La vérité très indésirable sur la chimio

La polémique n’est pas récente, et de temps en temps quelques articles ressurgissent sur le sujet: la chimiothérapie. Cette méthode bien que contestée est devenue protocolaire, inévitable pour se “soigner” au risque d’empirer la situation. Petite analyse de ce qu’il en est, ensuite, à chacun de se faire son idée sur le sujet…

Administering VaccinationCela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.
Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[[1]]url:#_ftn1 . » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)

Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il  appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988). à son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).
Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse »  (Leçons de cancérologie pratique).

Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d’expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd’hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ».
Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien ! Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès. « Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998) Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l’usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé ces 70 dernières années. » Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. » Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990,  vol. 337, 1991, p.901). Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »

Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »
Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que le Lancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry[[2]]url:#_ftn2  : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. » Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. […] Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative. Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology)[[3]]url:#_ftn3 a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient.

Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais. Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité[[4]]url:#_ftn4 .

De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu’il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ». Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu’au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s’apparente aux « habits neufs de l’empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie. Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C’est une opinion fondée sur une illusion qui n’est étayée par aucune des études cliniques[[5]]url:#_ftn5  ». Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi.
En résumé, la chimiothérapie est elle est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire.
L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[[6]]url:#_ftn6 et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[[7]]url:#_ftn7 de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit  2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.

« Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique[[8]]url:#_ftn8 prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre.
Massoud Mirshahi, chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l’apparition de métastases. Ces cellules ont été  appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action de la chimiothérapie.
Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d’ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d’une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux.

Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire.
 La microscopie électronique a démontré qu’il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d’une cellule à l’autre. De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l’« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » aident aussi à la résistance des cellules cancéreuse contre la chimiothérapie.
Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells »[[9]]url:#_ftn9 .

L’étude la plus significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[[10]]url:#_ftn10 et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[[11]]url:#_ftn11 de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

D’autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu’une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n’arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ». Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n’ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables. Ce n’est pas une nouveauté d’ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l’University of Michigan’s Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l’industrie pharmaceutique. Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases.

Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s’agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ». Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu’à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s’étendre et à « métastaser » dans d’autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012). Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l’ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s’étend. »
Une étude encore plus surprenante mais moins récente a été publiée par le journal Clinical Oncology[[12]]url:#_ftn12 et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[[13]]url:#_ftn13 de l’Université de New South Wales-St. Vincent’s Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit  2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.

Enfin, une étude publiée dans la revue Nature Medicine en 2012, pourrait changer l’idée que l’on se fait de la chimiothérapie. Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d’une protéine alimentant les tumeurs.
Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses. La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.

Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio.
« Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue. « Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé.
Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé.

Comment se fait-il qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre que « le protocole ». À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ? Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade.
« Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”. Le praticien qui souhaite déroger à ce système encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. » Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s’éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades.
Seuls, 3 médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain. Mais ce détail est bien caché aux malades.

Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l’embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d’entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d’incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu’un futur cancer s’installe vers 32 ans. L’étude SUVIMAX a montré qu’une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d’environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n’en a été tirée. Bien entendu, l’industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d’une façon ou d’une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l’industrie pharmaceutique. »
Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr
Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c’est à dire nous tous, fera plier ce système.

Sources
[1] Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956.
[2] Equinox Press, 1996.
[3] Membre de la National Academy of Sciences, de l’Institute of Medicine et de l’American Academy of Arts and Sciences.
[4] Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer.
[5] Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52).
[6] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.
[7] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.
[8] Propriété qu’a un agent chimique ou biologique d’altérer et éventuellement détruire des cellules.
[9] Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M.
[10] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.
[11] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.
[12] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.
[13] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.


[[1]]url:#_ftnref1 Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956.
[[2]]url:#_ftnref2 Equinox Press, 1996.
[[4]]url:#_ftnref4 Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer.
[[5]]url:#_ftnref5 Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52).
[[6]]url:#_ftnref6 « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.
[[7]]url:#_ftnref7 Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.
[[8]]url:#_ftnref8 Propriété qu’a un agent chimique ou biologique d’altérer et éventuellement détruire des cellules.
[[9]]url:#_ftnref9 Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M.
[[10]]url:#_ftnref10 « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.
[[11]]url:#_ftnref11 Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.
[[12]]url:#_ftnref12 « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.
[[13]]url:#_ftnref13 Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

