“L’ingénierie génétique des bébés est une obligation morale”, dit un professeur d’Oxford

Digne du nazisme le plus primaire et des théories de l’homme supérieur! L’humain parfait, sans défaut, qui ne se révolte pas, obéit et surtout reste dans le rang. Ce sont des fous, plus des scientifiques mais des fous!!!

* La capacité de “Création”, par le transhumanisme et l’ingénierie alliant le génétique, la cybernétique et la robotique, est présentée comme une avancée de la science, mais cette ambition pourrait aboutir à un véritable cauchemar!  Après la concrétisation de “1984“, voici la concrétisation du “Meilleur des mondes“..


Le professeur Julian Savulescu a déclaré que la création de bébés génétiquement modifiés pourrait être considérée comme une “obligation morale”. L’expert en éthique pratique dit que nous devrions activement donner aux parents le choix d’écarter les défauts de la personnalité de leurs enfants, ce qui voudrait dire qu’ils seraient alors moins susceptibles de “nuire à eux-mêmes et les autres”.
Également rédacteur en chef du “Journal of Medicals Ethics”, l’universitaire a fait paraître un article dans le Readers’s Digest.  Il a expliqué que nous sommes maintenant au milieu d’une révolution génétique.  Il a dit que la science découvre de plus en plus que les gènes ont une influence significative sur la personnalité, que certains marqueurs génétiques chez l’embryon suggèrent ses caractéristiques futures.  En dépistant certains gènes de ces embryons, il est possible d’influencer le développement de l’enfant.
La “conception rationnelle”, création d’enfants par génie génétique, contribuerait à une société meilleure, plus intelligente et moins violente.
“En effet, quand il s’agit de filtrer les défauts de la personnalité, tels que l’alcoolisme, la psychopathie potentielle et la disposition à la violence, on pourrait dire que les gens ont une obligation morale sur le plan éthique à sélectionner les enfants de meilleure qualité”. [UNE DÉCLARATION QUI DONNE FROID DANS LE DOS!]

“Si nous avons le pouvoir d’intervenir dans la nature de notre descendance – plutôt que de les reléguer à la loterie naturelle – alors nous devons le faire”.

Benji

26 Commentaires

  1. la decheance de l’humanitée programée .
    j’espere que tout vas sauter avant .

  2. C’est pas faute de vous prévenir, mais vous vous entêter, alors voila… vous l’aurez bien méritez après tout !

  3. Citation d’actualité

    « A mesure que diminue la liberté économique et politique, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître en compensation. »

    de Aldous Huxley

    « Nous ne nous appartenons pas plus à nous-mêmes que ne nous appartient ce que nous possédons. Nous sommes la propriété de Dieu. »

    de Aldous Huxley

    « La science est un danger public. Elle est aussi dangereuse qu’elle a été bienfaisante. »
    de Aldous Huxley

    « Tu seras solitaire parce que la culture est aussi une prison. »
    de Aldous Huxley

  4. bonjour les erreures 500 ce soir . une cata . 10 fois pour reussir a me reconecter au site .
    quant a ce aldous huxley j’esper qu’il bouffe des OGM a foison juste histoire qu’il se mute en humain intelligent .
    mais c’est vrais ont ne fais pas d’un ane un cheval de course …. mais vas savoir , avec leurs connerie ont vas peut etre y arriver …… mort de rire .

    • J’ai deja procede a la desactivation et l’effacement de 6 modules du blog pour verifier au’ils n’en sont responsables, je surveille donc et verrai pour d’autres si cela continue… Desole.

  5. Étant mort en 1963,si Aldous Huxley bouffe des OGM,c’est par la racine 😀

  6. ses conneries me fons toujours penser au film “bienvenur à gattaca”.
    un monde ou les enfants serait sélectionné génétiquement à la naissance, et ou les classe sociale ne serait défini que par l’adn

  7. Malheureusement tout cela est réellement en route.
    Un leader dans ce domaine est une société US nommé (à bon escient) “ILLUMINA”.
    Leur projet : “«ADN complet de lecture pour chaque nouveau-né sera techniquement réalisable et abordable en moins de cinq ans, promettant une révolution dans les soins de santé »et que« d’ici 2019, il sera devenu systématique pour les nourrissons carte «gènes quand ils sont nés».
    On peut supposer qu’ils pensent déjà à le faire avant la naissance.
    Illumina sur Wikipédia http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://en.wikipedia.org/wiki/Illumina_(company)&prev=/search%3Fq%3Dillumina%2Bwikipedia%26hl%3Dfr%26rlz%3D1C2CHFX_frFR472FR472%26biw%3D1024%26bih%3D449%26prmd%3Dimvns&sa=X&ei=-m8vUKnmMYbE0QXQvYHYDA&ved=0CFYQ7gEwAA

  8. Je voudrais pas faire mon rabat-joie, mais avez-vous vu le signe que fait le Bébé avec ses doigts ?

    • Les plus grands éditeurs sont francs-maçons. La lecture c’est le savoir. Dans l’édition de 1977, c’était une autre illustration d’Aranud Crémet. Ca se dévoile de plus en plus.

