Celle par qui l’extinction de toutes formes de vie, fait peur d’arriver ! (Mis à jour)

Les dernières mortalités de masse d’animaux ont soulevé en moi bien des interrogations. Afin d’avoir un max de réponses et d’informations, j’ai pris contact avec plusieurs groupes de recherches universitaires.

A l’un d’entre eux m’a mis involontairement sur une piste, qui après échange de données, pourrait bien s’avérer plausible, et tout être vivant sur la planète serait concerné, végétaux, animaux, aquatiques et même l’humain, autrement dit en terme générale, toute la vie sur Terre, ceci compris les bactéries, les microbes, les bacilles et les virus.

Il est un fait que pour les morts en masse d’animaux, elle ne peut expliquer à elle seule la sélection de l’espèce intervenue dans chacun des cas, quoique ! Tellement de paramètres sont susceptibles d’entrer en ligne de compte, qu’il est quasi impossible de démontrer avec certitude, le pourquoi du comment ! Et en plus on oublie les dérivés de ses mutations, ses descendants.

Pendant qu’on se chamaille, se concentre sur le réchauffement et ses origines, insidieusement une forme de vie toute simple, étant elle-même à l’origine de toutes les formes de vies sur la planète, serait en train de tout gommer. Cette forme de vie n’a jusqu’à présent pas été suffisamment étudiée en profondeur, délaissée de par sa singulière simplicité mais ô combien redoutable, le terroriste parfait, se fondant dans la masse, l’incognito, le « nettoyeur », je veux parler de

« L’AMIBE ».

En effet, l’amibe était aux origines, une unicellulaire qui au cours de l’évolution et des conditions de sa vie, a donné naissance à des pluricellulaires, composant ainsi plusieurs groupes disséminés sous forme d’organismes beaucoup plus complexes, plantes, arbres, animaux, et l’homme. On y retrouve les :

Eukaroyta (Eucaryotes) (dans la composition des tissus humains, des fougères et des champignons) en opposition aux : 

Eubacteria (bactéries) (les Chloroplastes, les Protéobactéries (Escherichia, Salmonella, legionella), les Cyanobactéries (Lac Mono!), les Mycoplasmes (maladies par insectes, acariens (tiques)). Comprenant également les Entérobactéries se retrouvant entre autre en bio-industrie (produits laitiers, cosmétique, et pharmaceutique)(E. Coli).

Les Archaea, ils sont présents dans divers biotopes tels entre autre, sources hydrothermales océaniques et volcaniques, en mer, dans la terre, les marais. Ils interviennent sérieusement dans les cycles du carbone et de l’azote, mais aussi dans la production de méthane (méthanogène) dans le système digestif. Les méthanogènes contrebalancent l’incapacité d’action de certains anions, à réguler l’oxygène, les nitrates et les sulfates. Et ce n’est qu’une infime partie de sa descendance.

Ceci dit, l’apparition et l’accroissement pour le moins inquiétant, de maladies infectieuses où la médication actuelle semble supplantée tant pour l’humain que l’animal, laisse craindre une propagation d’amibiase. Et pourrait bien poser questions ! Son vecteur principal est l’eau contaminée, par contact et par voies sexuelles, elle entraîne des infections de types :

                               Gastro-entérites, Dysenteries pandémiques (diarrhées mucco-sanguinolentes)

                              Quant au seul traitement antibiotique antiparasitaire : Métronidazole. Il aurait des effets secondaires plutôt désastreux tels que : et la liste est longue voir la fiche anglophone (plus complète) de «Flagyl »  :   Immunodéficience, Céphalées durables, Neuropathies périphériques : (poly)névrites (chroniques), neuropathies diabétiques, démyélisante, etc.).

Hypothétique l’Amibiase ?

Elle est bien plus présente qu’un géocroiseur, elle peut atteindre le foie, les poumons et même le cerveau

Elle entraine une infection gastro-entérite de type dysentérique (diarrhée accompagnée de sang et de mucus), qui se propage sur un mode épidémique et fait de très nombreux morts dans les pays en voie de développement. Outre l’atteinte digestive, le parasite peut également infecter d’autres organes tels le foie, le poumon et le cerveau.

