Le coq gaulois risque de gagner son titre de triple (A)ndouille

Je n’aurais pas pu dire mieux!

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Avec la perte du triple « A », le coq gaulois devra-t-il se résigner à s’enfoncer encore plus les pieds dans son élément favori… ? Car avec ce retrait, les économistes s’accordent pour dire que le plan de rigueur en cours sera alors caduc, et qu’en conséquence la France devra immédiatement payer encore plus cher le remboursement de sa dette courante (qu’on paye pourtant déjà plus que d’autres bénéficiaires du titre triple « A », ce qui constitue dans les faits un triple A déjà perdu en anticipé !).

Le coq gaulois reste-il donc stupide, aveugle et sourd à toute solution économique véritable ? Encore une cou… Car, comme la France fait sa croissance sur la consommation, cette dernière ne peut que ralentir en proportion exacte aux plans d’austérité successifs, mécanique de récession économique oblige !.

C’est comme déplacer la terre d’un trou à un autre dans un jardin en espérant qu’il n’y ait plus de trou ! La France aura donc son titre de triple abruti : Abruti politique, Abruti économique, Abruti financier.

Pour comprendre mieux, il suffit pourtant, encore une fois, de regarder du côté de la Grèce !. La corruption généralisée de cet état s’est étendue aux organes vitaux : police, armée, justice, service fiscaux, entreprises… La Grèce ne peut plus remonter la pente parce qu’elle ne sait plus comment faire rentrer l’argent alors même que l’économie est de plus en plus à terre….

Tel un cancer métastasé, la corruption empêche la Grèce de repartir, et, si nous ne réagissons pas vite, on finiera sur le même chemin.

Or, comme tous les états sont corrompus (la Grèce n’étant en rien une exception comme on voudrait nous le faire croire…), et la France est donc bien entendue touchée. Mais en fait, c’est la majorité des recettes fiscales du pays qui vont dans les poches de tricheurs. Les dépenses sociales (50% des recettes, principalement santé, éducation, transports) sont ponctionnées par la corruption généralisée. Comme la Grèce (mais par seulement), si la fraude concerne (aussi) le particulier, cette fraude pourtant immense reste marginale par rapport aux véritables responsables, lesquels sont à chercher dans la classe dirigeante, dans les grandes entreprises, les banques, les marchés…

Le reste des dépenses (l’autre 50% du budget) est également gangréné par les politiques dans le fonctionnement de l’État.

Mais les grandes ponctions sont d’abord tout simplement le fait des grands lobbies. À cause d’eux aucune réforme du système n’est faite. Le lobby n’est rien de moins qu’un des petits noms de la corruption !… Parler des lobbies évite de citer la corruption, qui est la mal universel du capitalisme, le mal du toujours plus… de gain, de pauvreté par l’exploitation, quitte à emprunter… de la dette justement !

Oui, la dette c’est d’abord la corruption, qui n’a cure évidemment des déficits, comme le font toutes les mafias, Grecques, Italiennes, ou à la française (du plus soft en méthode).

Comme le fait de n’importe quel joueur de poker qui joue tant qu’il reste de l’argent…. à emprunter s’il le faut ! à mettre en gage l’avenir des Français. Et vous tenez à payer pour ça ?.

Malheureusement, les lobbies sont toujours de plus en plus gourmands… augmentant alors de façon encore plus colossale la dette publique. Traquer leurs infiltrations dans l’économie et chiffrer n’est hélas pas facile, mais on constate seulement que le détournement est abyssal. Au point que les prétendus « déficits » ne sont que de petites bosses dans l’économie…

Le problème est que, là-dessus, si le particulier rechigne lui aussi parfois (dans les faits) à ce qu’on trace la corruption c’est qu’il craint pour son propre trafic. Or, tout ce qu’il fait n’est que de l’argent de poche, de la survie alimentaire à côté des véritables responsables. C’est ainsi que la Grèce entière a fermé les yeux à la corruption parce ce que tout simplement la fraude était généralisée en « bon » cancer métastasé dans sa population !.

