Le plan du gouvernement pour l’intégration des immigrés…

Mise à jour avec ajout d’un article: “Les mesures du « Rapport Intégration » traduites à l’usage des naïfs

Un acronyme de plus dans la jungle des “commissions” et autres “structures de réflexion” l’ OFII. A l’heure où la cour des comptes épingle le gouvernement sur ses méthodes. On aimerait bien savoir le budget global alloué à toutes ses structures.. La valse des chiffres selon M.Valls nous donne 9000 expulsions de moins en 2013.

Ce plan, qui comporte 28 mesures, dont certaines étaient déjà connues, sera assuré par un délégué interministériel placé sous l’autorité du Premier ministre…

Le gouvernement a présenté mardi sa feuille de route sur l’intégration. En voici les principales nouveautés:

Une nouvelle organisation

Un délégué interministériel «à l’égalité républicaine et à l’intégration» rattaché au Premier ministre, va être créé. Il s’agira d’ une structure «légère» chargée de «coordonner» les actions des différents ministres concernés (Éducation, Emploi, Logement, Intérieur…) Un Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) va être ouvert, toujours sous la tutelle de l’Intérieur, aux autres ministères et au nouveau délégué.

Une réforme de l’accueil en France 

Le contrat d’accueil et d’intégration (CAI) va être réformé  pour être plus individualis. Le gouvernement va débloquer des moyens supplémentaires pour des cours de français (montant non divulgué) et imposera un certain niveau avant de délivrer les titres de séjour. Le détail sera précisé dans le projet de loi immigration attendu d’ici la fin de l’année.

Une lutte contre les discriminations plus active

Les agents publics (professeurs, conseillers d’orientation, agents de Pôle emploi, inspecteurs du travail, agents médico-sociaux…) seront formés à la lutte contre les discriminations. Les méthodes de recrutement sans CV, soit par «médiation active» (Pôle emploi sélectionne un candidat) ou par «simulation» (mise en situation )seront développées. Les partenaires sociaux devront discuter de la mise en oeuvre du  «CV anonyme» et d’éventuels «recours collectifs» en cas de discriminations, lors de la prochaine conférence sociale.

Les jeunes Français seront mieux informés sur les concours d’accès à la fonction publique et  seront aidés à préparer ces concours pour ouvrir le recrutement à des profils plus variés.

D.B. avec AFP pour 20Minutes
Vu que tout le monde n’est pas en mesure de saisir toute la subtilité des explications qui peuvent être fournies officiellement, justement pour ne pas que trop de monde puisse se rende compte de la gravité de certaines décisions, une explication plus claire encore est proposée:

La « Feuille de route pour la politique d’égalité républicaine et d’intégration », dont le nom paraît étrangement inspiré du mot d’ordre d’Alain Soral, « Egalité et Réconciliation », cache sous une apparence aimable, une révolution totalitaire de nature administrative et juridique. Le but est d’aider les éléments « issus de la diversité », pour faire court la population en France issue de l’immigration extra-continentale, principalement afro-maghrébine.

Traduction de chaque mesure en français non politiquement correct :

1-Mesures 1 et 2, creuser les inégalités de traitement en matière éducative

Les mesures 1 « la réforme de l’éducation prioritaire » et 2 « la lutte contre le décrochage scolaire » traitent de la politique d’éducation. L’année 1981 a vu la Création des Zones Prioritaires d’Education,  sur le site internet dédié à l’éducation prioritaire, on peut lire ceci « cette politique marque une rupture forte avec la conception traditionnelle de l’égalité républicaine … Cette inégalité de moyens vise à compenser les effets des difficultés socio-économiques pour obtenir une égalité de résultats dans des zones particulièrement défavorisées qui sont déterminées en fonction de critères essentiellement sociaux. ».

Depuis lors se sont greffées diverses lois renforçant ce principe, que le ministère de l’Education nationale, qualifie lui même d’inégalitaire ! Le rapport sur l’intégration verra donc un renforcement de cette inégalité au profit des quartiers dits divers et sensibles, toujours plus d’aides, toujours plus de moyens, pour quels résultats ?

