, épinard, laitue, tomate Haricot, pois
Asperge Épinard, laitue, persil, radis tomate Oignon
Carotte Chou, coriande, haricot, laitue, oignon, poireau, pois, poivron, radis, romarin, sauge, tomate Aneth Coriandre, oignon, romarin, sauge (mouche de la carotte)
Concombre Camomille, chou, céleri, épinard, laitue, marjolaine, oignon, pois, radis, tomate Rue, sauge Camomille, marjolaine, radis (mouche des concombres)
Courge et citrouille Capucine, camomille, fève, marjolaine, menthe, radis Chou, pomme de terre Camomille, marjolaine
Haricot et fève Capucine, camomille, fève, marjolaine, menthe, radis
Bette à carde, bourrache, carotte, chou, romarin, sarriette, tagète, tomate
Ail, ciboulette, échalote, fenouil, oignon, poireau, pomme de terre Romarin, sarriette (mouche du haricot)
Laitue Betterave, carotte, chou, courge, oignon, pois, radis
Oignon Bette à carde, betterave, carotte, chou, laitue, poivron, tomate Fève, haricot, pois
Poivron Basilic, carotte, marjolaine, oignon, origan, pois, tomate Fenouil
Radis Carotte, chou-fleur, concombre, courge, épinard, fève, haricot, hysope (améliore le goût), laitue, pois, tomate Pomme de terre
Tomate Bourrache, carotte, concombre, poivron, oignon, persil, tagètes, basilic (améliore le goût) Chou, fenouil, pomme de terre Bourrache, tagète (nématodes)

La rotation des cultures

 

Pour maintenir un bon rendement et éviter les problèmes de carences, il faudra planifier une rotation de culture. Cette méthode consiste à alterner les légumes afin de ne jamais cultiver deux années de suite dans le même endroit du potager une même espèce ou famille de plantes. Vous éviterez ainsi l’épuisement du sol, puisque les légumes ont tous des besoins différents et vous empêcherez les insectes et les maladies de se propager au fil des ans.

Pour bien réaliser cette opération, il faut séparer son potager en quatre parcelles identiques pour y regrouper les légumes selon les quatre catégories suivantes :

  • Les légumes-fruits : tomate, aubergine, poivron, cucurbitacées (courge, melon, citrouille). Ce sont les légumes les plus gourmands en fertilisation et ils nécessitent un apport important de compost;
  • Les légumes-feuilles : crucifères (chou, brocoli, navet, chou-fleur), laitue, épinard, céleri. Cette catégorie de légumes est moins exigeante que les légumes-fruits et demande moitié moins de compost;
  • Les légumes-racines : carotte, betterave, radis, poireau, oignon, etc. Ces légumes sont peu gourmands, car ils sont capables d’aller chercher les éléments minéraux en profondeur;
  • Les légumineuses : pois, haricots, lentilles, fève. Ils ont la faculté d’apporter de l’azote au sol et peuvent ainsi régénérer le sol après la culture des légumes feuilles.

Exemple de rotation des plantes au potager :

La préparation du sol pour les petits potagers

 

Lorsque vous aurez pris en considération les points énoncés précédemment, vous pourrez préparer le sol qui recevra vos plantes potagères.

  • Pour un nouveau potager, enlever la pelouse à la pelle ou une déplaqueuse à gazon;
  • Extirper les racines de mauvaises herbes à l’aide de fourche à bêcher;
  • Bêcher toute la surface à l’aide d’une fourche à bêcher ou passer un motoculteur ou un cultivateur;
  • Faire faire une analyse de sol chez votre détaillant horticole pour vous guider dans le choix des amendements nécessaires à la bonne croissance de vos plantes potagères. Par exemple, dans un sol acide, les éléments nutritifs sont moins disponibles, l’activité du sol est ralentie et la croissance des plantes sera réduite. Consulter la rubrique Une analyse de sol pour obtenir plus d’information sur le prélèvement des échantillons;
  • De façon générale, on recommande l’incorporation de mousse de tourbe pour améliorer la qualité des sols argileux ou permettre une meilleure rétention d’eau aux sols sablonneux. Les fumiers et composts fournissent au sol une multitude d’oligo-éléments indispensables au bon développement des plants de légumes. Selon la rotation des cultures, ces amendements sont incorporés dans les premiers 15 cm de sol aussitôt que le sol est suffisamment asséché au printemps;
  • Pour les légumes les plus gourmands, incorporer un engrais naturel pour améliorer le rendement. Selon le type d’engrais, une seconde application peut être nécessaire plus tard dans la saison.

