Un RMI'ste poursuivi pour avoir recherché l'emploi….

Tout d’abord merci à Eurydice pour cette info. Il y a tout lieu d’être plus qu’enragé devant la connerie de certains, et l’esprit psycho-maniaque ambiant. Déplacer 15 personnes aux frais du contribuable, pour incriminer un citoyen qui n’avait qu’une envie, retrouver sa dignité en n’étant plus à la charge des autres………..Courage à monsieur “P” ! Lisez cette triste histoire

http://emotions.20minutes-blogs.fr/archive/2009/07/17/rsa-3.html

Par ce temps de crise, tout le monde essaie de «s’en sortir», comme il peut. Certains «arrondissent» leurs fins du mois avec les enveloppes-craft de chez Mme Bettencourt. D’autres voyagent dans les jets privés des gouvernants-mafieux ou se font héberger dans des palaces aux frais de dictateurs. Et les chômeurs, les pauvres et d’autres RMI’stes? Comment font-ils? Ben, eux, privés de yachts d’oligarques et exclus de salons des voyous, «se débrouillent comme ils peuvent».

Justement, le Tribunal Correctionnel de Castres va juger un de ces « vilains débrouillards »…

Monsieur P., chômeur de longue date et « profiteur » du RSA, sera jugé pour le « travail dissimulé » en tant que « professionnel en informatique », « se soustrayant à l’obligation de requérir son immatriculation au répertoire des métiers ou des entreprises ». Pendant qu’il se livrait à ses activités clandestines, ce délinquant a « frauduleusement bénéficié » des allocations sociales, « indûment obtenu » des prestations de Sécurité Sociale et s’est soustrait à l’impôt sur le revenu – fraude fiscale à la clef !

Monsieur P. risque gros. Il doit être sévèrement réprimé. La peine encourue: emprisonnement de 3 ans et amende de 45.000 euros – au moins. Regardons de plus près le parcours de ce grand délinquant et minable fraudeur, qui a indûment profité de la charité publique. Comment a t’il pu tromper tout le monde ?

Monsieur P. a 58 ans. Dans la vie professionnelle il était gérant de diverses entreprises de presse et d’informatique. Il possède 3 diplômes universitaires, notamment une MBA (Mastère anglo-saxon de gestion) obtenu à Londres. Célibataire sans enfants, il vit seul, avec un chien. Son dernier emploi salarial, il l’a perdu en 1992. Depuis cette date, il cherche à retrouver un emploi. Comme beaucoup d’autres, il a envoyé des milliers de lettres de candidature. Quand il reçoit une réponse, c’est une lettre-type de condoléances : « désolé, nous regrettons, vous encourageant, merci !». Il y a eu une période où il choisissait les postes en fonction de ses qualifications et compétences. Las et acculé, maintenant il répond à tout, sans distinction ni de travail proposé, ni de salaire. Mais, il est toujours « trop » ou « pas assez »… C’est ainsi qu’en postulant pour une place de l’ouvrier agricole, tailleur de vigne au SMIC, il s’est vu opposer « pas assez qualifié »… On ne veut pas d’intellectuels dans la vigne ? Peut être… Il est vrai que, sur le « marché d’emploi » actuel, même pour exercer en tant qu’un « agent de surface » (balayeur municipal, en langage clair…), faut avoir des « qualifications », diplômes ou certificats divers. Et, l’expérience de 2 ans – maximum. Pas plus – interdit d’être « vieux » ! Personne ne veut des « vieux ». Ils ont « trop » de quelque chose – « trop qualifiés », « trop d’expérience » et « pas assez ». Pas maniables, pas manipulables, ils « ne s’intègrent pas » dans l’image jeuniste de l’entreprise qui se doit être « djeune » et « branchouille », « sexy » de préférence. Et, on est « vieux » à partir de 35 ou 40 ans… Après, interdit de postuler ! Faut rester à la maison, siroter de la bière devant le foot à la Une et surtout – « pas bouger » ! Couché !