La forme kystique de l’amibe est sa forme de dissémination passive et de résistance dans le milieu extérieur. Le kyste survit au minimum 15 jours dans l’eau à 18 °C, 10 jours dans les selles, 24 h à sec. Il résiste bien aux agents chimiques. On note un aspect sphérique, de 10 à 14 µm de diamètre avec quatre noyaux à maturité. Les kystes immatures contiennent une vacuole, un ou deux noyaux et sont plus grands.

            – L’Amibiase tissulaire hépatique (foie) symptômes peuvent apparaitre plusieurs mois ou années après contamination.

            – L’Amibiase pleuro-pulmonaire généralement peu ou pas d’évolution, il est régulièrement observé une aggravation par encombrement et ce malgré traitement, on est souvent contraint de s’orienter vers l’ablation pulmonaire.

             – L’Amibiase encéphalique contamination dans les eaux stagnantes, les piscines, étangs, etc, par voie endonasale en traversant l’ethmoide. Elle provoque une nécrose et des hémorragies de la matière grise de la région olfactive. Après une incubation de 3 à 10 jours, apparaissent des maux de tête, nausées ou vomissements, fièvre, convulsions, somnolence ou au contraire une agitation anormale. Le pronostic est très souvent sombre, car d’autres organes peuvent être touchés, comme le cœur, les poumons, l’organe auditif, la peau.

              – Une autre amibe : acanthamoeba provoque des lésions aux yeux, avec des ulcères de la cornée, provoquant KERATITE, UVEITE. Cela peut se produire après un traumatisme ou simplement par contact d’une lentille cornéenne souillée, la cécité n’est pas loin. Cette amibe peut aussi provoquer une encéphalite aiguë, subaiguë ou chronique, en particulier chez les immunodéprimés et les alcooliques.

Ceci sont les propos d’une ancienne toubib de l’OMS ayant démissionné, faute de réaction du pouvoir organisateur.

Le traitement de ces amibes est souvent délicat et décevant.

                             Je voudrais faire simplement remarquer ceci : combien de gens vont en vacances dans des pays tropicaux, où il fait chaud et humide à la fois, où l’eau du robinet reste douteuse même pour se laver, où les hôtels disposent de piscines souvent surpeuplées, avec un brassage multiethnique et une hygiène relatif.

Qu’advient-il de ces vacanciers à leur retour, ils côtoient une foule de gens, leurs amis, leurs collègues, les gens dans les transports en communs etc etc la dissémination peut y aller bon  train.

!! NON, IL N’Y A VRAIMENT PAS DE QUOI AVOIR PEUR !!

Pour ce qui est des virus et rétrovirus :

Ils ne sont pas repris dans cet articles, mais un profil de conversation à venir, pourrait se dégager et démarrer sur les rétrovirus dont l’ARN(Acide ribonucléique) mute en ADN(Acide désoxyribonucléique) ce qui leur permet de s’intégrer à l’ADN de l’hôte. Nous en côtoyons déjà certains, celui du SIDA, et de l’Ebola, H1N1 et sa gentille suite, des « Paléovirus Fossiles » semble-t-il ! Certaines bactéries, virus ou rétrovirus se seraient répandus dans notre atmosphère lors de l’exhumation de certaines fossiles, libérés des roches. L’état kystique de certains leur confère une résistance étonnante au temps, mais plus étonnant encore, à des températures extrêmes, donc au magma !!! Et oui, leur limite se situerait à +/- 2000°C.

A contrario à certaines idées reçues, la manipulation humaine n’y est pour rien, mais d’autres formes de ces saloperies sont apparues et seraient à l’étude, cela est dû à la surexploitation de mines et en particulier celles à ciel ouvert et la libération des certaines zones de l’Arctique, on en serait qu’au début de la prolifération !! Mais dormez tranquille braves gens, on veille !! (hum)

Eaglefeather

42 Commentaires

  1. tu confirme bien que l’homme n’est pas le sommet de l’évolution comme il le croit encore .

  2. @Mario-Bros.

    Les Eucaryotes semblent bien en être à l’origine.

    Elles possèdent :
    – une division de l’espace cellulaire en compartiments spécialisés :
    – un noyau renfermant l’ADN lui-même divisé en chromosomes
    – des mitochondries, le réticulum endoplasmique, l’appareil de Golgi, les ribosomes, les peroxysomes
    – une division cellulaire appelée mitose (faisant intervenir centrioles et fuseau mitotique).
    – un cytosquelette complexe : microfilaments (ex. muscles), microtubules et filaments intermédiaires (ex. cheveux, muscle cardiaque).
    – une reproduction sexuée, où chaque type sexuel apporte une part égale de matériel génétique.

