Deux monnaies locale, Montpellier et le Sud de la Haute-vienne : ” La graine ” et ” Lou Pelou “

Montpellier : Comment agir avec la ” graine “ :

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La Haute-vienne  ” Lou Pelou ” :

Pour la communauté de communes élargie du canton de Saint Germain les Belles

(Sud Haute-Vienne).

La première rencontre à eu lieu le 6 janvier 2012 et a réuni 14 personnes. Il faut ajouter à ce nombre, une dizaine de personnes qui se sont excusées avant ou après. Chacun a pu exposer les raisons de sa présence ainsi que ses aspirations quant à la manière de faire vivre nos territoires.

La définition du groupe en tant que collectif (groupe non constitué sous une quelconque forme juridique) a été approuvée par l’ensemble des participants, dans la mesure où cette formule apporte de l’oxygène aux processus démocratiques, dans les débats et la prise de décision. Elle permet également d’éviter la charge de responsabilités trop pesantes. A l’inverse, la location de la salle de Magnac a été payante car nous ne sommes pas constitués en association. Il faudra donc trouver une formule : soit créer une association des « amis du collectif » (sans que celle-ci puisse interférer dans la vie de ce dernier), soit adhérer à une association existante qui apporterait sa responsabilité juridique. Quant à l’objet du collectif, il se positionne en faveur de l’idée de faire vivre nos territoires.

Le lien et l’entraide, la nécessité de connaitre les besoins des uns et des autres afin de rompre les différentes formes d’isolement (âge, situation familiale ou sociale…) ont marqué un point essentiel et commun à l’ensemble des participants. Systèmes d’échanges locaux, entraide familiale non comptabilisée, lien intergénérationnel, décloisonnement des générations ont été évoqués en tant que pistes potentielles d’actions concrètes.

Source & leur site

Mouton Resistant

22 Commentaires

  1. pas de lien !!

  2. Oui pas de lien sur “Source & leur site”

  3. ATTENTION!

    Pour être “juste” une monnaie doit-être INITIALEMENT distribué A TOUS et avec la MÊME QUANTITÉ par personne.

    Faute de quoi, C’EST UNE ESCROQUERIE!!!

    Où les initiés* s’engraissent au détriment des gogos bien attentionnés…Jusqu’à l’écroulement de cette nouvelle monnaie fiduciaire locale.

    MÉFIANCE, MÉFIANCE…

    *Ceux qui distribuent la monnaie, les chefs des rotatives…

  4. Je vais vous dire ce qu’il faut faire pour qu’une monnaie privée fonctionne :

    Elle doit être adossée à un actif garanti.

    Cela signifie qu’une monnaie privée, ne peut pas être collective si on veut qu’elle fonctionne.

    Il y a un acteur, clairement déterminé, ou une coopérative d’acteurs, qui doit prendre à 100% la responsabilité de l’émission de cette monnaie.

    Le fantasme collectiviste n’est pas possible en matière monétaire.

    La monnaie est un outil de confiance et pour qu’elle soit viable, il faut donc savoir qui émet cette monnaie, pour savoir si on peut faire confiance à cet émetteur.

    Personne ne fera confiance à un réseau non clairement identifié d’acteurs émetteurs.

    Cela veut dire par exemple, qu’un commerçant qui veut émettre sa monnaie, va garantir que chaque billet qu’il va émettre, permettra d’être échangé à tout moment, contre une marchandise précise dans son commerce.

    C’est une reconnaissance de dette au porteur.

    Le risque étant, que le commerçant émette plus de monnaie, qu’il ne peut servir de marchandises !

    C’est exactement le problème qu’on a actuellement avec le bitcoin.

    Pour cette raison, il faut une concurrence monétaire et non pas uniquement, une seule monnaie.

    Cela veut dire, si on veut créer une monnaie alternative dans une ville par exemple, cela veut dire que chaque commerçant doit créer sa propre monnaie et qu’une coopérative indépendante, doit jouer le rôle d’agence de notation.

    Cela veut dire, non seulement qu’un commerçant (ou un citoyen fortuné qui garantirait sa monnaie sur sa fortune personnelle par exemple) doit émettre sa propre monnaie, mais qu’il doit en plus, ouvrir 100% de sa comptabilité à l’agence de notation coopérative que les habitants devront créer.

    Ensuite, ce n’est toujours pas suffisant.

    Comment décider d’émettre de la monnaie ?

    En quelle quantité ?

    A quelle date ?

    Sous quelles conditions ?