Têtu, monsieur P. n’a pas voulu accepter cela. Il ne se sent pas « vieux ». Il veut sortir de l’assistanat, ne veut pas vivre à la charge d’autres. Il croit que chacun sait faire quelque chose d’utile, que chacun peut donner, contribuer à la vie de la société. Qu’il faut être responsable de sa vie, ne pas rester passivement dans l’exclusion, mais qu’il faut agir, « prendre son destin entre ses mains ». Créer, inventer. De surcroît, et comme tout allocataire RSA, il est tenu à « la recherche active de l’emploi ».

Justement, en arrivant à Lacaune, petite ville dans la Montagne Noire de Tarn, il s’est dit qu’il faut « tout recommencer à zéro ». Le déménagement était une bonne occasion pour commencer une « nouvelle vie ». Une nouvelle assistante sociale lui a fait signer un nouveau « contrat RSA » qui l’oblige à « l’insertion par la recherche active d’emploi ou projet de création d’entreprise ». La nouvelle conseillère du Point Emploi vérifiait scrupuleusement les candidatures envoyées et les réponses obtenues, demandait de « ne pas attendre nos offres » (ANPE), mais d’ « envoyer ses candidatures spontanées tout seul, à des entreprises locales ».

Bon, bon… Alors, Monsieur P., a pris tout ça à la lettre. Il a fait ce qu’on lui a demandé. Et, il l’a fait très consciencieusement et très professionnellement, le mieux qu’il sait faire – forcement, il est un « professionnel confirmé »… Il a crée un site Internet présentant son CV et décrivant ce qui sait faire. Avec son RMI il a acheté le fichier de toutes les entreprises de Lacaune, a confectionné les lettres de candidature et a fait imprimer une plaquette de présentation de ses compétences. Tout en termes « actifs », comme on l’a appris dans des divers cours pour la « remise à niveau » de chômeurs « usagés et usés » : non « j’ai fait » ou « je peux faire », mais « je fais », « je sais faire »… Tout au présent, pour montrer qu’on est « toujours dans le coup » ! Et, toujours à ses propres frais, il a envoyé le tout par des vagues de mailings postaux. Une lettre personnalisée a été même envoyée au Monsieur le Maire de Lacaune, pour l’informer et demander son aide. Avec la mention manuscrite «je vous remercie d’avance, Monsieur le Maire, pour tout aide et votre concours qui pourraient m’aider dans ma démarche…. salutation respectueuses… signature».

Résultat ? « Comme d’hab » : une vingtaine de lettres-types de « condoléances encourageantes » de la part des entreprises qui ont bien reçu les lettres, ont tout compris, mais n’ont besoin de rien. Et – un résultat inhabituel : une lettre est tombée entre les mains d’un responsable de la piscine municipale. Lui, il a réagi. Visiblement, ce fonctionnaire aussi consciencieux que méticuleux a trouvé « très suspect » que quelqu’un d’inconnu se présente – spontanément ! Qu’il cherche à faire quelque chose. Qu’il envoie des propositions, veut travailler… Étrange ! Suspect, ça… Il a donc donné la lettre à son Maire qui a jugé qu’un RMI’ste qui ne reste pas tranquillement à la maison, ne se contente pas de « profiter de ses allocs », mais qui veut faire quelque chose – trouble l’ordre établi. Le Maire a donc dénoncé ce « grand criminel » devant le Procureur de la République, qui a enclenché les poursuites.