  3. on s’inquiète des gens qui vont en vacances dans les pays tropicaux, l’eau du robinet douteuse etc…
    est ce qu’ils ont plus d’importance que ceux qui vivent dans les pays tropicaux, ne sont-ils pas des être humains aussi ?

    merci Eaglefeather pour ton article même si je n’ai pas tout compris.

    • Une fois de plus tu sorts une partie de phrase, hors de son contexte qui est celui de la contamination, pour créer une polémique sur une prise en considération des touristes au détriment des autochtones !

      Y en a assez de ces petits jeux mesquins, dont tu excelles, et de plus sans te donner la peine d’en comprendre le sens des commentaires

  4. ” Je voudrais faire simplement remarquer ceci : combien de gens vont en vacances dans des pays tropicaux, où il fait chaud et humide à la fois, où l’eau du robinet reste douteuse même pour se laver, où les hôtels disposent de piscines souvent surpeuplées, avec un brassage multiethnique à l’hygiène relatif.

    Qu’advient-il de ces vacanciers à leur retour, ils côtoient une foule de gens, leurs amis, leurs collègues, les gens dans les transports en communs etc etc.

    !! NON, IL N’Y A VRAIMENT PAS DE QUOI AVOIR PEUR !! ”

    ————

    Eaglefeather je suis née a la Martinique et je vis pour le moment en Guyane Française et bien que l’eau du robinet n’est pas bonne c’est vrai mais c’est quand même buvable ton commentaire me déplaît je trouve que tu es maladroit dans tes propos.

    • Ca rejoint ce que je te réponds ci-dessus !

      “LES PAYS TROPICAUX NE SE LIMITENT PAS QU’A LA MARTINIQUE ET LA GYUANE, LE MONDE EST BIEN PLUS VASTE QUE CELA !!!!!!!!!!!!”
      merde quoi !!!fais ch…..

    • Il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre, Eagle à voulu
      dire, qu’avec la facilité que nous avons à nous déplacer d’un bout
      à l’autre du monde, il n’y a rien d’étonnant que les bactéries et autres vilaines
      bébêtes suivent le mouvement, et soient des vecteurs d’infections graves.
      Quand une épidémie est détectée dans un pays, on doit éviter la propagation de
      la maladie, et ne pas laisser les gens voyager, enfin!! le bon sens le voudrait,
      mais on l’a vu pour la grippe aviaire, juste des contrôles dans les aéroports….. 😉 ♥♥

    • je suis d’accord avec toi Emy…
      le”brassage multiethnique à l’hygiène relatif” est d’un goût douteux…yen a qui d’vraient se laver les neurones avant de pondre des énormités pareilles…
      l’amibiase ou le fil à couper l’beurre…
      cordialement

      • La phrase est maladroite, la propreté n’est pas l’apanage
        d’un peuple ou d’un autre, il n’y a qu’à voir les épidémies de gastro chez nous,
        alors que l’on martèle sans arrêt qu’il faut se laver les mains au sortir
        des toilettes, ou quand on rentre des courses, etc…♥♥

        • Non elle n’est pas maladroite, elle dépeint que trop bien ce dont l’humain peut faire preuve, qu’il soit autochtone ou touriste, l’un par son mode de vie dont sa précarité est l’une des causes principales, l’autre se mue en cochon finit en dehors de son pays !

      • @st malo q

        brassage multiethnique à l’hygiène relatif … un goût douteux ???

        Ben, c’est quoi alors pour toi l’hygiène c’est ça :
        Des eaux sont souillées par les ablutions de gens contaminés, lavages du linge de corps, présence d’urine et de selles, et animaux sacrifiés et ou malades. Le tourisme sexuel, la défaillance de l’hygiène corporelle des touristes, baignades en piscines etc. Sans parler de la promiscuité de certains population autochtone qui entretien en permanence la contamination, l’habitat, les conditions existentielles défavorables, les animaux dans l’habitation … t’en veux encore, la liste est longue hein ??