  9. encore l’esprit de cinglerie scientifique. qu’est-ce qu’il feraient pas pour éliminer la femme, la mère et en fin de compte la terre. L’enjeu c’est ça. Quand donc foutra-on ces psychopathes en tôle ?

  10. sur Agoravox il y a une personne qui a mis “il faudrait peut-être leur dire que le Meilleur des Mondes est un livre, pas un manuel”.

  11. Comme si il avait une morale cet abruti !

  12. Il parait que les gens qui ont la folie du contrôle finissent pas se suicider. Je ne peux que leur souhaiter d’arriver à leur but ultime avant qu’on leur arrache les yeux et leur langue de vipère.

  13. Un copain d’Attali sans doute. Avez-vous remarqué que c’est l’anagramme d’Attila ? ça ne s’invente pas, ces gens ont tellement changé de nom pour s’introduire dans le paradis qu’ils finissent par être démasqués. Selon les légendes Hindoues, le Dieu Shiva détruit les gens qui s’introduisent comme ça dans son domaine.

  14. @silex:dans un certain livre..ceci est écris,
    d’énorme puissance s’en réferent..
    des humains,pas,
    je ne suis qu’un humain..

  15. Keep cool Silex ;-)) Attila et Gengis Khan réunis ne sont rien face à la mère qui enfante. S’il faut accoucher dans une étable et se planquer dans les montagnes pour éviter leurs saloperies, une mère le fera. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/10/08/01016-20081008ARTFIG00038-l-accouchement-a-domicile-fait-des-adeptes-.php. Les bébés bio qui ne font aucun geste obscène avec leurs doigts sont toujours possible.

  16. Extrait “X1bis” De Palo Alto L’Antre de la Bête
    (L’humanité Rétrograde 2.0)
    Cet article est a mettre à la suite de la 1e partie :
    Le syndrome Huxley frappe l’humanité .
    (2e partie)

    Voilà le vrai visage de Huxley :

    Aldous Leonard Huxley est très impliqué dans la contre-culture de la drogue, membre de la Fabian Society, Aldous Huxley, avec son frère Julian, eut pour tuteur à Oxford H.G. Wells, membre de la Golden Dawn, qui le présenta à Aleister Crowley (1875 – 1947) . Entre temps Aldous fut initié aux “Fils du Soleil”, secte dionysiaque à laquelle appartenaient les fils de l’élite de la Round table britannique. Aleister Crowley l’introduisit auprès de la Golden Dawn et en 1929 lui fit connaître les drogues hallucinogènes, de telle sorte que, vers la fin des années trente, Huxley, en collaboration avec Christopher Isherwood, Thomas Mann et sa fille, Elisabeth Mann-Borghese née en 1918, jeta les bases de ce qui serait la culture du L.S.D, dans le cadre du culte d’Isis. Huxley est l’un des pères fondateurs du New Age initié on l’à vue par la fameuse Alice Baily et sa Lucifer trust. Voir les détail dans le paragraphe sur l’histoire de la Californie.
    Le livre “Droga S.p.A” affirme que la propagation du L.S.D, découvert en 1938 par Hofmann et produit par les laboratoires Sandoz propriété des Warburg eut lieu entre autre grâce à Aldous Huxley, dans le cadre d’un plan plus global mis en place par la OSS puis de la CIA entre 1948 et 1962. Ce plan nommé “Mk-Ultra”, tendait au contrôle de la pensée humaine, en parcourant des voies tout à fait nouvelles telles que la diffusion massive de la pornographie et de la drogue. Grégory Bateson est relier à la Golden Dawn et au culte d’Isis tout comme Ron Hubbard le créateur de la dianétics célèbre technique de manipulation mentale.
    Dès 1951 , un ancien agent des services secrets milliardaire américains, Alfred Hubbard s’intéresse au LSD et le fait découvrir à l’écrivain Aldous Huxlez en 1955 qui était déjà un expert en drogues hallucinogènes .
    En matière de pornographie, Aldous Huxley écrivit dans son livre “Le meilleur des mondes”en 1947 :

    “Au fur et à mesure que la liberté politique et économique diminue, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître à titre de compensation. Et le dictateur sera bien avisé d’encourager cette liberté. S’ajoutant au droit de rêver sous l’influence de la drogue, du cinéma, de la radio, elle contribuera à concilier avec l’esclavage ceux dont il est le destin.”

    Dans “les portes de la perception ” (1954) et “Paradis et Enfer” (1956), il décrit les visions qu’il eut lors de ses expérimentations de drogues hallucinogènes. Il eut encore l’occasion d’écrire, en 1961, qu’il était possible de créer :
    “Une sorte de camp de concentration mental non douloureux pour des sociétés entières, un lavage de cerveau par des méthodes pharmacologiques et ceci semble être la solution finale.”
    Ces propos furent tenus alors qu’il était le principal rapporteur non scientifique d’une conférence intitulée “Approche pharmacologique à l’étude de l’esprit”, financée par les produits pharmaceutique Shering. Cette conférence reçut l’intérêt de la CIA.