Monsieur P. n’en savait rien. Il a mené son petit train-train de vie misérable, tout seul. Un jour il a reçu une convocation de la gendarmerie « dans l’affaire vous concernant ». Arrivé à 9h du matin, il s’est vu notifier la garde à vue pour motif de « travail dissimulé ». Étonné, il a demandé l’entretien avec un avocat, comme la Loi le prévoit. Le gendarme a téléphoné à la permanence, personne n’était disponible, personne n’est venue. Intimidé, sous pression, Monsieur P. a refusé la poursuite de l’audition, comme la Loi l’autorise. Il a été menotté, menacé et s’est entendu dire que « cela ne sert à rien », et qu’il va « rester en prison pendant une semaine », jusqu’à que quelqu’un « vient dans cette campagne » pour s’intéresser à lui. Le gendarme est sorti. Une ½ heure après, il est revenu en proposant à Monsieur P. de l’aider « dans le but de rechercher la vérité ». Monsieur P., bon citoyen respectueux des lois, a donc accepté d’aider ce gentil fonctionnaire, chargé de l’haute mission du «service de l’ordre public». L’audition a donc commencée, grands moyens déployés. Une équipe d’une quinzaine des policiers s’est déplacée pour perquisitionner sa maison. Tous ses ordinateurs ont été saisis, disques durs vidés et analysés par une équipe technique « NTI » spécialement venue d’Albi. Des documents saisis. Des tiroirs retournés, maison entière passée au peigne fin. Sa vie scrutée en détails, comptes bancaires ouverts, courriers lus. Il a compris que, depuis des mois, sa vie été surveillée, ses correspondances ouvertes, comptes analysés, déplacements observés. A mi-journée, ration militaire au biscuit sec et l’eau fraîche en guise de repas. Seul repas dans la journée… Nuit venue, jeté dans un cachot humide, sans collation ni toilette, sur une banquette en béton froid, couverture miteuse, un trou pour pisser, pas de papier de toilette. Matin, réveil aux aurores, rebelote. Ni à boire, ni à manger. Garde à vue renouvelée, deuxième jour d’audition. Toujours aucune trace d’avocat. Ses observations écartées d’un geste de la main : « on n’a pas le temps pour des conneries ». Photos de face et de profil, empreintes dactylographiques et génétiques pris, l’identité judiciaire complète réalisée. Visiblement, à l’encontre de « grands criminels » l’État est efficace, on sait comment «plier» ces gens-là !

Au bout de 48h tout le monde était épuisé, mais content – la maréchaussée comme le « grand criminel ».

Les militaires ont accompli leur mission. Certes, ils ont vu la pauvreté du prévenu et la misère de son habitation, n’ont trouvé aucun « revenu dissimulé » ni la vente de « services informatiques ». Son projet professionnel a visiblement échoué. Pas de « train de vie luxueux » ni du liquide caché. Dommage ! Par contre, ils ont obtenu les « preuves » qu’on attendait d’eux : l’ « aveu » de ventes sur eBay des vieilleries, objets usagés appartenant à Monsieur P. Un site Internet appartenant au criminel a été découvert, qui a reconnu de l’avoir réalisé lui-même ! Et, en scellé judiciaire – saisie d’une lettre A/R que le délinquant a adressé à Monsieur le Procureur de la République, utile dans le cas ou ledit Procureur ne l’aurait déjà reçu par la poste… Les conclusions des gendarmes : « vous étés l’escroc encore plus fort qu’on a pensé : vous vous organisez en pauvreté, dissimulez vos millions en Suisse, pour profiter du RMI en France ! ». Car, il est de notoriété publique, que tous les millionnaire du monde entier viennent en France pour profiter de notre généreuse assistance sociale…

Le prévenu était content aussi : au bout de 48h passés sans boire ni manger, épuisé, il pouvait enfin rentrer à la maison et donner à manger à sa vieille chienne qui est restée deux jours seule, sans soins, eau, ni à manger. Et – aller chez le médecin, pour soigner la crève attrapée dans le cachot humide de la gendarmerie…