        Ta remarque est en effet d’un goût plus que douteux, l’énormité elle est là, dans ton ignorance ou et dans ta cécité volontaire.

        • oui je suis ignorant et aveugle, vite! allume la lumière !!
          je préférais quand tu théorisais sur les soubresauts de notre chère gaïa

  5. faite votre stock d’argent colloïdal .le antibiotiques deviennent obsolète . une gastro ? un petit verre de collo le matin et un le soire . et c’est finit . testé et concluant .

  6. Eaglefeather parle de l’amibe machin chose ok c’est bien.
    le commentaire en rouge il est de trop tu le retire et tout va bien,no problème fait juste ça je ne demande pas plus.

    • Emy, ne prend pas tout pour toi, il n’y a rien de personnel
      dans cet article. Il dénonce simplement les conditions néfastes
      qui prédisposent à propager des maladies.
      Cet article est posté et restera tel qu’il est, charge à chacun de faire
      fonctionner ses neurones, et de débattre sur le fond de l’article, et non
      sur la forme.
      Bientôt on ne pourra plus rien dire, ni écrire…. ♥♥

  7. hey eagle!!un truc m’échappe tu pars sur les morts massives d’animaux et tu débouche sur les amibes! hum tu crois que les amibes se seraient donné le mot pour attaquer certaines espèces animales dans une zone et un temps donné?? ça me parais improbable !! Ok les amibes c’est pas cool ( et encore que on serais surement pas la sans elles) mais c’est du raccourci a la wtf!!
    Bref je suis toujours en quête d’explication pour ces morts massives,moi je parierai sur une résonance électromagnétique particulière a l’espèce touché qui provoque sa mort. Bien que manquant elle aussi cruellement de preuve,cette théorie me parais bien plus crédible que nos amibes !! 🙂

  8. Cette théorie est tout à fait plausible! Si l’amibe est présente dans l’eau du monde entier et continue d’évoluer, cela multiplie les chances pour les êtres vivants de devenir victimes un jour. (il suffit que toute la dite population boivent à la même source où une souche infectieuse principale est présente en nombre suffisant). Ca pourrai expliquer assez bien le cas des chauves-souris en Australie et des dauphin en Amérique.

    L’homme à déjà été victimes de plusieurs formes depuis qu’on sait qu’elle existe, donc pourquoi pas les animaux. Puis vue l’importance de la présence humaine dans le monde, ça multiplie tout des suite les chances pour l’homme d’être touché.

  9. La théorie est intéressante…
    Par contre, pourquoi cela est-il un risque pour toutes les espèces viavantes ? Si les effets sont “Gastro-entérites, Dysenteries pandémiques (diarrhées mucco-sanguinolentes)”, certaines plantes, bactéries et autres ne devraient pas être atteintes.
    Je me permet aussi de préciser qu’un virus n’est pas un organisme vivant puisqu’il n’assure pas de manière autonome toutes les fonctions biologiques requise pour ça : boire, manger, respirer, évacuer ses déchets, se reproduire.

    • Hello Zugzwang

      Toutes les espèces :
      De un elle en est à l’origine(cellules Primaires), elle les compose de par sa diversification (voir son évolution). De deux ses mutations pourraient se produire à notre insu, car son étude en profondeur n’est pas à l’ordre du jour, il ne faut surtout pas perdre de vue qu’elle serait à l’origine de bactéries et pas des moindres. (Eubacteria)
      Quelles peuvent être leur sécrétions ?
      A l’analyse de cette évolution, on se rend compte qu’elle a donné naissance à des cellules à fonctions positives (développement d’organismes jusqu’à complexes), mais également à des fonctions entre guillemets, négative (virus, bactéries, etc). Tout cela probablement avec pour objectif, une fonction de régulation, inscrite dans son patrimoine. Ce dernier encore méconnu, pourrait constituer le ou un des chaînons manquants !
      L’atteinte communément la plus connue, est en effet celle touchant l’appareil digestif, on commence à prendre la mesure, c’est atteint facilement d’autres parties du corps. Autant dire que pour ce qui concerne les autres espèces et organismes, on est nulle part !
      Quant à dire qu’un virus n’est pas un organisme vivant, par simple déduction qu’il n’assure pas de fonctions biologiques, est pour le moins un peu léger ! Et de plus sur seule base des critères que tu références à juste titre certes. Mais comme pour les vies extra-terrestres (hors ET, petits Gris, etc) les formes peuvent être très variées, et cela peut être valable aussi pour le virus :
      – Alimentation : bien des substances chimico-organiques au sein des organismes peuvent en constituer son festin. Mais nous nous sommes arrêté qu’à ce que nous connaissions et pas plus loin !
      – Boire : pareil
      – Respirer : qui dit que sa respiration est telle que nous l’avons toujours conçue, c à d avec de l’oxygène (pourtant les bactéries en milieu acide (lac Mono), celles proliférant aux abords des puits volcaniques des profondeurs océaniques survivent bien sans), son système est peut-être aussi totalement différents et donc méconnu ! (Archaea)
      – Déchets : Là aussi, sous quelle forme, enzymes ? autres ?
      – Reproduction : Non sexuée certes, mais elle existe sous deux formes, l’adhésion à une cellule, l’injecte son patrimoine et en détruit l’enveloppe dispersant sa réplique, l’adhésion à une cellule injecte son patrimoine et utilise la membrane de la cellule hôte pour s’adhérer à d’autres cellules saines et de les leurrer, et ainsi de suite.