Source: alterinfo.net

Benji

19 Commentaires

  1. J’ai étudié le cas du chercheur Français Mirko Beljanski
    qui a permis à F.Miterrand de survivre 7 ans de plus alors que ses médecins qui l’avait matraqué avec 5 années de chimio le condamnaient à une mort certaine dans les 3 mois et ceci jute après sa réelection .
    J’ai lu deux livres écrit par un docteur Américain et un autre Français . En cas de cancer je choisirais la méthode de ce chercheur . En France il y a une assoc qui réuni tous les ans plus de 4000 personnes sauvées grace a Beljanski dont le président un Pompier atteint du Sida il y a 20ans .
    Association CIRIS .( http://beljanski.com/francais/notre-mission/ciris/ ) .
    Pour ceux que cela interressent voici une vidéo très récente d’un journaliste lui même traité avec ses produits
    que l’on ne trouvent hélas aux USA vu qu’après le Dc de F.M
    les autoritées médicales se sont vengés sur le labo et ont tout détruit . Sa femme et sa fille continuent son combat aux USA ou elle commercialisent les produits que l’on est obligé de faire venir en douce . Rassurez vous tous les produit sont des extraits de substances telles que le Ginko
    biloba , Rauwolfia , Pao Pereira etc et autres molécules 100% Naturelles peu couteuses et Non brevetables .
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=fR_XfAlLSEA
    Dernier Livre paru aux USA . Sources naturelles de santé et de guérison . de L.STEPHEN COLES éditeur . Guy Trédaniel .
    Voila si par cette petite communication je peux faire que l’un d’entre vous ou un de vos proche peut échapper à cette malédiction qu’est le cancer j’en serais très heureux .

  2. Voir la Vidéo suivante sur les travaux de Mirko Beljanski
    le chercheur qui prolongea la vie de F.Miterrand de 6 années .
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=fR_XfAlLSEA

  3. Cela confirme mes observations, les produits utilisés en chimio sont tellement toxiques qu’après 3 chimios le malade est mort !
    Une journaliste en traitement chimio voit l’infirmière mettre des gants avant l’injection et lui dit qu’elle se protège des produits qui peuvent attaquer sa peau ! La journaliste se dit, on va me mettre dans le corps des produits très corrosifs et donc nocifs pour mon corps, elle a arrêté le traitement pour se soigner autrement !
    Après 2 chimios les plus résistants peuvent être vivants quelque temps, une rechute et une autre chimio règle définitivement la question, adieu !
    Les produits Beljanski ou tous les produits qui font remonter la vitalité du corps ne sont pas suffisants s’il n’y a pas un travail psychologique sur le côté déclencheur de la maladie !
    Beaucoup de cancers sont dûs à des chocs émotionnels et des stress non digérés qui vont ronger le corps ! Il faut sortir les émotions bloquées (Par la Réduction des Incidents Traumatiques -RIT ou TIR en anglais- par exemple) ! La méthode du docteur Hamer permet de cerner la cause émotionnelles du cancer !
    Un stage de rigolothérapie sera, de toute manière, bien plus efficace qu’une chimio !!!!!!!

  4. Je ne suis pas sûr que d’éminents sois-disants professeurs tirés du chapeau soient en mesure d’enrayer le processus biologique d’un cancer. Le cancer est un développement anarchique de cellules formant une tumeur, processus lié à un code génétique inscrit dans l’ADN.
    Il est certain que le coté psychologique contribue au développement de cancers ou à la guérison. C’est le pouvoir de l’esprit sur son propre corps, le pouvoir d’autoguérison. Mais dans la plupart des cas, le mal s’est installé et il faut le coup de pouce médicale pour l’éradiquer.
    Je crois qu’il faut faire confiance aux cancérologues qui ont le mérite de parvenir à guérir des cancers ou à défaut, prolonger significativement la rémission pour les cancers non encore guérissables.
    Beaucoup de sois-disants guérisseurs ou charlatans prétendent détenir la formule magique et se servent de la crédulité, voir le désespoir des gens pour s’enrichir. Et des charlatans, il y en a à tous les niveaux car il ne s’agit pas d’intelligence mais de déviance humaine. Ainsi un éminent politique hautement considéré peu cacher une déviance sexuelle extrême ou un haut ministre chargé de gérer les finances d’un pays peut se révéler le premier violeur des lois qu’il veut faire appliquer.
    C’est pourquoi, je choisis de faire confiance à un système ayant fait ses preuves, tout en sachant qu’il peut couvrir des brebis galeuses, la société ayant les ressources pour les démasquer. Par contre, je n’ai aucune confiance à de prétendus illuminés, qui à eux seuls prétendent dépasser des centaines milliards d’heure de recherche les plus élaborées nécessaires à enrayer les fléaux de l’humanité.
    Je trouve qu’un tel article incite les gens touchés par la détresse qu’induit une maladie mortelle, de faux espoirs allant à l’encontre d’une psychologie combattive pouvant les aider à guérir.
    Je suis contre la publication de telles articles par le site des moutons enragés.

