Effondrement économique mondial : Quand les signes précurseurs du krash de 1929 réapparaissent…

C’est le graphique qui fait peur en ce moment, une répétition de’ l’histoire pour certains qui confirmerait ce que beaucoup craignent ou attendent avec plus ou moins de préparation. Cela confirme également une chose: nos chères élites bienveillantes attendent bien patiemment que les fêtes de fin d’années passent pour relâcher le couperet, durant ces fêtes, beaucoup d’argent va être brassé, j’ai même lu que pour la chaine chaine de magasins “La grande récré” a généré il y a deux jours 12 000 euros par minute, vous imaginez? Et donc, 2014 s’annonce comme prévu: catastrophique (désolé pour votre moral).

krach 1929 2014

Le marché boursier en ce moment trace un dessin d’un modèle sinistrement semblable à celui qui a mené à l’infâme krach des marchés des années 1929. Le modèle, illustré par Tom McClellan du rapport des marchés McClellan, a été porté à sa connaissance par le devin du diagramme bien connu Tom Demark, indiqué ci-dessous (DJIA : Dow Jones Industrial Average).

Pour avoir plus d’infos et d’explications sur ce graphique, je ne peux que vous renvoyer sur cet article qui justement nous dit tout: Effondrement économique mondial : Quand les signes précurseurs du krash de 1929 réapparaissent…

Benji

23 Commentaires

  1. Voici un très bon article de LEAP qui explique pourquoi ça ne va pas tomber tout de suite et pourquoi l’indice est si élevé.
    L’échéance se rapproche mais ils ont encore quelques tours de passe pour la reculer.

    http://www.leap2020.eu/GEAB-N-80-est-disponible–Monnaies-geopolitique-immobilier-finance-2014-la-grande-retraite-americaine_a15222.html

    • Juste attendre que nos vieux occidentaux aillent écouler leurs richesses …et dire que déjà dans des pays de l’eu , des familles entières vivent des retraites …

      • Clair que ceux qui vivent de retraites capitalisées vont prendre cher.
        Mais tout le monde va en prendre pour son grade car c’est toute la société qui va en souffrir.
        Et ceux qui croient qu’ils ne seront pas touchés parce qu’ils auront quelques victuailles au chaud vont retomber sur terre.

        Ca craint!

  2. Logique que ce soit pareil, la méthode est la même ainsi que la main qui tire les vicelles.

    • Pourvu que la conclusion soit différente!

      Mais vu les politiques similaires qui montent partout et la force militaire cumulée, on risque d’en prendre le même chemin.

      • Reste que ça durera un peu plus longtemps, beaucoup parlent d’un crack pour février ou mars, bof bof je dirais, y’a plus de risque pour qu’une guerre commence avec l’Iran que de voir la FED s’emmêler les pinceaux.

        Suffit de voir le petit retournement de situation avec l’Iran, après l’image de réconciliation qu’ils nous ont offert, voici qu’ils sont de nouveau à s’engueuler avec les US, c’est risible cette comédie, sont tous a faire des gualipettes en attendant les ordres pour savoir si oui ou non ils font une guerre en 2014, ou doivent-ils attendrent encore.

        Comme le dit Meyssan, l’Iran avec son nouveau dirigeant, a baissé son pantalon et joue maintenant la partition que l’empire lui a donné en échange de la levé de l’embargo.

        Ahmadinejad doit s’enfiler des craies dans le gosier face à son tableau noir.

        • Au final, si ça démarre avec l’Iran ça se généralisera en conflit total.
          Toujours la même recette. A la différence que cette fois on ne joue plus avec les mêmes pétards.
          Ceci dit, si les USA se lancent dans un conflit total, ce sera juste avant que le dollar ne dévisse.
          Croissons dès lors les doigts pour que leurs recettes fonctionnent. Je préfère ça à la guerre.
          (En attendant la révolution populaire)

          • salut moi je ne crois pas à la révolution du peuple mais plus à une guerre civile car:
            presque personnes n’a la possibilité de se nourrir sans passer par la case magasin donc si il y avais une gréve général la faim arrivera sur paris en 5 jours !
            la solidarité n’existant plus ,les gens s’accrocherons à leur bien en fermant les yeux sur la misère des autres, en se persuadant que cela ne les concernera pas (ce n’est d’ailleurs pas du futur mais bien du présent).

  3. 16.000 milliards pour les USA 45.000 milliards si on comptent les ménages .5000 pour nous . des banques qui on pour plus de 40.000 milliards d’actif toxic.