Trente trois ans qu’il s’y essaye, et le pouvoir en est toujours au même point, les élèves sont décrochés, et on peut douter que des moyens supplémentaires y changeront quelque chose. En outre ces aides accordées aux quartiers sensibles, seront d’autant moins d’aides aux zones péri-urbaines, lesquelles n’ont pas la chance d’avoir le « Label diversité ».

2-Mesures 4 à 7, créer les conditions d’une discrimination à l’embauche en faveur de la « diversité »

Les mesures 4 « le service public régional de l’orientation », 5 « l’accès aux stages et aux immersions en emploi », 6 « généraliser les techniques de médiation vers l’emploi en matière de recrutement », et 7 « développer les méthodes de recrutement non discriminatoires (recrutement par simulation, recrutement sans CV) ». concernent la politique de l’emploi dans le secteur privé.

On observe la récurrence du terme simulation, qui masque difficilement la dissimulation grossière des autorités publiques : favoriser l’embauche de personnes issues de l’immigration au détriment de ces français de souche qui eux n’ont pas le droit d’exister ! Le principe de discrimination positive, au profit des catégories considérées comme lésées, est considérablement renforcé.

Afin d’éviter que la « diversité » ne soit défavorisée à l’embauche, se trouvent créés des établissements publics couteux qui auront pour mission de faire pression sur les patrons, lesquels patrons auront de toute façon face à eux des CV anonymes.

3-Mesures 8, 9, et 14, culpabiliser les français de souche, contraindre les chefs d’entreprise à embaucher des français issus des minorités visibles, attribuer les marchés publics en fonction de la soumission des entreprises à ces mesures

Le volet « culpabilisation active » comprend les mesures 8 « donner un nouveau souffle au Label Diversité » et 9 « faire de la lutte contre les discriminations un enjeu du dialogue social »., et 14 « faire de la lutte contre les discriminations un axe fort des prochains contrats de ville ». Le « label diversité » est une norme de certification AFNOR, voici ce qu’on peut trouver sur leur site internet : « Le Label Diversité est le témoignage de l’engagement effectif et volontaire d’un organisme pour promouvoir la diversité en prévenant les discriminations dans le cadre de sa gestion des Ressources Humaines (recrutement, intégration et gestion des carrières), tout en s’attachant à son ancrage territorial et en s’intéressant par ailleurs aux relations qu’il entretient avec ses fournisseurs, ses clients et/ou ses usagers. ».

Pour schématiser, un chef d’entreprise doit embaucher et promouvoir des salariés issus de l’immigration « visible », sous peine de ne pas avoir la certification, et cela se fera au détriment de ceux qui n’en sont pas issus ! Ce même chef d’entreprise est encouragé à se fournir auprès de sous-traitants issus eux aussi des minorités visibles ! Qu’ont à gagner les chefs d’entreprise ? Des Marchés publics, car ainsi, en appliquant cette norme, ils se font bien voir des autorités (mesure 14). Totalitaire.

Le français de base qui n’existe pas, non content d’être défavorisé à l’embauche, est invité à s’entretenir de ses comportements discriminatoires dans les discussions municipales de quartier (mesure 9). Il ne faudrait pas qu’il s’aperçoive, qu’il est lui, le discriminé !

4-Mesures 10 à 13, et 15 à 18,  vérifier que chaque personne issue d’une minorité visible ou immigrée ait bien touché toutes les aides sociales possibles et soit favorisée dans l’accès au logement en priorité sur les « français de souche » qui n’existent pas,  imposer des quotas d’immigrés ou de français issus de l’immigration visible dans les quartiers qui ne seraient pas assez « diversité friendly »

Ces mesures présentent des notions d’ « affirmative action » assez classiques,  la mesure 15 « lutter contre la ségrégation urbaine » sera probablement suivie d’une obligation à construire plus de HLM pour les programmes immobiliers neufs, ces logements seront bien entendu  prioritairement attribués aux éléments de la « diversité ».