    Aldous Huxley, auteur de Brave New World (Le Meilleur des Mondes) est considéré comme le roman descriptif d’un moyen efficace de contrôle total des masses pour un Nouvel Ordre Mondial.
    Dans une conférence datée de 1962 à l’Université de Berkeley, Aldous Huxley insiste sur la pertinence de son livre, qu’il appelle ” parabole”. Il est persuadé qu’il y aura des dictatures scientifiques dans le futur telles que décrites dans son livre ou 1984 de George Orwell. Mais, selon Huxley, sa vision du Nouvel Ordre Mondial est plus efficace car elle repose sur une “servitude volontaire”.
    Dans “Le monde Nouveau”, Aldous Huxley annonce un destin féroce pour les peuples, avec cataclysmes nucléaires, empoisonnements et épidémies. Compte tenu de ce que furent ses relations avec les cercles occultes du pouvoir, ses ouvrages ont valeur de programme politique.
    Alors qu’il était professeur au MIT de Boston, il travailla dans le cadre d’un groupe d’étude sur le L.S.D avec Timothy Leary, ancien professeur de psychologie de l’université de Harvard, une des grandes universités du “système” américain. Timothy Leary, membre de la maçonnerie entre autre, fut souvent qualifié de “prophète du L.S.D” et tenta de jeter les bases d’une “Eglise-psychédélique”.
    Huxley eut bonne presse dans le magazine “Playboy”, pionnier de la pornographie aux USA, qui utilisa ses articles pour promouvoir la culture de la drogue.