Le peuple doit dépasser ce stade et comprendre qu’il a plus à gagner (littéralement !) à obtenir l’intégrité de son état qu’à profiter du système dans le but d’y survivre. L’exemple de la Grèce montre que cela ne marche pas (ou plus !) la grèce est devenue prisonnière d’un cycle infernal ou il est impossible de remonter avant de toucher le fond.

Allons-nous attendre d’en être là avant de faire quelque chose, comme le préconise finalement Eva Joly des verts ? Et si l’argent dont nous avons tant besoin étant tout simplement là ? Et si c’était le seul moyen de retrouver la stabilité ?. Tous les pays industrialisés de la planète font de la dette. Mais tous trichent aussi : La corrélation reste flagrante entre dette et fraude. Et si l’équité, l’équilibre social, le financement écologique, dépendait d’une transparence économique ? Les caisses de l’État doivent devenir transparentes et le budget « publique » au sens réellement de publique, c’est-à-dire de publier les comptes et non uniquement les résultats en cachant le reste des lignes !!!.

Les industriels du médicament (avec la santé), le nucléaire, l’alimentaire, le pétrole, les marchés, les grandes niches de l’évasion fiscale off-shore, les valises de l’Élisée, les budgets territoriaux, les salaires des cadres et dirigeants dans l’état et les (grandes) entreprises (familliales ou CAC), les caisses noires de l’état au Sénat, et plus simplement des élus en général… (…) ……. Ça suffit !!!

L’argent public est gardé ou gaspillé à tous les étages au lieu d’être remis dans la machine économique… !!!

Ce sont des milliards détournés à chaque seconde ! À l’Europe (subventions) ! mais aussi au contribuable dans son impôts !. Nous avons tous notre part dans le trillion de fraude mondiale annuelle, et c’est bien là le problème…

Partout on s’étonne de la mauvaise qualité des infrastructures payées par l’état : comme par exemple ici ou là d’un « H » qui s’écroule à peine construit par … un élu de droite ou de gauche !. On s’étonne ainsi de la mauvaise qualité des prestations de l’état…

Encore une fois, la Grèce nous explique tout. La dette publique n’est que la conséquence logique du toujours plus d’escroquerie au budget quitte à faire des dettes : c’est comme ça qu’on organise le récession, avec du travailler plus (pour eux) afin de gagner moins (pour nous).

On voudrait faire croire aux gens que bien sagement le budget est d’abord redistribué en prestations et que les Français en demandent trop et depuis longtemps avec un bon système social qu’il faut payer. (Au passage, comme on parle de la première dépense c’est évidemment là où l’on tape -et tapera- avec les politiques éternellement bipolaires en place mais qui gardent jalousement la même corruption).

Mais tout ça c’est aussi en comparaison avec les autres États capitalistes libéraux, qui font exactement la même chose…

On voudrait faire croire à tous que le peuple est d’abord responsable et qu’en conséquence il doit payer les écarts économiques. Il n’est responsable que d’une chose : d’avoir accepté le système dans l’urne en faisant une confiance aveugle à la « mafia des énarques ». Mais c’est du mensonge organisé ou les politiques sont des escrocs en fausses promesses électorales.

C’est vrai que les comptes sont mauvais, sauf que le calcul n’est bon qu’après que les lobbies se soient servis au passage !!!. Les lobbies (en incluant la classe dirigeante) ponctionnent le dessous de l’Iceberg. Tout est fait pour que le Français (ou le capitaliste lambda) ne puisse remettre en cause le système, y compris par la désinformation et le mensonge, voire en lui faisant peur. Y compris en le culpabilisant. Y compris en présentant la rigueur comme nécessaire.

Mais en fait les lobbies se mettent à l’abri des efforts économiques… et des changements de politique… Alors que vous, vous, oui, allez trinquer ! Ne voyez-vous réellement rien ? Ne pensez-vous pas sous-estimer cette réalité ? La bipolarité est une astuce pour confisquer la réalité politique, comme ça vous revotez pour blanc-bonnet… pour vous apercevoir que vous avez encore été roulé (une fois de plus) dans la farine. Pas un politique ne respecte ses promesses, et surtout pas les bipolaires.