Comme chacun le sait, les français issus de l’immigration ou les travailleurs immigrés, sont souvent trop timides et hésitent à faire valoir leurs droits sociaux ou leurs droits préférentiels à l’attribution de leurs logements. Ah bon vous ne le saviez pas ? L’état lui le sait et fera tout pour.

A nous faire en sorte pour que chacun ait sa part ! Quand les femmes d’agriculteurs touchent des retraites médiocres, il faut bien entendu penser à nos damnés de la terre, discriminés par les méchants français de souche qui n’existent pas, et étendre leurs droits sociaux.

En outre les propriétaires de logements discriminent beaucoup trop (mesure 13 – garantir la transparence des procédures d’attribution de logements sociaux ET un accès équitable au parc privé), il faudra les surveiller, voire les forcer à louer à des gens issus de la diversité, c’est ce que veut dire en français correct « accès équitable au parc privé ».

5-Mesures 19 à 23, rééduquer et lobotomiser les agents de l’état pour qu’ils soient à même de favoriser en toutes circonstances les « visiblement minoritaires »,  tous doivent être mobilisés, les inspecteurs du travail pour sanctionner (mesure 22), les policiers pour se soumettre (mesure 23), les professeurs pour expliquer aux enfants que les « issus de la diversité » sont historiquement discriminés (mesure 20).

Cet ensemble de mesures vise à former les personnels du service public à mieux appréhender la « diversité » des peuples qui composent la France, en sensibilisant l’ensemble des agents publics (mesure 19) et en leur indiquant des missions de discrimination « positive ».

L’ensemble de l’appareil d’état est mis au service de toutes les minorités, en niant la majorité, cela va s’accompagner de feuilles de route, d’embauche de policiers parlant l’arabe, d’agents de pôle emploi parlant le romani….

6-Mesures 24 à 26, imposer de force une fonction publique de la diversité, car former des agents français de souche ne suffira pas aux « divers » pour qu’ils se sentent vraiment chez eux, généraliser le « Label Diversité » dans l’administration

La mesure 24 consiste en l’amélioration des conditions de préparation et d’accès aux concours de la fonction publique, soit avantager en toutes circonstances les français issus de l’immigration visible pour l’obtention des postes de fonctionnaires à créer, même s’ils sont moins bons que les « français de souche », ils doivent leur être prioritaires.

Ce que vient compléter la mesure 25 qui traite du « développement de l’apprentissage dans la fonction publique », c’est à  dire que les français issus de la diversité vraiment trop mauvais aux concours, seront intégrés directement hors concours dans la fonction publique et promus en interne.

Ces mesures remettent en question le « pacte républicain », l ‘égalité devant la loi, la justice sociale, l’équité des concours de la fonction publique. Il s’agit d’une révolution raciste, qui défavorisera fortement les français de souche, tant quant à l’embauche dans les secteurs publics et privés que quant à l’obtention de logements.

Source: Europehistorique.hautetfort.com via Fdesouche

 

Volti

3 Commentaires

  1. De quand date cet article ?!

    L’OFII existe depuis des années, et les cartes de résident sont déja conditionnées à un examen de langue Française.
    D’ailleurs, cette règle à l’emporte pièce pénalise lourdement les familles de Français expatriés, qui vivent dans un pays non Francophone et éloignés des consulats: Leurs membres ne peuvent se rendre aux cours de Français “agrées”, et courent le risque de se voir refuser leur carte de séjour en France; Les Français de l’étranger, fort peu nombreux donc formant un électorat négligeable, sont ainsi maintenus hors de leur pays et ne peuvent plus revenir.
    Les mauvaises langues ignorantes diront que c’est bien fait, qu’ils n’avaient qu’à pas “abandonner” leur pays, ou comme me l’a dit jadis une petite crapule larvaire du consulat de France à Canton (un dénommé Menchini !), que ces gens constituaient un “risque potentiel d’immigration”;
    Or ces gens, sont la plupart du temps employés par des firmes Françaises pour promulguer leur savoir faire hors de nos frontières. Des sortes d'”ambassadeurs”, bien que ce terme résonne de nos jours comme un synonyme de complot gouvernemental illuminati.

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