    La surpopulation selon Aldous Huxley

    “En 1931, alors que j’écrivais Le Meilleur des Mondes, j’étais convaincu que le temps ne pressait pas encore. La société intégralement organisée, le système scientifique des castes, l’abolition du libre arbitre par conditionnement méthodique. La servitude rendue tolérable par des doses régulières de bonheur chimiquement provoqué, les dogmes orthodoxes enfoncés dans les cervelles pendant le -sommeil au moyen des cours de nuit, tout cela approchait; se réaliserait bien sûr, mais ni de mon vivant, ni même du vivant de mes petits-enfants. J’ai oublié la date. exacte des événements rapportés dans ma fable, mais c’était vers le sixième ou- septième siècle après F. (après Ford). Nous qui vivions dans le deuxième quart du vingtième siècle après J.-C., nous habitions un univers assez macabre certes, mais enfin le cauchemar de ces années de dépression était radicalement différent de celui, tout futur, décrit dans mon roman. Notre- monde était torturé par l’anarchie, le leur, au septième siècle après F., par un excès d’ordre. Le passage de cet extrême à l’autre demanderait du temps, beaucoup de temps à ce que je croyais, ce qui permettrait à un tiers privilégié de la “race humaine” de tirer le meilleur parti des deux systèmes : celui du libéralisme désordonné et celui du meilleur des mondes, beaucoup trop ordonné, dans lequel l’efficacité parfaite ne laissait place ni à la liberté ni à l’initiative personnelle.
    Vingt-sept ans plus tard, dans ce troisième quart du vingtième siècle après J-C et bien longtemps avant la fin du premier siècle après F., je suis beaucoup moins optimiste que je l’étais en écrivant Le Meilleur des Mondes. Les prophéties faites en 1931 se réalisent bien plus tôt que je le pensais. L’intervalle béni entre trop de désordre et trop d’ordre n’a pas commencé et rien n’indique qu’il le fera jamais. En Occident, il est vrai, hommes et femmes jouissent encore dans une appréciable mesure de la liberté individuelle, mais même dans les pays qui ont une longue tradition de gouvernement démocratique cette liberté, voire le désir de la posséder, paraissent en déclin. Dans le reste du monde, elle a déjà disparu, ou elle est sur le point de le faire. Le cauchemar de l’organisation intégrale que j’avais situé dans le septième siècle après F. a surgi de lointains dont l’éloignement rassurait et nous guette maintenant au premier tournant.
    Le 1984 de George Orwell projetait dans l’avenir, en le grossissant, un présent qui contenait le stalinisme et un passé immédiat qui avait vu fleurir le nazisme. Le Meilleur des Mondes a été écrit avant l’accession de Hitler au pouvoir suprême en Allemagne et à un moment où le tyran russe n’avait pas encore trouvé sa cadence. En 1931, le terrorisme systématique ne revêtait pas le caractère obsédant de fait contemporain par excellence qu’il allait prendre en 1948 et la dictature future de mon univers imaginaire était notablement moins brutale que celle décrite avec tant de brio par Orwell. Dans l’ambiance de 1948, 1984 paraissait effroyablement convaincant. Mais après tout, les tyrans sont mortels et les circonstances changent. L’évolution récente en Russie, les derniers progrès dans les sciences et la technologie ont retiré une part de sa macabre vraisemblance au livre d’Orwell. Bien sûr, une guerre nucléaire rendrait dérisoires toutes les prédictions, mais si nous admettons pour le moment que les Grandes Puissances peuvent s’abstenir de nous anéantir, il semble maintenant que l’avenir a des chances de ressembler au Meilleur des Mondes plutôt qu’à 1984.
    A la lumière de ce que nous avons récemment appris sur le comportement animal en général et sur le comportement humain en particulier, il est devenu évident que le contrôle par répression des attitudes non conformes est moins efficace, au bout du compte, que le contrôle par renforcement des attitudes satisfaisantes au moyen de récompenses et que, dans l’ensemble, la terreur en tant que procédé de gouvernement rend moins bien que la manipulation non violente du milieu, des pensées et des sentiments de l’individu. Le châtiment fait provisoirement cesser le comportement incriminé, mais ne supprime pas de façon définitive la tendance de la victime à s’y complaire. De plus, les dérivés psychophysique de la répression peuvent être tout aussi fâcheux que l’attitude pour laquelle un individu a été châtié. La psychothérapie est en grande partie consacrée au traitement des effets débilitants ou antisociaux de sanctions passées.
    La société décrite dans 1984 est dominée presque exclusivement par le châtiment et la crainte du châtiment. Dans l’univers imaginaire de ma propre fable, ce dernier est rare et en général peu rigoureux. Le contrôle presque parfait exercé par le gouvernement est réalisé au moyen du renforcement systématique des attitudes satisfaisantes, de nombreuses manipulations à peu près non violentes, à la fois physiques et psychologiques, et de la standardisation génétique. La gestation en éprouvette et le contrôle central de la reproduction ne sont peut-être pas choses impossibles, mais il n’en est pas moins évident que pendant longtemps encore nous resterons une espèce vivipare se reproduisant au hasard. Donc, la standardisation génétique peut être exclue du domaine pratique; les sociétés continueront à être régies par un contrôle postnatal par répression, comme dans le passé et, de plus en plus, par les méthodes si efficaces de la récompense et de la manipulation scientifique.
    En Russie, la dictature démodée, style 1984, de Staline a commencé à céder du terrain devant une forme de tyrannie plus moderne. Dans les hautes sphères de la société hiérarchisée soviétique, le renforcement du comportement satisfaisant remplace peu à peu les vieilles méthodes de contrôle par répression des attitudes non conformes. Ingénieurs et savants, professeurs et fonctionnaires sont largement rétribués pour le travail bien fait et imposés avec tant de modération qu’ils se trouvent constamment incités à faire mieux encore pour obtenir de nouvelles récompenses. Dans certains domaines, ils ont la permission de penser et de faire plus ou moins ce qu’ils veulent, la répression ne les guettant qu’au moment où ils sortent des limites prescrites pour s’aventurer dans les chasses gardées de l’idéologie et de la politique. C’est parce qu’on leur a accordé une certaine mesure de liberté professionnelle que les professeurs, les savants et les techniciens russes ont obtenu des succès si remarquables. Ceux qui vivent à la base de la pyramide soviétique ne jouissent d’aucun des privilèges accordés à la minorité des individus chanceux ou exceptionnellement doués. Leurs salaires sont maigres et ils paient, sous forme de prix élevés, une proportion exorbitante des impôts. Le domaine dans lequel ils peuvent faire ce qu’ils veulent est extrêmement réduit et leurs dirigeants les maîtrisent plus par la répression et la menace que par la manipulation non violente, ou le renforcement du comportement satisfaisant au moyen de récompenses. Le système soviétique allie des éléments de 1984 à d’autres qui préfigurent ce qui se passait parmi les castes élevées dans Le Meilleur des Mondes.
    Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de mon anticipation et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. Ces procédés seront étudiés dans les chapitres suivants; bornons-nous pour le moment à ces forces impersonnelles qui sont en train de rendre le monde si peu sûr pour les démocraties, si peu hospitalier pour la liberté individuelle. Que sont-elles et pourquoi le cauchemar, que j’avais projeté dans le septième siècle après F., a-t-il avancé si vite vers nous? La réponse à ces questions doit commencer là où commence la vie de toute société, fût-elle la plus évoluée du monde – au niveau de la biologie.
    Le jour du premier Noël, la population de notre planète était d’environ 250 millions d’hommes – inférieure à la moitié de celle de la Chine moderne. Seize siècles plus tard, lorsque les pèlerins débarquèrent de la Mayflower à Plymouth Rock, elle avait un peu dépassé les 500 millions. Au moment où les colonies d’Amérique proclamaient leur indépendance, elle atteignait 700 millions. En 1931, alors que j’écrivais Le Meilleur des Mondes, elle était de peu inférieure à deux milliards. Aujourd’hui, vingt-sept ans après seulement, nous sommes 2 milliards 800 millions. Et demain? Pénicilline, D.D.T. et eau pure sont autant de produits bon marché dont les effets sur la santé publique sont absolument hors de proportion avec leur coût. Même le plus pauvre des gouvernements est assez riche pour mettre entre les mains de ses sujets les moyens de limiter la mort. Quand il s’agit des naissances, c’est tout autre chose. Le contrôle des décès peut être mis à la portée de toute une population par quelques techniciens travaillant pour le compte d’un gouvernement bienveillant, mais celui des naissances dépend de la coopération d’un peuple entier. Il doit être pratiqué par d’innombrables individus dont il exige plus d’intelligence et de volonté que n’en possèdent la plupart des illettrés pullulant par le monde et (dans le cas où des procédés anticonceptionnels chimiques ou mécaniques sont employés) une dépense que le plus grand nombre d’entre eux ne peut faire. De plus, il n’existe nulle part la moindre tradition religieuse en faveur de la mort illimitée, alors que celles en faveur de la reproduction illimitée sont des plus répandues. Pour toutes ces raisons, la limitation de la mort est aisée à réaliser, celle des naissances, extrêmement difficile; aussi les taux de mortalité ont-ils baissé au cours des dernières années avec une saisissante rapidité, alors que ceux des naissances sont restés à leur ancien ni- veau (élevé) ou bien, s’ils ont baissé, le mouvement a été très peu marqué et très lent. En conséquence, la population du globe augmente à l’heure actuelle plus vite qu’elle l’a jamais fait à n’importe quel moment dans l’histoire de l’espèce.
    De plus, l’accroissement annuel lui-même s’accroît : régulièrement, selon la règle des intérêts composés et irrégulièrement aussi, à chaque application, par une société technologiquement retardataire, des principes de la Santé publique. A l’heure présente, cet excédent atteint 43 millions environ pour l’ensemble du globe, ce qui signifie que tous les quatre ans l’humanité ajoute à ses effectifs l’équivalent de la population actuelle des Etats-Unis – tous les huit ans et demi l’équivalent de la population actuelle des Indes. Au rythme d’accroissement existant entre la naissance du Christ et la mort de la reine Elisabeth Ire, il avait fallu seize siècles à la population de la terre pour doubler; au taux actuel, il lui faudra moins de cinquante ans. Et- ce redoublement fantastique se produira sur une planète dont les régions les plus productives sont déjà occupées par une population très dense, dont les sols sont épuisés par les efforts frénétiques de mauvais cultivateurs essayant de produire plus de nourriture, et dont le capital de minéraux aisément accessibles est dilapidé avec la prodigalité extravagante d’un matelot ivre paressé de se débarrasser de paies accumulées.
    Dans le Meilleur des Mondes de ma fable, le problème du rapport entre le nombre des humains et les ressources naturelles avait été résolu : un chiffre optimum ayant été calculé pour la population mondiale (un peu inférieur à deux milliards, si mes souvenirs sont exacts), il était maintenu, génération après génération. Dans le monde contemporain réel, rien n’a été fait. Au contraire, ce problème devient plus grave et plus redoutable avec chaque année qui passe et c’est dans ce sinistre décor biologique que se jouent tous les drames politiques, économiques, intellectuels et psychologiques de notre époque. A mesure que le vingtième siècle approche de son terme, que de nouveaux milliards s’ajoutent aux milliards existants (nous dépasserons les cinq et demi quand ma petite-fille aura cinquante ans), ce décor biologique s’avance, toujours plus insistant, plus menaçant, vers le devant et le centre de la scène historique. Le problème du rapport entre un chiffre de population rapidement croissant et les ressources naturelles, la stabilité sociale, le bien-être de l’individu – ce problème est maintenant le principal qui se pose à l’humanité et il le restera certainement pendant un siècle encore, peut-être plusieurs. Une nouvelle ère est censée avoir commencé le 4 octobre 1957, mais en réalité, dans l’état présent du monde, tout notre exubérant bavardage post-spoutnik est hors de propos, voire même absurde. En ce qui concerne les masses de l’humanité, l’âge qui vient ne sera pas celui de l’Espace cosmique, mais celui de la surpopulation.
    Un débarquement sur la lune procurera peut- être quelque avantage militaire à la nation qui s’y établira, mais il ne fera strictement rien pour rendre la vie plus supportable aux milliards d’êtres sous-alimentés et pullulants du globe pendant les cinquante ans qu’il faudra à notre population actuelle pour doubler. Même si, dans l’avenir, l’émigration vers Mars devenait possible, même si un nombre considérable d’hommes et de femmes étaient assez désespérés pour choisir une nouvelle vie dans des conditions comparables à celles régnant au sommet d’une montagne deux fois plus haute que I’Everest, qu’est-ce que cela changerait? Au cours des quatre derniers siècles, nombreux ont été ceux qui ont quitté le vieux monde pour le nouveau, mais ni leur départ, ni l’apport des denrées alimentaires et de matières premières affluant en sens inverse n’ont pu résoudre les problèmes de notre continent. De même, l’expédition de quelques surplus humains dans Mars (à plusieurs millions de dollars la tête, pour les frais de transport et d’installation) ne diminuera en rien la poussée de la marée humaine montante sur notre planète. Or, si ce problème n’est pas résolu, il rendra tous les autres insolubles. Pis encore, il créera des conditions telles que ta liberté individuelle et les convenances sociales de la démocratie deviendront impossibles, presque inconcevables. Toutes les dictatures n’ont pas la même origine, bien des chemins mènent au Meilleur des Mondes, mais le plus direct et le plus large est peut-être celui que nous parcourons aujourd’hui, celui qui y conduit par la prolifération gigantesque et l’accroissement accéléré.