Ils vous demandent la rigeur, mais ce n’est jamais pour eux. Ils engraissent…placent sur des comptes off-shore ou sinon épargnent en œuvre d’art et autres astuces discrètes qui permettent d’échapper à la fiscalité et autre avatars des faillites économiques…

Les Français sont-ils tous atteint de TBP (Troubles Bipolaires Politiques) ?. Faudra-t-il encore attendre l’alternance de trop pour voir tout s’écrouler ? C’est à ce prix ?.

L’argent disponible dans les caisses (de l’État) n’est que le haut de l’Iceberg. Ce budget-là est pourri. On voudrait vous faire croire que, comme toutes les politiques capitalistes, qu’on ne peut pas faire autrement que de payer leurs dettes… (À la mafia de la corruption).

Comme les grecques réveillez-vous ! Leurs dettes ce n’est pas les vôtres…

Car, en réalité, nul besoin de rigueur économique mais tout simplement d’un peu d’intégrité : il faut refuser de payer (le plus possible) les lobbies. Il est là l’argent tant cherché…

Ça demande une politique nouvelle et inédite : juste plus honnête. Bien entendu, combattre la corruption dans son intégralité est impossible, mais il suffit de peu pour faire beaucoup.

La preuve, encore : La Grèce, comme la France, explique encore une fois tout. Qu’a fait la France… Elle a réduit ses fonctionnaires les plus rentables depuis déjà plus de 10 ans : policiers, agents des impôts (spéciaux surtout), et autres contrôleurs utiles…. Tout comme la Grèce !. Par faute de moyens ? Par stupidité ? Non… Non … en réalité bien par calcul !. Parce qu’elle ne cherche sciemment pas à juguler la fraude ! Ce n’est pas la priorité budgétaire… Et pour cause : cela n’a rien d’étonnant quand on réalise que l’état pratique cette dernière de façon industrielle !!!.

Que peut valoir alors les promesses de lutte contre la corruption ? Celle du petit peuple ? Et même cela, avec quel moyens sans fonctionnaires ? Et que vaut toutes ces lois qui n’auront jamais de décrets d’application (un oubli sans doute ?).

Comment voulez-vous alors sortir de la crise (réelle : manque de matières première et d’énergies) quand des dirigeants sont corrompus ou pressurés par les lobbies pour ne jamais rien changer ?.

Quand les dirigeants culpabilisent le peuple avec des sanctions ? Quand les lobbies désinforment et promettent le cataclysme si on tente de changer quoi que ce soit aux choses ?.

Alors que l’inaction du système engendre l’asphyxie par la paupérisation ?! La famine ?! Le manque de tout !?

Lutter contre la corruption, c’est éviter les déficits publiques. La vrai corruption : celle des quelques plus riches, de cette poignée qui gouverne nos esprits et possède le monde…

Voilà le message : il faut effacer l’écran de fumée de la corruption et sauver le monde de sa faillite. Car je l’affirme : le premier État écologiste qui réussira (écologie véritable car honnête) mettra simplement fin au capitalisme de façon planétaire… Car quand on saura qu’on peut le faire tous voudront le faire. Et c’est contre cela que se battent tous les lobbies de la planète, contre la ruine d’un système centralisé qui profite qu’a quelques-uns quitte à faire de la politique de la planète brûlée

C’est pourquoi le jeu consiste à cacher les enjeux à tous. À faire croire que les verts sont tous des jeunes fous, ou des idéologues débiles. Alors que la plus grande débilité concerne les marchés, qui, pourtant si sensibles à l’argent (d’ordinaire), occultent complètement la perte des matières premières. Elles sont donc infinies selon les marchés, alors qu’on sait bien qu’il n’y a plus pour longtemps… Mieux encore : les marchés spéculent sur la perte alors que cela revient à scier la branche économique en créant la pauvreté par la pénurie en l’accélérant !