    • Un développement « Anarchique » de cellules formant une tumeur, processus lié à un code génétique inscrit dans l’ADN.
      Or, l’ADN est une molécule hyper-organisée, le code génétique est l’organisation parfaite de séquences de nucléotides, quand au processus, il décrit un phénomène destiné à atteindre un but suivant une méthode rigoureuse.
      Comment de telles structures hyper-organisées peuvent-elles déboucher sur de l’anarchie.
      Pensez-vous que la survie de votre organisme durant des dizaines d’années soit la conséquence miraculeuse de phénomènes anarchiques qui s’y opèrent ? Le contrôle du pH de votre sang, la structure de votre cerveau, votre langage, les battements de votre coeur, … Tout ceci est-il anarchique ? Ou existe t-il un déterminisme quelconque qui permettrait d’expliquer tout ça ?
      Quelles fonctions de votre organisme ne dépendent pas d’une information reçue et d’un ordre donné par votre cerveau ? Quelle fonction de votre organisme a pour but votre destruction et non votre survie ?
      Dans leur développement, certaines tumeurs deviennent vascularisées pour former un nouvel organe complémentaire. Existe t-il un virus ou une bactérie capable d’une telle prouesse ? Ou cela serait-il encore anarchique ?
      Si vous comparez l’anarchie au hasard, sachez que le résultat du tirage d’une carte dans un paquet est dû au hasard… Sauf si vous connaissez d’entrée la distribution du paquet auquel cas, le résultat n’est plus lié au hasard mais complètement pré-déterminé.
      La chimio permet lutter contre les conséquences de la maladie (mal a dit), mais il serait plus utile de comprendre les causes, si toutefois on s’accorde à dire qu’une cause particulière (ou ensemble de causes particulières) amène une conséquence particulière (ou ensemble de conséquences particulières).
      Or aujourd’hui, la médecine traditionnelle refuse de chercher les causes de nos maux, il est bien plus rentable économiquement de vendre du sursit.
      Qui sont les sois-disant guérisseurs ou charlatants qui vendent des formules magiques (chimiques) ?
      Je trouve qu’un tel article donne une chance aux gens d’entendre un point de vue différent et de se faire leur propre opinion. Libre à chacun de creuser l’information et de se faire son propre jugement de manière éclairée.
      Oui à la chimio, elle donne sans doute du temps et soulage les patients mais rien ne devrait interdire à ces derniers de compléter leurs traitements (traite-ment) par une thérapie tierce.
      Ma grand-mère doit-elle être emprisonnée parceque, quand j’ai une grosse toux, elle me préconise un thé bien chaud et une cuillère de miel ?
      Un docteur doit-il être emprisonné parceque, quand son patient déclare un cancer (quand (sa) sert), il lui préconise une psychothérapie ?
      Les travaux de Galilée ont mis 300 ans à être reconnus, il remettaient en cause la religion, et la place de l’Homme au centre de l’univers. J’espère que nous seront plus rapide à accepter les démonstrations qui remettent en question les lobbys médicaux et les dogmes pasteuriens.

    • chaque personne développe des cancers, il suffit d’une fatigue, d’un stress… etle système immunitaire flanche pour que ca parte. la prévention est le meilleur moyen de faire face : sport, limitation calorique, manger équilibré, limiter les aliment comme les viandes rouges….

      Je suis chercheur et plus le temps passe plus je me dis que la chimio est pire que tout, pourquoi ? car le corps est fait pour se défendre contre les canceres, je suis sur que beaucoup de personne vive avec des cancers, et que les découverts opportuniste, qui es conduisent à des chimios sont la cause de leur mort, car : Comment un corps peut se défendre, si avec une chimio on détruit ses cellules défensives, si on le prive de nourriture … ?

      je parle pas du cas des cancers sanguins, car les chimios ont un but affiché de détruire la moelle pour en greffer une nouvelle.

    • Bonjour je n’ai pas l’habitude de répondre a ce genre de discours,mais là pour le coup.Mes parents son mort jeunes (52 & 55 ans)d’un cancer ils ont quand même vécu 10 sans chimio et n’ont pas eu a supporté l’acharnement de guérisseurs pharmaceutiques,a l’époque ce n’était pas encore à la mode.J’ai une amie très chère qui suit une chimio depuis 9 mois,et elle est arrivée en fin de parcours.Alors vos commentaires garder les pour vous et ne parlez pas de ce que vous ignorez.Si cela devait vous arrivez un jour ne craignez rien la chimio vous sauvera.Si j’étais grossier je vous dirais a vous et au labo d’aller vous faire f****.FIN POUR MOI

  5. J’espère que ces commentaires pertinents et éveillés amèneront de nombreux malades ou leurs proches à se poser les vraies questions sur les maux et les remèdes. 🙂

  6. Dr Hamer, Claude Sabbah, Gérard Athias… Ils sont nombreux et il y a bien longtemps qu’ils crient leur vérité. Et la justice continue de leur courrir après pour leur casser la bouche à ces gens dont elle refuse d’entendre le discours.

  7. arcadia grand marabout

    la synthese du cancer par dieudonné:

    http://www.youtube.com/watch?v=LeKP4l0qHnA

    bon courage pour les personnes concernées.

  8. Tout ceci me rappelle l’agonie de ma pauvre mère alors que son oncologue s’acharnait sur elle avec la chimio et la morphine en doses toujours croissantes…

    Pas de réelles baisses des marqueurs et effets secondaires dévastateurs qui étaient encore pire que les symptômes du cancer en lui meme…

    C’était atroce…

    Merci la clinique Bizet à Paris tant réputée….

  9. Livres:

    N’écouter pas votre cerveau Martine Laval
    Anticancer de David Servan-Schreiber

    J’ai apprècier la facon de voir les chose:
    C’est ma santé, c’est moi qui décide, je suis mon médecin, j’acepte la maladie, elle n’est pas la pour rien!

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