La transplantation des plants et des semis

Nous voici rendu à l’étape de plantation des légumes. Choisir de préférence une journée nuageuse lorsque tout danger de gel est passé.

  • Il faut d’abord arroser abondamment les mottes de racines de vos plants;
  • Creuser un trou 2 fois plus large et 1,5 fois plus profond. Enlever le contenant, retirer les mottes des multicellules ou séparer les plants de la caissette en tranchant les mottes de racines avec un couteau;
  • Insérer la motte de racines dans le trou et compléter le remplissage en s’assurant que le collet de la plante soit au niveau du sol;
  • Porter une attention particulière aux plants de cucurbitacées (courges, courgettes), car les racines sont très fragiles et ne doivent pas être dérangées;
  • Compléter avec un arrosage copieux;
  • Si vous semez directement, suivre les directives du grainetier pour connaître l’espacement nécessaire entre les graines et la profondeur optimale du semis.

L’entretien estival

 

 

Comme avec tout matériel vivant, un entretien hebdomadaire régulier s’associe au potager. Il consiste essentiellement à désherber les planches de culture, de biner et sarcler régulièrement le sol afin d’améliorer la pénétration de l’eau. Profitez-en pour observer votre jardin lors des opérations d’entretien. Voyez-vous des signes indiquant la présence d’insectes ou maladies? Des plantes chétives ou malades? Des traces de rongeurs? Cette observation hebdomadaire peut souvent vous aider à régler un problème avant qu’il ne devienne hors de contrôle.

L’arrosage

L’arrosage du potager s’effectue de préférence très tôt le matin pour conserver l’humidité du sol et pour réduire la propagation des problèmes fongiques. Si vous devez arroser le soir, évitez de mouiller le feuillage en utilisant un boyau suintant. Pour réduire le gaspillage de l’eau, utiliser une minuterie d’arrosage électronique. En saison, biner et sarcler régulièrement pour permettre à l’eau de s’infiltrer dans le sol. Arroser abondamment et en profondeur et ce, particulièrement en période de canicules et de sécheresse. Pour réduire l’évaporation en eau et l’implantation des herbes indésirables, installer un paillis ou une membrane géotextile dans les rangs et autour des plants.

La préparation de la terre à l’automne

  • Retourner la terre sur une profondeur d’environ 20 cm pour l’ameublir et l’aérer;
  • Éliminer les herbes indésirables et les pierres;
  • Épandre une fine couche de compost ou de fumier composté.

La préparation de la terre au printemps

  • Biner le sol sur 3 à 4 cm de profondeur pour aérer la couche supérieure du sol et pour incorporer les amendements qui ont été épandus à l’automne. Attendre que le sol ne soit plus détrempé pour faire cette opération;
  • Il est possible d’ajouter un engrais naturels pour améliorer l’équilibre minéral des plantes potagères pendant la saison.

Source: Botanix.com

A lire aussi: mag.plantes-et-jardins.com

Article complet trouvé sur Apprentisurvivaliste.com

 

Benji

12 Commentaires

  1. la méthode Soltner est plutôt pas mal pour ceux qui s’interressent au “non travail des sol “

      • nan c’est pas ce mais c’est dans la même optique (couverture systématique des sol cultivé)

        http://www.youtube.com/watch?v=kg50ljsV8Xo

        Forrer utilise en plus des antennes (j’ai pas trop saisie le concept par contre , mais ça à l’air de marcher)

        • les antennes, c’est la “magnéto culture” ou “électro culture” et ça a l’air extraordinaire !
          vas jetter un oeil la :

          http://www.magnetoculture.com/magnetoculture/Bienvenue.html
          http://www.agriculturecosmotellurique.org/

          et 2 livres que je vais essayer de me procurer prochainement pour continuer à me documenter :