    Ça fait des lustres que c pire qu’en 29.

    Ils font ce qu’ils veulent ,ils s’en tapent dun krach ou pas .
    Et pour les guerres ils sont tous cul et chemises et ceux qui y meurt c’est le peuple ,le petit peuple

    • tu veux rigoler un peu :

      le PIB mondial est de 70 000 milliards de dollars

      les actifs toxiques s’elevent à 708 000 milliards, tu vois un peu la situation!!!

      et le pire c’est que comme en 1929 ils vont decider de tout arreter, ils faudrait qu’ils prennent en compte les algorythmes qui se tapent des millions de dollars de calculs a la seconde!
      Va t’en savoir ou ça en est toi, et quand tout le monde va vouloir son or qui existe pas.

      De toute façon ça finira mal, qui osera dire à la premiere armée du monde “paye ta dette maintenant!”?

      sans compter que le congrès americain devait trouver une solution pour son budget 2014 aujourd’hui sinon encore un fiscal cliff en janvier 2014!suffit que bernanke se degonfle et boom!

      • Pour nous les PIB ça changent rien . c d’la merde tout ça. Et le pire c’est que les gens attendent derrière ça.
        Que demain ils virent toutes dettes ça donnera pas a bouffer au petit africain pour autant , le SDF du coin de la rue en sortira pas pour autant.
        L’argent la plus grande arnaque , un jour tu devras mettre une pièce dans le cul dune poule pour avoir l’œuf

        • C’EST TOUT A FAIT POSSIBLE !
          CAR N’OUBLIEZ PAS LE CONTRAT QU’A FAIT LA FED AVEC L’ETAT POUR FABRIQUER LE DOLLAR… UN CONTRAT FAIT EN 1913 POUR UNE DURÉE DE 100 ANS !

          ABE
          A+
          Z.

  4. L’Australie s’intègre aux préparatifs de guerre américains contre la Chine

    Lors d’une rencontre annuelle entre les dirigeants de l’Australie et des États-Unis (en abrégé, AUSMIN), les ministres de la Défense et des Affaires étrangères de l’Australie se sont engagés à «augmenter les rotations des avions de la US Air Force au Nord de l’Australie», à augmenter la «coopération navale de l’Australie» et à faire plus «d’exercices combinés en Australie et d’engagements multilatéraux à travers la région». Des négociations vont commencer à propos d’un «accord officiel» appuyant les déploiements rotatifs des États-Unis.

    Le communiqué d’AUSMIN représente une accélération dramatique de l’implication de l’Australie dans les plans de guerre du Pentagone. Les déploiements rotatifs, qui sont, en fait, des arrangements pour accommoder les bases de l’armée américaine, sont dans une phase avancée de développement. D’ici 2017, le contingent de la marine américaine dans la ville nordique de Darwin atteindra 2 500, soit une équipe spéciale air-sol complète de la marine accompagnée de son équipement militaire et aéronautique. Des bombardiers B-52 sont maintenant en train de lancer des opérations complètement armées, et non des sorties d’entraînement, dans des bases aériennes australiennes près de Darwin.

    Même si le langage du communiqué d’AUSMIN est délibérément limité, une série de rapports provenant des centres de réflexion australiens montrent l’importance centrale de l’Australie dans les préparatifs de guerre des États-Unis contre la Chine. Le Centre pour l’évaluation stratégique et budgétaire (en anglais, CBSA) a divulgué un rapport le mois dernier intitulé: La porte vers la région indo-pacifique: la stratégie de défense australienne et l’avenir de l’Alliance australienne-américaine. Ce rapport explique que «l’Australie est passée d’une importance géopolitique limitée à élevée» pour la stratégie américaine.

    Le CBSA, qui a des liens étroits avec le Pentagone, a souligné dans les menus détails le rôle que l’armée australienne et ses bases joueraient dans une guerre menée par les États-Unis contre la Chine. L’île-continent serait transformée en une vaste base pour soutenir un blocus des États-Unis contre la Chine en contrôlant des routes commerciales clés en Asie du Sud-est et en menant des attaques contre les bateaux de guerre chinois dans l’Océan indien.

    L’Australie fonctionnerait aussi comme une zone de retraite protégée pour l’armée américaine pour lui permettre de lancer ses attaques aériennes contre la Chine. Le rapport indique ce qui est nécessaire pour moderniser les bases aériennes australiennes au Nord et la base navale de Sterling à l’ouest de l’Australie. Il indique également ce qui doit être acheté par l’armée australienne.