Cette irrationalité, ancrée dans le formatage politique (d’énarques ou plutôt de connarques !) devrait pourtant faire lourdement réfléchir… On ne peut avoir confiance en des fous… Sauf que ce n’est pas de la folie mais (bien pire) … de la cupidité personnelle habillement calculée, où la faim justifie les moyens… c’est de l’escroquerie en bandes (partis politiques) organisés…


post-scriptum: Sur les raisons du triple « a » :

C’est pour continuer à emprunter et donc faire des déficits… faute de savoir faire des économies. Pour des questions de marché, l’état ponctionne dans la poche des Français… et pas dans la sienne.

Dans un état responsable, il faudrait baisser les charges internes et essayer de conserver les services. Impossible selon la politique de gauche et de droite (c’est des choix qu’ils disent, mais pour les Français !).

Au lieu de réduire les dépenses publiques pour éviter la dette on envisage les déficits. C’est intolérable. Il faut que l’état investisse massivement dans la fraude tout azimut, y compris dans ses rangs.

Faire des économies c’est accepter de dépenser moins dans tous les budgets de la république, sauf pour la fiscalité et la fraude en général, la justice, la police…

Tout le contraire de ce qui se fait, où les plus nantis de la fonction public se goinfrent dans les budgets et les salaires. On ne mérite son salaire que quand on est honnête avec les budgets, responsable avec les deniers publics. Où est le travail (rentable) des hauts fonctionnaires, dont le seul bénéfice public (éffectif) ne peut qu’être que dans la rigueur budgétaire, sinon ils ne constituent que des charges (élevés qui plus est) pour la nation ?!.

Or, ni la gauche, ni la droite, ne cherchent à remettre en cause ces dépenses (et tous les privilèges annexes, dont la retraite d’exception !) de la haute fonction publique, laquelle puisse largement dans la partie salaire de l’état, mais aussi dans les budgets de fonctionnement.

Réduire continuellement les services de la fraude comme l’a fait la Grèce est scandaleux, suicidaire, amoral. C’est que qui fait qu’on ne baissera pas les charges de l’état et donc qu’on a besoin de la dette. Et finalement, le triple « a » perdu n’impliquera qu’une hausse des impôts, ce qui entrainera une récession toujours plus rapide.

Regardez enfin encore la Grèce : les hauts fonctionnaires ont toujours des bagnoles de luxe, des hauts salaires, etc… seul les petits fonctionnaires trinquent avec le peuple.

Pareil en France : Et c’est ce qui attend donc la France en banqueroute, avec la paupérisation galopante généralisée, avec toujours les mêmes candidats politiques bipolaires !

Parler de maitrise budgétaire est du “Blabla” sans la rigueur complète de l’Etat.

Source: lepost.fr

Benji

4 Commentaires

  1. Un coq c’est un aigle qui n’a pas réussi :-/

  2. je vous signale une erreur 500 à 15H03  sur cet article!

  3. le coq emblème de la Ripoublik

    Autrefois, il y a longtemps, le coq était un animal mal aimé, tellement mal que peux de tableau ancien le représente….sauf bien évidement ceux peignant les fermes et autres

    Pourquoi  :  le Coq réveille de bonne heure les gens 
    le Coq a un harem 
    le Coq aime se balader dans le fumier….

    Conte ancien ;  Le Coq devenu le Dindon de la Farce

    UN coq vivait bien heureux dans sa basse cour
    Des désagréments de l’époque alors en cours
    Il ne souffrait que d’incommodités mineures 
    Sa crête trop courte étant son principal malheur

    Puis un jour, dans le ciel passèrent des oiseaux rares.
    Une heure il se posèrent, et repartirent dare-dare
    Abandonnant au sol des migrateurs fiévreux
    Le Coq demanda ce qu’il pouvait faire pour eux 
    Et pour réponse, en plein bec, reçut leurs tousseries.
    Au soir, souffrant, il entrait en maladrerie.

    Avant sa mort, il écrivit pour testament :
    “les migrateurs peuvent être bons ou ou bien méchants,
    Mais tous avec eux apportent leur peines et leurs tracas.
    En s’ouvrant trop a eux, on risque un mauvais cas ”

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