    Il faut le faire, en fonction du PNB mensuel sur un territoire donné.

    Cela veut dire, qu’il faut connaitre toute la comptabilité de toutes les entreprises qui travaillent sur une zone géographique donnée.

    Ce dernier point est le plus difficile, parce que seuls les Etats peuvent généralement parvenir à avoir ces informations.

    Une Mairie à la limite, pourrait avoir l’autorité suffisante, pour se faire une petite idée des flux monétaires en circulation sur sa commune.

    Ou même un citoyen fortuné qui aurait fortement investi sur une commune (des commerces etc.), pourrait lui aussi se faire son idée.

    Donc vous voyez qu’une monnaie ne s’improvise pas, il faut plusieurs acteurs et des projets associatifs ou collaboratifs comme ils sont menés actuellement, sont très loin de pouvoir offrir une alternative viable à l’euro ou aux monnaies étatiques.

    Pour résumer il faut :

    1° – des émetteurs de monnaie créée qui garantissent la monnaie sur un actif matériel et / ou immatériel à échéance ou non.

    2° – des agences de notations fiables, qui peuvent prendre la forme de coopératives de citoyens ou même de partis politiques avec la prise d’une Mairie par exemple.

    3° – une estimation la plus fiable possible des flux monétaires (toutes monnaies confondues) et du PNB et du PIB sur le territoire où est émise la monnaie.

    4° – une capacité à étudier la comptabilité de ceux qui vont émettre la monnaie et donc une capacité à connaitre et à comprendre les grands mécanismes de fraude en comptabilité.
    Car un commerçant qui émettrait se propre monnaie, pourrait truquer sa comptabilité, pour pouvoir voler ceux qui utiliseront sa monnaie, par la dévaluation de l’actif qui garanti la valeur de la monnaie émisse !
    Une agence de notation coopérative, doit donc avoir la capacité, de connaitre, les mécanismes de fraude, pour pouvoir les détecter !

    Ce dernier point n’est pas évident !

    Et là on ne parle plus seulement de la comptabilité d’un commerce, mais de la comptabilité d’un commerce, POUR de l’émission monétaire !

    Ce défaut peut néanmoins être compensé, par deux choses :

    1° – la multiplication des acteurs !
    On peut imaginer, au lieu de créer dans une ville, une seule monnaie, on peut imaginer que plusieurs commerçants de la ville créent chacun leur propre monnaie et que toutes ces monnaies soient réunies sur une bourse communale, pour créer un panier de monnaies (comme on le fait avec les produits dérivés sur les marchés financiers).
    C’est à dire que la monnaie utilisée serait en fait l’addition de toutes les monnaies créées dans la ville par tous les commerçants et toutes les entreprises.
    De telle sorte que si un commerçant fait faillite, ce ne soit pas toute la monnaie qui fait faillite en même temps !
    Matériellement vous n’auriez en main qu’une seule monnaie, mais virtuellement cette monnaie serait portée par des dizaines d’autres monnaies locales.

    2° – la confiance !
    On peut imaginer de petits villages ou même certains quartiers dans des grandes villes, qui parviendraient à créer un réseau de confiance, qui permettrait de s’affranchir des agences de notation.
    Cela pourrait se faire par exemple, sur la base de réseaux de troc ou de services rendus mutuellement ou de travail au noir…
    Ou même sur la base de réseaux comme le réseau Emmaus.
    On pourrait créer un réseaux d’individus dans un quartier, qui se feraient confiances les uns les autres, parce qu’ils se rendent mutuellement des services et ce réseau, pourrait alors sur la seule base de cette confiance, créer sa propre monnaie, sans qu’il soit nécessaire de recourir à une agence de notation.

    Donc vous voyez que tout cela est très faisable, que les monnaies privées sont l’avenir, d’une façon ou d’une autre, comme le fut l’imprimerie de Gutenberg… malgré son interdiction par les Etats.

    Car il va s’en dire que pour le moment, tout ceci est tout ou partie illégal.

    Nous devons donc dire au régime, qu’il n’y a de légalité, que de légitimité et qu’un régime, qui interdit les monnaies privées, est un régime illégal.

    Alors il faut continuer le forcing et il faut sans cesse harceler le Nouvel ordre mondial, pour arriver à l’inéluctable légalisation des monnaies privées.