    Le communiqué d’AUSMIN décrit d’autres zones de coopération militaire, incluant la construction de deux établissements de «sécurité spatiale» dans l’ouest de l’Australie et l’expansion de ses capacités à contrer les cyberattaques.

    Comme l’ont révélé les documents de l’Agence de sécurité nationale américaine (NSA) divulgués par Edward Snowden, l’Australie est déjà impliquée de manière centrale dans les opérations d’espionnage à grande échelle de la NSA en Asie – une composante essentielle de la guerre. En plus de tous les renseignements recueillis par les bases de surveillance clés comme Pine Gap, les agences australiennes ont alimenté la NSA avec d’énormes quantités de données en utilisant les câbles posés sous la mer et en opérant des postes d’écoute dans les missions diplomatiques des pays faisant partie de la même région que l’Australie.

    L’intégration de l’armée australienne au sein de l’armée américaine est telle que si Washington déclare la guerre contre la Chine, l’Australie sera automatiquement impliquée. Washington ne peut se permettre d’avoir un gouvernement à Canberra qui hésiterait à déclarer lui aussi la guerre.

    Un autre centre de réflexion, le Centre pour une nouvelle sécurité américaine (an anglais, CNAS), a dédié tout un rapport, en octobre, à la question de «construire une présence militaire américaine politiquement durable en Asie du Sud-est et en Australie». Il critique le manque d’intérêt envers «la tâche fondamentalement importante de s’assurer d’un soutien politique, sans lequel les objectifs de positionnement de l’armée américaine dans la région ne peuvent être atteints».

    Très conscient de l’hostilité publique répandue envers des bases américaines dans la région, le rapport du CNAS met de l’avant une stratégie qui «vise le développement d’un argumentaire positif pour une présence militaire américaine accrue tout en proposant des politiques qui protègent cette présence contre une contestation politique potentielle».

    L’administration Obama a déjà largement dépassé les propositions plutôt modestes du CNAS, qui sont conçues pour déguiser les préparatifs militaires américains en Asie et pour neutraliser l’opposition politique. Lors des quatre dernières années, il a orchestré ce que l’ancienne secrétaire d’État, Hillary Clinton, avait nommé en novembre 2010 la «diplomatie déployée vers l’avant» qui implique d’envoyer «nos actifs… dans chaque coin et chaque capitale de la région Asie-pacifique».

    Les deux piliers du «tournant vers l’Asie» de l’administration Obama – l’Australia et le Japon – ont reçu une attention particulière. En juin 2010, le premier ministre japonais, Yukio Hatoyama, et, quelques semaines plus tard, son homologue australien, Kevin Rudd, ont été mis à la porte avec l’approbation de Washington. Hatoyama et Rudd ont commis le même «crime» aux yeux d’Obama. Même s’ils étaient chacun engagés dans des alliances avec Washington, ils ont proposé des initiatives pour diminuer les tensions entre les États-Unis et la Chine au même moment où Obama augmentait la pression sur Beijing.

    Dans le cas de l’Australie, des hommes d’influences clés du parti travailliste et des syndicats, qui sont plus tard apparus dans des câbles de Wikileaks en tant que «sources protégées» de l’ambassade américaine, ont orchestré un coup politique à l’intérieur du parti qui a remplacé, du jour au lendemain, Rudd par Julia Gillard. Celle-ci a immédiatement affiché sa loyauté envers Washington. L’importance centrale de l’Australie fut soulignée par la décision d’Obama d’annoncer formellement son «tournant» en novembre 2011 dans le parlement australien plutôt qu’à Washington, gracieuseté de Gillard.

    Maintenant, alors qu’il est depuis à peine trois mois en poste, le gouvernement de coalition libéral-national a rapidement démontré son soutien à la stratégie belliqueuse de Washington contre la Chine. Lorsque la Chine a annoncé une zone d’identification aérienne (ADIZ) dans la mer de Chine orientale le mois dernier, la ministre des Affaires étrangères, Julie Bishop, s’est immédiatement jointe à Washington et à Tokyo pour condamner l’action. L’Australie aurait pu éviter de prendre parti, comme la Nouvelle-Zélande, mais Bishop a plutôt appelé l’ambassadeur chinois pour le sermonner.

    L’éclatement soudain de tensions dans la mer de Chine orientale montre les dangers très réels d’un glissement vers la guerre auquel est exposée la classe ouvrière en Asie et internationalement. Mais, les travailleurs et les jeunes sont délibérément gardés dans le noir quant aux engagements du gouvernement australien face aux préparatifs avancés des États-Unis pour une guerre contre la Chine. Lors de la longue campagne électorale tenue cette année, les médias et l’establishment politique ont omis de mentionner, sans parler d’analyser, les discussions en cours dans les milieux stratégiques à Washington et Canberra.