  10. “Quant à dire qu’un virus n’est pas un organisme vivant, par simple déduction qu’il n’assure pas de fonctions biologiques, est pour le moins un peu léger ! Et de plus sur seule base des critères que tu références à juste titre certes.”

    Concernant le virus, je me base uniquement sur des définitions actuelles “universellement reconnues”, bien que ce dernier terme ne signifie pas “vraies”. On peut effectivement attribuer de nouvelles définitions aux mots mais il est alors bon de le préciser. Ici, je ne faisait que dire aux gens que, dans le domaine de connaissance de la biologie actuelle, celle qui est observée puisque la biologie se base sur des observations, (hors E. T. donc car on ne les a pas encore observé) le virus n’est pas considéré comme un organisme vivant car il ne peut pas assurer, de manière autonome, les fonctions que j’ai mentionné. D’ailleurs, par définition, un virus, tout comme un prion, ne peut s’exprimer qu’à travers un hôte. Et balancer un bout de code génétique dans une espèce différente qui n’amène pas à un nouvel individu de la même espèce ne s’appelle pas une reproduction.

    Je me mets un peu sur la défensive (rien de méchant, je l’assure) :

    “Mais nous nous sommes arrêté qu’à ce que nous connaissions et pas plus loin”
    “qui dit que sa respiration est telle que nous l’avons toujours conçue”.
    ” Là aussi, sous quelle forme, enzymes ? autres ?”

    Tu as raison de poser des questions (plein) mais je te trouve en revanche très assuré quand tu me dis “Quant à dire qu’un virus n’est pas un organisme vivant, par simple déduction qu’il n’assure pas de fonctions biologiques, est pour le moins un peu léger ! Et de plus sur seule base des critères que tu références à juste titre certes.”. Mes propos sont (volontairement ?) déformé. Je n’ai pas dis que le virus n’assume pas de fonctions biologique mais qu’il n’assure pas, de manière autonome, les fonctions boire, manger, respirer, chier, se reproduire, qui lui assurerait le titre d'”organisme vivant” aux yeux des définitions biologiques actuelles.

    Je reconnais aisément qu’on a pas encore fait le tour de tout, qu’on a beaucoup à apprendre, qu’on doit se remettre en question, poser des questions, oser revenir en arrière sur certaines prétendues découvertes, continuer de chercher… peut-être même revoir nos définitions.

    Si tu devais définir un organisme vivant, il serait quoi pour toi ?

    Tu parles également de cellules à fonctions positives (organismes jusqu’à complexe) ou négatives (virus, bactéries, …). La encore, pour les lecteurs, pas d’amalgame : les virus et bactéries ne sont pas qu’à fonctions négatives (l’Homme, organisme complexe, n’est pas qu’à fonction positive) : certains virus présents dans notre cerveau en assure le bon fonctionnement, une souche de la bactérie E. Coli, présente naturellement dans tous nos estomacs, est indispensable à notre survie pour nos fonctions digestives. Le vieux dogme pasteurien doit tomber !