    En attendant, le développement des monnaies privées, passe par l’association avec les entrepreneurs, avec les commerçants et avec les grandes fortunes, pour garantir sur des actifs la valeur des monnaies privées.
    Il faut aussi créer des partis politiques locaux, pour prendre les Mairies, qui pourront alors ouvrir des bourses communales de monnaies.
    Enfin il faut créer des coopératives d’habitants, qui auront sous une forme associative, la capacité et la compétence pour jouer le rôle d’agences de notations auprès des émetteurs de monnaies privées.

    • Dixit: « La monnaie est un outil de confiance et pour qu’elle soit viable, il faut donc savoir qui émet cette monnaie, pour savoir si on peut faire confiance à cet émetteur. »

      Alors la t’as tout dit! : “Faite moi confiance… »

      Oui bien sûr,
      Ça fait plus de 6000 ans qu’immanquablement tous les « banquiers » se tirent avec la caisses d’actifs RÉELS d’adossement, en nous laissant un tas de PQ en échange.

      Et toi, tu viens nous resservir la même recette.
      Mais c’est bien sûr, cette fois-ci cela sera différent!

      Ta un intérêt dans cette histoire, toi le sagesse économiste?

      • @engel :

        Tu n’as rien compris.

        Je n’ai aucun doute que ces initiatives de monnaies privées vont vraiment fonctionner avec un pareil manque de rigueur et de connaissances !

        La plupart des monnaies privées finissent en eau de boudin, parce qu’elle sont justement mises en oeuvre par des rêveurs ou des anarchistes comme toi.

        Les banques n’existaient même pas il y a 6000 ans…

        Tu recherches un bouc émissaire et tu n’as toujours pas compris que le système bancaire n’avait aucune responsabilité dans la crise actuelle et dans l’effacement des comptes en banque à venir.

        Se sont les banques centrales sous ordre des gouvernements, qui font marcher la planche à billets pour pouvoir payer la dette qui sert à faire vivre les fonctionnaires et tout l’assistanat, qui permet à ces élus de se faire réélire.

        Cela, ou un complot pour mettre toutes les monnaies en faillite, pour imposer une monnaie mondiale unique, outil du totalitarisme du nouvel ordre mondial.

        Bref, je ne m’attends pas à ce que vous compreniez, j’ai bien compris que nous étions là au café du commerce, mais au moins mettez de l’eau dans votre vin.

        Parce qu’avec tout ce discours, il est facile au Nouvel ordre mondial de démontrer la bêtise du peuple, pour après venir justifier la nécessité de sa dictature.

        • Je me permet de dire que LES PLANCHES A BILLETS n’existent PAS..
          C’est juste des chiffres informatiques ajoutés…
          Que des gens croient encore en une monnaie imprimée,hahaah,la puce nous attend…

          • J’ajoute que des Delamarche et autres zombies économiques qui affirment qu’on dois rembourser des chiffres sur disques durs sont des malades…

            • @rouletabille :

              Qu’en savez-vous ?

              Pouvez-vous m’expliquer le fonctionnement de la monnaie comme vous pourriez m’expliquer le fonctionnement d’un moteur de voiture ?

              C’est une chose de rêver, c’est autre chose de bâtir.

              Je vous ai schématiquement expliqué dans mon premier commentaire, comment fabriquer une monnaie privée qui puisse être VIABLE.

              La planche à billets elle existe, c’est la politique de “quantitative easing”, qui consiste à créer de l’argent ex-nihilo, sans contrepartie, pour prêter cet argent à l’Etat ou aux banques privées mises en faillite, par l’Etat à cause du taux directeur inadapté à l’économie déterminé par l’Etat, pour justement payer sa dette à bon compte.

              Oui, nous devons rembourser des chiffres sur des disques durs, car ces chiffres ne sont que la comptabilité de prestations qui ont été physiquement réalisées !

              Des crédits ont été accordés, avec ces derniers des maisons ont été construites, des fonctionnaires ont été payés, des routes furent entretenues etc.

              Donc, si le remboursement ne vient pas, c’est l’effacement des comptes bancaires.

              Vous savez pourquoi ?

              Parce que ces crédits que l’Etat s’est accordé à lui-même avec la planche à billets, ils sont garantis sur les dépôts bancaires !

              Sa veut dire, que les comptes bancaires seront le plus certainement effacés.

              Donc, effectivement, les chiffres sur les disques durs ne seront pas remboursés, mais qui en paiera le prix ?

              Les prêteurs.

              Comme dirait Mélanchon, cette dette, il suffit de ne pas la rembourser et les prêteurs n’ont qu’à s’assoir dessus !

              Oui.

              Sauf que, qui sont les prêteurs ?

              C’est vous et moi.