    La crise économique globale qui s’étend est en train d’attiser des tensions géopolitiques qui ressemblent, à en glacer le sang, aux tensions d’un siècle plus tôt. La tentative par l’impérialisme américain d’utiliser sa puissance militaire pour maintenir sa domination économique et stratégique en Asie et dans le monde est en train de précipiter un conflit qui éclipserait complètement la catastrophe de la Première Guerre mondiale. La seule façon d’arrêter cette descente vers la guerre est une lutte commune des travailleurs – en Australie, aux États-Unis, en Chine, en Asie et partout dans le monde – pour mettre un terme au capitalisme mondial et à son système dépassé d’États-nations sur la base d’une perspective socialiste et internationaliste.

    Peter Symonds

    Article original en anglais, WSWS

    • Article intéressant.
      Les z’usa ne serait’il pas en train d’encercler la chine et la Russie ,si ce n’est pas déjà en parti fait!
      Quand je vois la pression US sur l’Ukraine,c’est bien dans un but de stratégie guerrière aussi.

  5. Il doit se passer des choses en ce moment, et on en a pas connaissance “La Russie aurait déployé des missiles Iskander à Kaliningrad..”, ce n’est pas innocent…, je crois que ça commence tres sérieusement à chauffer entre les différentes forces, je pense que fevrier mars, sera une période charnière importante, ça va commencer à peter juste avant l’effondrement ou krach boursier mondial, et tout le monde va se foutre sur la gueule…!

    • Je pense que Poutine ,voit d’un mauvais œil ce qui se passe en Ukraine ,l’ennemi se rapproche des frontières de la Russie ,après leur échec en Syrie,les USA tente une autre approche stratégique,c’est un constat personnel.
      Ils ont quand mêmes raisons de se méfier et d’être vigilants.
      Surtout quand les Murphy, McCain et Harms,interviennent devant les manifestants.

      L’article :
      MOSCOU, 16 décembre – RIA Novosti
      La participation d’hommes politiques américains et européens à la manifestation de l’opposition à Kiev constitue une ingérence flagrante dans les affaires intérieures de l’Ukraine, estime le directeur du Centre des recherches politiques de Kiev Mikhaïl Pogrebinski.
      “Je crois que la participation d’hommes politiques européens et américains (à la manifestation de l’opposition, ndlr) est absolument révoltante, car il s’agit d’une ingérence directe dans les affaires intérieures ukrainiennes”, a déclaré l’analyste lors d’un duplexe Moscou-Kiev organisé par RIA Novosti.
      Dimanche 15 décembre, les sénateurs américains Christopher Murphy et John McCain, ainsi que l’eurodéputée allemande Rebecca Harms, sont intervenus devant les manifestants pro-UE rassemblés sur la place de l’Indépendance (Maïdan Nezalejnosti) à Kiev pour leur exprimer leur soutien.
      “Je suis persuadé qu’il existe autour du président Ianoukovitch une équipe qui travaille contre lui. Ces gens occupent des postes haut placés au sein du pouvoir, et c’est pourquoi ces ennuis se produisent”, a estimé l’expert.

  6. Vivement la guerre alors…
    Que l’on voit des trous de balles…

    • Bonsoir Fenrir ! Que voulez-vous dire par ” Que l’on voit des trous de balles… ” ? ^^

    • je ne comprend pas ? il n’y a rien de drôle a faire la guerre,
      juste de la misère…

      • Non ce n’est pas drôle ,c’est du Fenrir.
        Exorciser les souffrances à venir avec toutes ces catastrophes que l’on nous annonce.

        Pas de fin du monde cette année ,ils sont passés ou, les clairvoyants à l’esprit embrumé à coup de chichons ou de kif

  7. La valeur du $ ne vaut que par la seule capacité des USA à imposer militairement son utilisation comme monnaie de réserve internationale… Ce que semble insidieusement se préparer à lui contester la Chine…qui ne cesse de conclure de nombreux accords financiers internationaux entre sa devise RMB et d’autres devises tant asiatiques que russe ou même européennes…
    Le jour, imminent, où les échanges internationaux pourront massivement se passer du US$, cette monnaie perdra toute sa valeur, qui est, comme ne cesse de le rappeler Olivier Delamarche, inférieure à du papier WC….

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