    Passons rapidement en revue les raisons de cette corrélation étroite entre un nombre trop grand d’hommes qui se multiplient trop rapidement et l’énoncé de philosophies autoritaires, l’apparition de systèmes totalitaires de gouvernement.
    A mesure que les demandes d’une population dense et croissante pèsent plus lourdement sur les ressources disponibles, la position économique de la société subissant cette épreuve devient encore plus précaire. Et cela est particulièrement vrai des régions sous-développées, où une brusque diminution de la mortalité au moyen de la pénicilline, du D.D.T. et de l’eau pure ne s’est pas accompagnée d’une diminution correspondante de la natalité. Dans certains pays d’Asie, dans la plus grande partie de l’Amérique centrale et du Sud, la population s’accroît à un rythme tel qu’elle aura doublé en un peu plus de vingt ans. Si la production de denrées alimentaires, d’objets manufacturés, de maisons, d’écoles et de professeurs pouvait être augmentée plus vite que le chiffre des habitants, il serait possible d’améliorer le sort misérable de ceux qui vivent dans ces régions sous-développées et surpeuplées. Malheureusement, celles-ci ne manquent pas seulement de matériel agricole et d’usines pour le fabriquer, mais aussi des capitaux nécessaires pour créer une telle industrie. Le capital, c’est ce qui reste une fois satisfaits les besoins essentiels d’une population. Or dans un pays sous-développé; ils ne le sont jamais, au moins pour la plupart des habitants. Au bout de l’année, il ne reste presque rien, il n’y a donc presque pas de capitaux disponibles pour créer l’industrie et l’agriculture au moyen desquelles les besoins de la population pourraient être satisfaits. De plus, toutes ces régions en retard manquent de la main-d’oeuvre spécialisée sans laquelle il est impossible de faire fonctionner une usine ou une entreprise agricole moderne. Les possibilités d’enseignement sont insuffisantes, de même que les ressources, financières et intellectuelles, pour améliorer ces possibilités dans la mesure où l’exige la situation. Pendant ce temps, la population, dans certaines de ces régions, augmente de trois pour cent par an.
    Leur condition tragique a été étudiée dans un livre important, publié en 1957, The next Hundred Years (1) par les professeurs Harrison Brown, James Bonner et John Weir, de l’Institut technologique de Californie. Comment l’humanité s’y prend-elle pour affronter le problème de son chiffre rapidement croissant? Assez mal. « Les faits contrôlables semblent indiquer assez nettement que dans la plupart des pays sous-développés, le sort de l’individu s’est détérioré de façon appréciable au cours du dernier demi-siècle. Les habitants sont plus mal nourris; il existe moins de biens de consommation disponibles par tête et pratiquement tous les efforts faits pour améliorer la situation ont été annulés par l’impitoyable pression d’un accroissement continu de la population. »
    Chaque fois que la vie économique d’une nation devient précaire, le gouvernement central est contraint d’assumer des responsabilités supplémentaire dans l’intérêt général; il doit mettre au point des plans minutieux pour faire face à une situation critique, imposer des restrictions plus sévères encore aux activités de ses sujets et, dans le cas probable où l’aggravation des conditions économiques provoque une agitation politique, voire une rébellion ouverte, intervenir pour sauvegarder l’ordre public et sa propre autorité. Ainsi, des pouvoirs de plus en plus grands sont concentrés entre les mains de l’exécutif et de ses bureaucrates. Or, la nature du pouvoir est telle que même ceux qui ne l’ont pas recherché mais à qui il a été imposé, ont tendance à y prendre goût. Nous demandons dans nos prières de ne pas être induits en tentation et nous avons bien raison, car si les humains sont tentés de manière trop alléchante, ou trop longtemps, ils succombent généralement. Une constitution démocratique est un dispositif conçu pour empêcher les chefs locaux de céder à ces tentations particulièrement dangereuses qui surgissent quand trop de pouvoirs sont réunis dans trop peu de mains. Un tel système fonctionne assez bien là où, comme en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, il existe un respect traditionnel pour la procédure parlementaire. Là, où la tradition républicaine ou monarchique mitigée est faible, la meilleure des constitutions n’empêchera pas les politiciens ambitieux de succomber avec allégresse et délectation, aux tentations du pouvoir. Or, dans tous les pays où les ressources disponibles commencent à être mises à rude épreuve par le nombre des habitants, ces tentations ne peuvent manquer de naître. La surpopulation mène à l’insécurité économique et à l’agitation sociale. Insécurité et agitation mènent à un contrôle accru exercé par les gouvernements centraux et à une extension de leurs pouvoirs. En l’absence d’une tradition constitutionnelle, ces pouvoirs accrus seront probablement exercés de manière dictatoriale. Cela aurait toutes chances de se produire, même si le communisme n’avait pas été inventé. Mais il l’a été. Étant donné ce fait, l’évolution qui conduira de la surpopulation à la dictature en passant par l’agitation, de probable qu’elle était devient virtuellement certaine. On peut parier sans hésitation que dans vingt ans d’ici, tous les pays surpeuplés et sous-développés du globe seront soumis à quelque forme de domination totalitaire – sans doute par le parti communiste.
    En quoi cette évolution affectera-t-elle les pays surpeuplés mais fortement industrialisés et encore démocratiques d’Europe? Si les dictatures formées leur étaient hostiles et si le courant normal des matières premières en provenance des pays sous-développés était volontaire- ment interrompu, ils se trouveraient en bien mauvaise posture Leur système industriel s’écroulerait et les techniques extrêmement développées qui leur ont permis jusqu’à présent de faire vivre des populations beaucoup plus nombreuses que les seules ressources locales l’eussent permis, ne les protégeraient plus des conséquences d’une densité de peuplement exagérée. Dans ce cas, les pouvoirs immenses imposés aux gouvernements centraux par des conditions économiques défavorables pourraient arriver à être exercés dans un esprit de dictature totalitaire.