              C’est les dépôts bancaires, c’est le livret A de votre grand-mère, c’est le compte en banque de la société pour laquelle vous travaillez, c’est mon épargne, la votre, la notre !

              Mélanchon et tous les politiciens ne comprennent pas cela ou alors, ils sont corrompus et ils s’en foutent.

              Comme en Argentine et comme à Chypre, les comptes bancaires seront donc effacés.

              A partir de là, les monnaies privées devront prendre le relais.

              Et ce n’est pas avec des rêves et des hippies qu’on va réussir à mettre en place des monnaies privées VIABLES, mais avec des communautés de citoyens, appuyées par de vrais professionnels, des comptables, des financiers, des entrepreneurs et surtout des gens fortunés qui devront proposer leur fortune pour garantir les monnaies privées, au cas où les monnaies privées elles-aussi feraient faillite, car une monnaie ne s’improvise pas, il y a des règles à respecter.

              Si vous voulez fabriquer un moteur de voiture, l’approximatif n’est pas une option !

              Si vous montez le pot d’échappement à la place du carburateur, il y a peu de chance que cela fonctionne !

              Une monnaie c’est la même chose.

              Une monnaie privée c’est une comptabilité qui doit être réglée avec finesse et rigueur.

              Je doute que mes interventions soient utiles, mais au moins doivent-elles vous faire comprendre qu’il faut professionnaliser les monnaies privées pour que de vraies monnaies privées puissent éviter la ruine après l’effacement des comptes bancaires.

    • Je me demande clairement qu’elle est l’intérêt de chercher à répondre à tes arguties.

      Ton néo-libéralisme est affligeant d’illogisme et d’impossibilités pratiques.

      J’ai l’impression de lire les élucubrations pseudo-économiques d’un illuminé qui ne comprend rien à l’économie, ni à ce qui existe déjà.

      Pour info, tu devrais te renseigner sur le fonctionnement des SEL, et également du SOL…

      Et cela n’a rien d’un système PRIVE !

      Au contraire, cela repose sur un fonctionnement COMMUNAUTAIRE !

      Laisse tomber.

      Et va vendre ta soupe capitaliste néo-libéral à d’autres gogos, pigeons, et aux moutons vaccinés.

      C’est la dernière fois que je perd du temps à te répondre.

      Donc inutile de perdre ton temps également ici à chercher des couillons à arnaquer avec ta FED locale ou globale.

      Quasiment tous nos problèmes viennent du fait que nous avons laissé l’émission de la monnaie aux mains de structures privées, alors remballe ton baratin, et laisse nous construire un autre monde où nous exclurons tous les kleptocrates existants ou en puissance tel que toi.

      Je ne te salue pas. Bon vent…

      • Bravo FENRIR.
        Suis dac avec toi .
        Tu dois pas t’énerver ainsi ,avec le temps tout s’en vas,faut laisser faire .
        bisous à ton tracteur.
        Content de te savoir parmi nous ,sortie ce WE ,je reste avec vous jusqu’à tantôt…

  5. Une possibilité serait de distribuer la même somme fiduciaire à tous les individus.
    Ainsi cette argent n’aurait aucune valeur à ces début.
    Elle n’enrichirait pas plus l’emmeteur que le récepteur.
    Sa valeur ne se créant que par la suite, par sa vitesse d’échange et son volume.

    Mais bon, une monnaie qui n’enrichit pas son emmeteur …Je ne suis pas sûr que cela te plaise.

    • @Engel :

      Si une monnaie enrichie son émetteur, c’est qu’elle enrichie aussi son utilisateur.

      Personne ne va créer une monnaie gratuitement pour vos beaux yeux, tout comme personne ne va accepter de travailler gratuitement pour vos beaux yeux.

      Il est donc légitime que le système bancaire puisse être rémunéré pour le service d’émission monétaire.

      D’autant plus que vous y participez aussi, puisque chacun touche le taux d’intérêt sur le compte en banque !

      Vous ne vous êtes jamais demandé d’où vient le taux d’intérêt versé en fin d’année sur le Livret A par exemple ou sur les comptes d’épargne ?

      Donc vous vous accusez vous-même si vous accusez l’émetteur de se rémunérer !

      Car vous êtes vous même l’émetteur lorsque vous mettez de l’argent sur un compte en banque et vous êtes rétribué pour cela en touchant le taux d’intérêt.

      Ensuite, il faut comprendre que la rémunération doit couvrir intégralement les faillites !