    Si l’amibe constitue effectivement “le chaînon manquant” de notre évolution, je suis forcé de constater qu’elle a donné naissance à une ramification d’espèce impressionnante ! Animaux, végétaux, unicellulaires, pluricellulaires, races, espèces, variétés, … Une amibiase pourrait fort bien contaminer une bonne partie des espèces vivantes de la planète, je pense cependant que la biodiversité pourrait nous sauver (comme elle l’a toujours fait), sinon à quoi bon qu’elle existe. Dans l’extrême, même si l’Homme devait disparaitre, la vie perdurera grâce à la biodiversité. On pourrait la comparer à une entreprise dont tous les ordinateurs fonctionnent sur le même réseau et sur la même architecture informatique. Si un seul ordinateur est infecté par un virus, tout le parc est foutu. (C’est pour cette raison que je râle contre les OGM, entre autres). D’un autre côté, quand on survit à un virus, on est immunisé et on en ressort plus fort pour la prochaine fois.

    • J’avoue que le but de ma réponse est plus de provoquer une remise en question des dogmes qui nous sont imposés par les découvertes antérieurs et avec lesquelles on nous cloisonnent et certains pans de la recherche sont même proscrit et déniés. Par ce fait, on peut aisément soupçonner qu’elle soit volontairement orientée, mais là c’est un autre débat.

      Dans la reproduction, il y a l’asexuée aussi, elle est constatée parmi les unicellulaires. Mais d’un autre côté, lorsqu’on parle de reproduction, pourquoi se borne-t-on à ne faire allusion qu’à la seule multiplication de l’individu, et pourquoi omettons-nous le facteur “transmission du patrimoine génétique” ? Qui est aussi une forme de reproduction, et je reste persuadé que ce serait à partir de là que toutes mutations auraient pu se réaliser, peut-être aussi liées à de conditions particulières, sans cela où en serions-nous ! Je ne dis pas que c’est la même chose, mais quand je compare le mécanisme du virus et celui du mycélium, il n’y a pas loin d’y voir des similitudes. Sans supports, il ne peut se reproduire et la présence de brins ou filaments pour coloniser l’hôte est pour le moins similaire, non ?

      Définir un organisme dit vivant ? Et comment serait-il ? Comme je le dis ci-dessus et dans ma réponse précédente, je ne me cloisonne pas dans les archétypes. Toute forme de vie peut avoir des modes de vie et milieux, qui pour nous, pourraient être impensables, inimaginables, au-delà de toutes logiques, ce fut récemment le cas, avec la bactérie du Lac Mono, et plus récemment encore la découverte d’organismes vivants venant de l’espace et ayant résisté aux températures de la traversée de l’atmosphère et l’impact au sol.

      Quant aux fonctions positives ou négatives, il est vrai que j’ai dépeint le tableau très succinctement, pour faire court ! Mea Culpa

      Très étonnamment, l’amibiase fut pour la première fois décelée, dans une région sibérienne vers 1850-1900. Dernièrement une équipe russe ayant prélevé des échantillons tissulaires sur un mammouth et y a trouvé un organisme s’apparentant à l’amibe de par sa structure mais n’en serait peut-être pas une. Ce même organisme avait déjà été trouvé quelques temps auparavant, sur un fossile d’arthropode en Australie. La couche géologique dans laquelle il fut retrouvé était estimée appartenir au début du Cambrien. Il a été également identifié sur plusieurs autres fossiles attribués quant à eux, à deux extinctions massives, celle du Cambrien et celle de l’Ordovicien-Silurien. Toutes deux ont en commun, un refroidissement global et pour la dernière, la Terre aurait été frappée d’un sursaut gamma (lié à l’explosion d’une étoile). Donc, précédent cette glaciation les températures étaient supérieurs, donc des conditions favorables au développement des parasites et de l’amibe et autres joyeusetés, conditions que nous connaissons depuis la fin du “petit âge glaciaire”.
      On aurait découvert récemment qu’un tel bombardement, ainsi qu’une exposition soit prolongée, soit répétitive à des éjections de masse coronale, pourrait entraîner des désordres au sein même des noyaux des cellules, causant ainsi une mutation génétique progressive et donc non brutale, sur plusieurs générations.

  11. il ni pas que des amibes dans les pays tropicaux il y en a également en méditeranée en Grèce lors de condition climatique particulière (cannicule + haut degré humité)mais également les eaux de baignage du coté de Athenes sont touchée par le phénomène

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