Voilà l’histoire… Alors, depuis 2 ans monsieur P. attend son procès. Entre le temps, il a renoncé à toute « recherche active de l’emploi ». Il a compris – une fois, ça suffit. Il a retenu la leçon, ne fera plus rien, on ne le prendra plus ! Désormais, il va rester jusqu’au bout de sa vie assisté, entretenu par les autres, au RMI. Et c’est avec une certaine mélancolie qu’il écoute les odes sur l’ « aide à la création de l’entreprise », « lutte contre le chômage », « explosion de la pauvreté », « assistanat », « récession » ou « perte de la compétitivité du pays »… À part ça, il pense que la France est le seul pays du monde ou un chômeur qui essaie de s’en sortir, de créer son entreprise ou trouver un emploi, est poursuivi. Et il n’a plus d’envie ni d’espoir de changer quoi que ce soit. Il restera à « sa place » de pauvre, d’un RMI’ste assisté, ne va plus vouloir « améliorer le monde ». Il attend aussi la réponse de la Justice. Il a déposé plainte pour « dénonciation calomnieuse ». Il espère que sa plainte contre « X » calomniateur qui l’a dénoncé, sera examinée dans les mêmes conditions que celle de Monsieur le Maire : surveillance rapprochée, fouille au corps, 48 heures de garde à vue, faim, soif, hurlements, perquisition, nuit au cachot, empreintes DNA, absence d’avocat… Et qu’un procès à l’encontre de ce délateur aura lieu.

L’audience se tiendra le 21 septembre 2011 à 14h devant le Tribunal Correctionnel, 4 rue du Palais à Castres (81, Tarn).
source blog- mediapart

Volti

Un Commentaire

  1. Hé ben! Bravo la France, bravo les flics, bravo la justice, bravo monsieur le maire, et un grand bravo au mec de la piscine!!! Quelle histoire… Y a tellement de gens qui se font avoir, juste parce qu’ils croient en ce système, on a plus le droit d’être de nos jours.
    Merci pour l’article 🙂

  2. hallucinant… tout simplement hallucinant… autant de moyen déployé pour attraper un Rmiste. La France est le pays des paradoxes, celui ou les droits sont bafoués en permanence. Maintenant il doit être sous contrôle judiciaire donc dans l’impossibilité d’aller offrir son savoir faire dans les pays ou les qualifications, les études et autres traits de génie sont reconnus.
    Les intellectuels au dessus de 40 ans devraient fuir en urgence pour avoir enfin une vie décente, car ce n’est pas le Rmi (RSA) qui le permet, contrairement à ce que pense ce “gentil” fonctionnaire. Jusqu’à preuve du contraire il vaut mieux dans ce monde etre millionnaire que Rmiste – et ca c’est valable sur l’ensemble de la planète

  3. C’est minable!!! On a en France des escrocs, des dealers, même des violeurs et des pédophiles en liberté, et des fortunes sont dépensées pour un rmiste qui ne ré”clame QUE du travail et ne veut pas être une charge!!! Le jour ou ça pète, promis je prend des photos pour mon profil facebook tout en fêtant ça au champagne! Vivement que la société se casse la gueule, y’en a marre!

  4. la question est la suivante qui peut arriver à mobiliser autant de moyen pour une prise au finale minable, quel genre de personne peut arriver à utiliser nos institutions a des fins
    qui d’ailleurs , de part elles même me semble suspicieuse

    Il est clair que si cette histoire est vrai et qu’elle abouti à un non lieu il serait normal que
    dans une république , une enquête sur le protagoniste et les différents services saisi
    soit diligenté le plus rapidement possible. La délation est un crime et elle doit être suffisamment punis quand elle n’aboutis qu’a détruire la vie d’un homme mais n’oublions pas qu’en 1939 et 1945 déjà sous le régime de vichy certains si employaient

    • si l’histoire est vraie(pas de hoax),il serait grandement nécéssaire de renvoyer ce fonctionnaire qui,on ne sait pour quelle raison,a fait déplacer d’autres fonctionnaires pour des perquisitions dignes du régime de Vichy.Cette personne devrait à son tour comparaitre,suite à une plainte que j’éspère de la part de ce rmiste,devant un tribunal et ses agissements être dénoncés au grand jour.Il faudrait faire toute la lumière sur cette affaire qui parait être sortie d’un livre de science fiction,si la délation peut être vue comme une science dans laquelle certains de nos compatriotes paraissent avoir un avenir tout tracé.Marre de l’anonymat de certaines gens en place qui cachent la main qui vient de jetter la pierre,cette personne doit être dénoncée à l’opinion publique et les raisons de son acte mises en lumière :ou alors c’est un fou ou c’est une vengeance personnelle dans les deux cas cette personne n’a plus rien à faire dans l’administration

  5. Non mais y nous font koi la au gouv !!! je ne savais pas qu on etait encore sous le règne de la gestapo !!!!! c une honte !!! un scandale !!
    JE PARTAGE CETTE INFO PARTOUT ILS VONT AVOIR LA HONTE !!!!
    aucun respect , je ne sais même pas si les gens on conscience du mot respect !! ils agissent sous des ordres comme des robots !! oui des robots !!! tout ca pour sauvegarder leur paye de fin de mois !!!