    Pour le moment, les États-Unis ne sont pas surpeuplés; cependant, si le nombre de leurs habitants continue de s’accroître au rythme actuel (qui est plus rapide que celui de l’Inde, mais plus lent, heureusement, que celui du Mexique ou du Guatemala), le problème de l’équilibre entre les masses humaines et les ressources disponibles pourrait bien devenir gênant dès le début du vingt et unième siècle. Pour le moment, la surpopulation ne constitue pas pour la liberté individuelle des Américains un danger direct, mais déjà la menace d’une menace. Si ce déséquilibre poussait les pays sous-développés au totalitarisme et si les nouvelles dictatures s’alliaient avec la Russie, la position militaire des U.S.A. deviendrait plus précaire et il leur faudrait intensifier les préparatifs de défense et de riposte. Or la liberté, nous le savons tous, ne peut pas s’épanouir dans un pays qui se trouve en permanence sur le pied de guerre, ou même de paix très armée. Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la surpopulation crée une situation telle que la dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable.”

    Aldous Huxley extrait de :
    Retour au meilleur des mondes (Brave New World Revisited) est un essai d’ Aldous Huxley paru en 1958 .

    Cet ouvrage écrit par Aldous Huxley presque trente ans après Le Meilleur des Mondes , n’est pas une œuvre de science-fiction. L’auteur cherche à analyser si le monde a évolué dans la direction de la vision du futur qu’il avait eue dans les années 30 ou s’il s’en était éloigné.
    Quand il écrivit le roman original il pensait que ce dernier retraçait raisonnablement ce vers quoi le monde pourrait tendre dans l’avenir. Mais dans Retour au meilleur des mondes il conclut que notre monde se mettait à ressembler à celui du meilleur des mondes bien plus rapidement que ce qu’il avait prévu.
    Huxley analysa les causes de cet état de fait et en conclut que cette évolution était due en grande partie à la surpopulation ainsi qu’à tous les moyens de contrôle disponibles sur les populations. Il était particulièrement intéressé par les effets de l’usage occasionnel de la drogue ainsi que par les messages subliminaux .
    Retour au meilleur des mondes a un ton différent à cause de l’évolution de la pensée d’Huxley, ainsi qu’à sa conversion au vedanta pendant l’intervalle entre les deux livres.
    La lecture de ce texte montre d’une façon spectaculaire que l’analyse de Huxley se fonde sur le danger imminent d’une surpopulation incontrôlable . Dans cet exposé il donne les indication qui vont permettre par la suite la mise en place d’un plan qui aura pour théâtre les laboratoires d’expérimentations les écoles de Palo Alto avec aux commende son ami Bateson.
    Il semble certain que les prophéties trop lucide de Huxley ne sont pas le fait du hasard ni d’un libre penseur, mais bien celles d’un agent réfléchissant sur un mal profond induit pas l’humain lui même. Cette analyse montre que huxley est bien autre chose qu’un simple romancier drogué au LSD.
    Cela permet de comprendre que la situation actuelle n’est pas seulement une suite d’évènement qui se succédant les uns derrière les autres mais que l’ensemble est l’objet d’une tentative de contrôle à un niveau planétaire. Quoi qu’il en soit le message est clair il va falloir réduire le nombre d’humain sur la planète, reste à trouvé la méthode et nul doute que la cybernétique sera la réponse au problème .

