Nicolas Sarkozy veut une loi sur les conflits d'intérêts dès 2011

Rien que le titre, nous montre qu’il va encore y avoir des gesticulations, des bla-bla, suivi d’encore une loi et pour ne rien arranger, les chiffres du chômage explosent, avec une proposition de Méheignerie ( à 71 ans, il s’accroche au pouvoir, comme un morpion sur un poil de cul) de réduire le temps et les indemnités pour les “chercheurs d’emploi”. (+ de 4 millions )
Si vous n’y voyez aucune relation, imaginez les scandales qui se sont succédés depuis l’élection de N. Sarkozy, les millions qui se sont éparpillés, au gré de la générosité des Bettencourt et autres privilégiés, ainsi que les “postes” généreusement octroyés à tous les “proches” du pouvoir (frères et “amis”), avec les salaires et privilèges attenant à ces hautes fonctions, qui ne font pas appel à la compétence, mais au degré de “fidélité” ou de “servilité” envers le monarque.
Un remaniement ministériel où on retrouve les mêmes, à des postes différents, ça ressemble plus à une partie de poker, qu’à une réflexion sur “qui les aura assez accrochés”, pour nous sortir de ce marasme.
Donc! le monarque absolu, si vous ne le savez pas, va se représenter à la fonction suprême en 2012!
Vu sa propension, à faire des promesses non suivies d’effets, son gout pour la gesticulation et à mener grand train de vie, sur le dos de la nation, qui à part déplacer de l’air, n’apporte rien au troupeau, mais beaucoup à ses amis, et vu qu’il y aura toujours des “naïfs” qui vont boire ses paroles! croire qu’il va y avoir des changements dans l’enrichissement personnel, le cumul des fonctions, c’est une douce illusion, juste bonne à rendre les “benêts” joyeux.
Avec toutes les CASSEROLES, qu’ils trainent derrière eux, ils ont l’aplomb de nous regarder dans les yeux!
Nous sommes beaucoup à les avoir ouvert les yeux, j’espère que ce sera suffisant pour empêcher ces virus, de finir de ronger la France.

Le chef de l’Etat veut une «politique ambitieuse et rénovée»…

L’affaire Woerth-Bettencourt, puis un essai de Martin Hirsch publié à l’automne 2010, ont placé le sujet des conflits d’intérêts sur le devant de la scène. Ce mercredi, Nicolas Sarkozy a réagi et a promis de déposer en 2011 un projet de loi visant à prévenir ces conflits d’intérêts dans la haute fonction publique, sur la base d’un rapport piloté par le Conseil d’Etat.

Dans ce rapport commandé par l’Elysée, le vice-président du Conseil d’Etat, Jean-Marc Sauvé, le président de la Cour des comptes, Didier Migaud, et l’ancien président de la Cour d’appel de Paris, Jean-Claude Magendie, font 29 propositions, dont l’élaboration d’une telle loi. 4.000 personnes potentiellement concernées

Dans un communiqué publié après la remise du rapport, Nicolas Sarkozy [b][u]promet[/u][/b] [b][u]«une politique ambitieuse et rénovée de prévention des conflits d’intérêts dans la vie publique»[/u][/b]. Il annonce que le Premier ministre, François Fillon, préparera un projet de loi [b][u]«visant à promouvoir une véritable culture de la déontologie dans la vie publique française».[/u][/b]

Les mesures proposées par le rapport visent à prévenir et réprimer les conflits d’intérêts pouvant impliquer membres du gouvernement et de leur cabinet, responsables d’entreprises et établissements publics, ainsi que les hauts fonctionnaires. Environ 4.000 personnes sont potentiellement concernées, selon le Conseil d’Etat, mais pas les députés et les sénateurs, qui n’entraient pas dans le mandat de la commission.
D’Eric Woerth au scandale du Mediator

Les cas de conflits d’intérêts se sont multipliés ces derniers mois en France. Ainsi, Eric Woerth, qui a été successivement ministre du Budget et du Travail, cumulait ces fonctions avec celle de trésorier de l’UMP. Son épouse Florence travaillait dans le même temps au service de Liliane Bettencourt, l’héritière de L’Oréal, qui finançait l’UMP.

Des soupçons de conflits d’intérêts ont également été évoqués à propos d’un ancien conseiller économique de Nicolas Sarkozy, François Pérol, devenu président du groupe bancaire BPCE, et du président d’EDF Henri Proglio. Plus récemment, l’enquête sur le Mediator, médicament soupçonné d’être à l’origine de centaines de morts, a suscité des interrogations sur la pharmaco-surveillance.

E.O. avec Reuters

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Volti

Un Commentaire

  1. J’ai failli m’étouffer! Non mais ils vont nous faire croire au sérieux d’une telle décision? Si nous devions condamner ces pratiques, alors il faudrait aussi condamner le lobbyisme! Un exemple: L’état veut nous imposer les EPR et il le fait déjà d’ailleurs, mais l’état est lui aussi actionnaire à 90% d’Areva qui fait les EPR, il y a donc un conflit d’intérêts là non? Et après ils….Je laisse tomber, ça va encore m’énerver!