          La révolution d’un seul brin de paille, Masanobu Fukuoka (éditions Trédaniel)
          et
          Electroculture et énergies libres, Roland Wehrlen – Maxens Layet

          • Super Capitou, tu m’évites de mettre le lien.
            Je mets quand même le lien de son site principal : http://www.electroculturevandoorne.com/

            Alors, je vous confirme ici, j’ai personnellement rencontré Yannick et vous avez vraiment là une bonne âme, une personne qui donne, partage ses connaissances et expériences en toute simplicité, bonne humeur et respectant les connaissances de ses interlocteurs (j’entends par là qu’il ne prend personne de haut, bien au contraire). Je ne peux que conseiller à quiconque qui veut un peu s’avancer dans ce domaine de lui commander quelques petites pyramides ou autres petits produits pour voir par lui même les effets sur des graines germées, semis ou carrément dans un coin du jardin.
            De plus, pour les connaisseurs, il a récemment développer son propre appareil qui tente de recréer la fameuse eau dynamisée de Marcel Violet (si vous n’avez jamais entendu parler d’eau dynamisée, il y a tout un tas de techniques existantes, +/- valables, mais celle de M. Violet est une qui a donné des résultats spectaculaires), et il vend cet appareil depuis le début de l’année à un prix vraiment bas en comparaison à d’autres solutions. Je l’ai acheté mais je n’ai pas encore eu le temps de faire des tests de germination avec l’eau dynamisée de son appareil en comparaison avec de la non dynamisée, mais les quelques tests qu’il a fait sont en toute apparence prometteurs. Notez que moi je l’ai acheté pour en boire, pas en premier lieu pour mes plantes.

            Alors oui je lui fait de la pub, mais avec ses techniques, vous pouvez nourrir une famille en légume avec 2x moins de surface que l’article le décris ici même – suffit qu’on soit plusieurs ici à tester, qu’on partage les résultats sur le forum et le tour sera joué. Il faut diffuser ces connaissances, parlez-en, testez vous-même. Je trouve qu’il fait un boulot formidable à ramener toutes ces techniques sur le devant de la scène et dès lors, il mérite amplement qu’on lui fasse de la pub.

            Pour info, je suis à quelques jours d’installer une pyramide de 5m de côté dans mon jardin, je sera vite fixé si ca pousse un peu voire nettement mieux en-dessous.

            • Salut Dredger
              et bien surtout, n’oublies pas de nous tenir informé à propos de ta pyramide içi, voir même à créer un sujet sur le forum ^^

              ” suffit qu’on soit plusieurs ici à tester, qu’on partage les résultats sur le forum et le tour sera joué. ”
              et oui, 3 x oui ! personnellement, il me manque plus qu’à trouver le bout de terrain pour m’installer, et à m’installer dessus, essayer l’électro culture est dans ma ligne de mire, même si de mon côté, ça sera à la Phillip Forrer, en mode récup’ et bricolage du cuivre et zinc 😀

  2. je ne peux pas m’empêcher de la remettre ^^

    http://www.youtube.com/watch?v=GTuoo1X0YfY

  3. Le riz bio complet, est passé en l’affaire de 6 mois de moins de 2 euros à 2,80 euros et des brouettes.
    Si avec ça on ne se fait pas bananer.

    Nous avons d’ailleurs étés prévenus en 2013… et la chine fait ses réserves de riz et autres … ils ont tout compris!

    Sinon, info intéressante ,j’enregistre.

  4. Un magnifique doc sur un potager pour ceux qui ne connaissent pas, Guerre et paix dans le potager:

    http://youtu.be/7VvjQxM70-8

    Par contre je crois qu’il n’y a que la 1ère partie la.

  5. La “nourriture” la plus importante est l’eau.
    Après l’eau, la caractéristique la plus importante de la nourriture ce sont les calories.
    Après l’eau et les calories, les protéines sont les suivantes en importance.
    Pour être des jardiniers “résilients” il faut être en mesure de cultiver des aliments de base riches en calories et en protéines.

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