    Le message d’Aldous Huxley en direction des hippies:

    Les hippies recherchèrent un sens à la vie dans des spiritualité qu’ils jugeaient plus authentiques que les pratiques religieuses dont ils avaient héritées, s’aidant le plus souvent de substances comme le LSD .
    Le livre Les portes de la perception (The Doors of Perception) d’Aldous Huxley de 1954 fut une inspiration pour beaucoup (il a, entre autres, inspiré le nom du groupe The Doors ). Huxley prône l’usage des drogues pour atteindre une nouvelle perception du monde, préliminaire à un sentiment de plénitude et de communion avec le cosmos autant dire qu’il remplace un dogme par un autre . Sa contribution est également “éthique” et est liée à la critique du positivisme scientifique qu’il encourage d’un autre côté toujours avec la même posture indéfinissable qui le caractérise. Il prend plaisir à dire :

    « Aujourd’hui, après deux guerres mondiales et trois révolutions majeures, nous savons qu’il n’y a pas de corrélation nécessaire entre la technologie plus avancée et la morale plus avancée. »

    D’où certainement son désir furieux de mettre la morale au même niveau que la technologie.
    La réalité de la motivation de Huxley est bien dans cette dernière phrase. Il s’agit en fait de faire admettre ses théories sans avoir l’air. sulfureux et lumineux, marginal et bourgeois, instigateur et donneur de leçons. Il est le prototype de la confusion mentale des élites actuelles.
    Huxley sent le souffre et nous l’avons vu il sera aux avant poste pour préparé le terrain à la révolution ACIDE . Dans le langage commun l’acide est un solvant qui à la propriété de dissoudre de brûlé comme le Vitriol qui n’est autre que l’acide sulfurique,issu de l’hydratation du trioxyde de soufre SO3. Mais cette approche chimique est une vision très matérialiste. Une approche peut-être pertinente, mais qui n’empêche pas d’en avoir une autre, plus symbolique. Car VITRIOL est une signature fondamentale qui condense la doctrine des alchimistes des anciens temps. Il s’agit de l’acronyme de la phrase latine

    “ VISITA INTERORA TERRAE RECTIFICANDO INVENIES OCCULTUM LAPIDEM”
    “VISITE L’INTERIEUR DE LA TERRE EN RECTIFIANT TU TROUVERAS LA PIERRE CACHEE .”

    Cette signature alchimique est une formule initiatique, qui exprime le processus de transformation plus précisément de transmutation pour la réalisation du grand OEUVRE alchimique.
    Il ne fait aucun doute que cette signature magique alchimique n’a pas pu passé inaperçu dans les cercles occultes dégénérés de la fin du XIXe et du début du XXe avec la bande à Huxley en porte flingue de la réduction du grand tout aux grand n’importe quoi..
    Au regard du désastres mondial actuel si l’on considère l’état de la consciences des êtres et de la planète, nous ne pouvons qu’admettre que les chimistes modernes ne font qu’appliqué une version dénaturé de la connaissances des anciens sages alchimistes comme: Pernety , Flamel, Paraselce, Hermes et bien d’autre.
    Dans le marigot des laboratoires cybernétique moderne on à pu voir que la chimie du cerveaux de l’homme à été au centre de la préoccupation des docteur Mabuse et Mengele new look .
    L’histoire qui vous à été raconté depuis le début de cet ouvrage vous a montrez que les liens sont évident entres tout les personnages clefs décrit et remis dans le contexte de leurs invention tant sur le plan matériel que sur le plan spirituel.
    Voilà la clef de la dérive. Huxley mais également tous les promoteurs initiés de la contre cultures, de la cybernétiques et des plan de modélisation du comportement humain ne sont rien d’autre des chimistes dévoyés de l’alchimie de l’être et des choses.
    Les prétendues théories de huxley et de sa clique concernant, le retour de l’être au noyau le plus intime de la personne humaine, a trouver sa limite dans la fausse réalisation spirituelle annoncé à grand coup de substances chimiques comme le LSD plus connu sous le nom d’ACIDE. L’acide présenté par Huxley comme le grand libérateur de la conscience et générateur d’expériences mystiques or norme est bien à mettre en relation avec le fameux V.I.T.R.I.O.L alchimique réduit au principes délétère de la chimie moderne par son avatars le LSD 25.

    L’oeuvre de Huxley à permit de faire admettre que la nouvelle spiritualité qu’il préconise doit passé par le dissolution totale des anciens schémas.

    La dénaturation manifeste du sans caché de la formule V.I.T.R.I.O.L applicable dans le cadre d’une alchimie régulière expérimenté dans la transcendance naturelle des plan éthériques ne peut être contrainte sans dommages. Dans la version de l’alchimie chimique à la Huxley on doit comprendre le message:

    “Prend un acide,descends au plus profond de toi-même et trouve le noyau insécable, sur lequel tu pourras bâtir une autre personnalité, un homme nouveau parfaitement abruti et sous contrôle de la chimie et de la cybernétique.”

    Aldoux Huxley est l’archétype de la pègre mental qui sévit aujourd’hui sur la planète. Il est le grand initiateur de la transmutation à l’ACIDE qui a donner naissance à des monstres aux patrimoines génétiques mutants en proient à la démence “open source” rompu à des norme d’existence contre nature mais prétendues novatrices.
    Autrement dit. Huxley avec sa bonbe sale a détourner le sens fondamental de la grande école des mystères aujourd’hui livrées en pâture à l’informatique binaire et aux parasites des zones tampons,aux démences nouvelles , aux guerres pharmaceutiques pour la réduction organisée des populations.

    Bien venu dans le meilleurs des Mondes, dans le Paradis Artificiel de la Silicon Valley …..

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