      Le banquier prend une rémunération qui ne constitue pas son salaire, car il doit utiliser cette rémunération pour compenser les faillites et les crédits qui ne seront jamais remboursés par ses clients !

      Si une banque accorde 1 000 euros de crédit à un entrepreneur et que cet entrepreneur fait faillite, la banque va accuser une perte de 1 000 euros, qu’elle doit compenser sur son propre bénéfice.

      Il n’y a donc qu’une fraction du bénéfice apparent des banques qui est utilisée pour la rémunération effective des banquiers !

      Tout cela dysfonctionne à cause de l’Etat, qui a demandé aux banques centrales de déterminer un taux directeur trop faible, pour que l’Etat puisse emprunter de l’argent à bon compte depuis 30 ans, pour financer le fonctionnariat, l’assistanat, la corruption et la politique migratoire suicidaire.

      Ensuite, à cause de la corruption, Bill Clinton et le Nouvel Ordre Mondial avec les accords de Bâle, on fait la fusion des banques d’affaires et des banques de dépôts.

      Ils ont mélangé la poste et le casino pour que vous compreniez.

      Tout cela parce que les politiques sont de mèche avec des banquiers corrompus.

      Et vous remarquerez que François Hollande n’a toujours pas ordonné la séparation des banques d’affaires, des banques de dépôts…

      Parce qu’ils se tiennent tous.

      La valeur des banques en bourse est maintenant au plus bas… Cela veut dire qu’elle peuvent aller à la casse, comme en Argentine, comme à Chypre.

      La faillite des banques ne sera pas due au banques, mais à la défaillance du régulateur corrompu et incompétent, qui est l’Etat et le Nouvel ordre mondial.

  6. Dixit: “Si une monnaie enrichie son émetteur, c’est qu’elle enrichie aussi son utilisateur”.

    Mais tu te rends compte de la connerie que tu as osé écrire.
    Tu nous prends vraiment pour des cons!

    Je pense que tu es un troll et à ce titre, j’en resterais là.

    Ps: Les banques centrales sont déjà des banques privées.
    A actionnariat privé, à territoire privé, au dessus légalement des lois du pays hôte, ayant sa propre police et statutairement indépendant du politique.
    en clair, totalement intouchable et ininffluençable.

    Faudrait vraiment arrêter de nous pisser dessus et de nous expliquer qu’il pleut!
    Merci.

    • Je n’ai aucun doute avec pareille intelligence que la France finira comme l’Argentine et comme Chypre.

      La banque centrale est le produit du monopole monétaire octroyé par l’Etat.

      Ce monopole permet à l’Etat de faire marcher la planche à billets pour payer tous les rêves des occidentaux (les retraites, les sureffectifs de fonctionnaires, la corruption, les centrales atomiques collectivistes etc.) et au passage cela permet aux banques faussement privées puisqu’elles jouissent du monopole, de toucher le produit de la corruption.

      La libre concurrence monétaire, donc les monnaies privées, s’oppose à ce monopole des banques centrales incompétentes et corrompues, autant que le sont nos Etats.

      • AHAHAHAHAHA !!!!

        Et voilà, tu viens de démontrer l’incohérence de ton propos.

        Car pour mémoire, et véritable information, la création monétaire n’est plus du monopole des états mais d’institutions privées.

        Et nous en voyons et subissons les conséquences…

        Tu prônes simplement de le généraliser à une échelle moindre afin de permettre à de plus nombreux margoulins de se faire du fric sur notre dos.

        Car c’est cela la réalité de la privatisation que tu appelles de tes voeux.

        La libre concurrence est un piège à gogo, ainsi qu’un fabuleux oxymore reposant une fois de plus sur l’utilisation du terme “libre”…

        Tu l’évoques d’ailleurs en parlant de banques faussement privées, alors qu’elles le sont pourtant belles et bien.

        C’est le même détournement de sens que nous avons avec la différence colossale entre la pensée et la philosophie Libérale, et l’économie libérale qui prétend s’en inspirer pour mieux en pervertir l’esprit…

        Merci pour ta participation à la démonstration de l’absurdité de l’émission de la monnaie par des individus et non pas par la collectivité.

  7. la monnaie c’est pour les égoïstes qui tirent profit sur les différences des autres, un être humain complet au niveau du cerveau aime donner et partager sans rien demander en retour et surtout pas un bien immatériel soumis aux caprices de personnes ateintes du syndrome de dégénérescence qui les pousses à dominer les autres, une monnaie provoque des riches et des pauvres donc des guerres

Les commentaires sont clos.