  6. Cela montre bien que les tenants du pouvoir ne veulent surtout pas d’une émancipation des individus mais un contrôle absolu des vies. Le drame, c’est que, faute d’éducation, beaucoup se complaisent dans ” l’assistanat professionel “… C’est de la dictature économique et rien d’autre !

  7. Rien a faire d’autre que d’écrire des conneries..

  8. Guéant avait anticipé : ce pauvre homme était un “cancer de la société”, il voulait travailler ;->

    • Au temps ! pour moi ;->

      “l’auteur” du “cancer”, c’était Wauquiez !

      je fus confusé, car Guéant avait encore proféré une honnerie
      (en substance, “pas besoin d’immigrés, les français au chômage n’ont qu’à prendre ces boulots de m*** que les immigrés font à leur place”)

  9. Excusez-moi mais cette histoire est tellement incroyable que je n’arrive pas à y croire !
    Ce récit est digne d’un western ! Les menottes, la perquisition, tout ça s’est fait dans l’illégalité totale si ça vraiment eu lieu !
    Si tout ça est vrai il doit absolument ATTAQUER en justice !
    Je suis sur le c..

  10. L’histoire est édifiante, mais ça fait une heure que je cherche à recouper l’info, sans succès. Tout part d’un papier pondu hier sur Médiapart par un auteur anonyme. Et en dehors de ce papier, rien, pas une trace…
    Je ne dis pas que l’histoire est un hoax, je dis qu’elle gagnerait à être vérifiée/corrélée avant de faire le buzz de la semaine, non?

  11. L’histoire semble incroyable, j’aimerais bien avoir de véritables sources aussi, non que je n’ai un a priori envers mediapart, mais je préfère souvent rester septique (comme la fosse) devant une telle énormité dans le fonctionnement de la justice et de l’administration.

    J’ai tout de même retweeté, si c’est un hoax il est quand même bien vu 🙂

  12. Moi aussi cette histoire m’avait intrigué, après l’avoir fait suivre j’ai fait quelques recherches car le passage où il se faisait accuser d’être millionnaire en touchant le rmi était troublante. Je pense que le problème de ce monsieur doit être son nom, qui doit être le même qu’une demoiselle de famille très très riche dont le nom commence par P et qui effectivement touchait le rmi , qu’elle a dû rembourser après être passée au tribunal ( affaire dâtée de 2008 dans les Hauts-de-Seine ).

  13. retour a Vichy !!!! graqce a Sarko et ses sbires bien aimes et son delire de repression et controle pauvre France, reveillez- vous !!!!

  14. C’est vrai que c’est énorme cette histoire!!
    Dur de remonter la source initiale, est il possible de connaitre à partir de la date du procès, si celui ci doit bien avoir lieu?
    avec googlemap le tribunal existe bien:
    Tribunal de Grande Instance
    4 Rue du Palais, 81100 Castres
    05 63 72 62 00 ‎
    “TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE Civil, Tribunal Correctionnel, Cour d’Assises. 81100 – CASTRES – 4 rue Palais – Tél 05 63 72 62 00 – Fax 05 63 59 62 87” – qqc.fr
    Je n’ai pas trouvé comment consulter les audiences prévues….dans quatre mois! Cette ville de Castres a un maire à cheval sur les principes du travail…..
    http://interco81.over-blog.com/article-castresdeboute-en-refere-71938458.html

  15. LAMENTABLE !! Nous sommes entourés de détrousseurs de mouches !