La grosse colère! (mise à jour)

Savez vous qu’à la conférence de presse que “l’autocrate de service” alias “Sarkastique” va donne SUR LE G20, G8, IL SERA INTERDIT AUX JOURNALISTES DE POSER DES QUESTIONS DE POLITIQUE INTERIEURE DE LA FRANCE????
Si il reste des journalistes conscients de leur devoir d’information, j’espère que:
soit ils boycottent cette marcarade
soit ils passent outre les désidérata de Nabotléon!! et se feront un plaisir, de mettre ce menteur devant le fait accompli.
Si ce n’est pas le cas, nous aurons la preuve FLAGRANTE, que ce sont les élites qui gouvernent les MEDIAS, qui dorénavant mériteront plus que largement, le nom de MERDIAS qu’on leur a donné, pour leur façon de traiter l’information, et de nous prendre pour des cons. :twisted: :twisted: :twisted: :@
Il n’a surpris personne! il veut, il sous-entend rien moins qu’un nouvel ordre mondial! il nous l’avait déjà sortie celle là! souvenez vous! “ce sera un nouvel ordre mondial! et rien n’y personne ne pourra l’empêcher”!
Quid de notre pauvre vie quotidienne, quid d’une politique de plein emploi, quid! quid! quid! des questions qui nous concernent tous en FRANCE????? Niet! nada!, no comment!!
Nicolas tu devrais fermer ta bouche quand tu parles! ça pue et ça n’a rien à voir avec l’idée de redonner à la France sa souveraineté.
Tout ces déplacements, c’est pour ta campagne en vue des élections de 2012,  payés par le contribuable????

Sarkozy: Alliot-Marie «voulait éviter qu’il y ait plus de drames»

En direct

Pour sa troisième conférence de presse (seulement) depuis 2007, le chef de l’Etat a choisi de limiter les questions des journalistes aux dossiers internationaux et à la préparation du G20.

Nicolas Sarkozy le 18 janvier. (Jean-Marc Loos / Reuters)

Fin de la rituelle série des voeux pour Nicolas Sarkozy, qui tient aussi, ce lundi matin, sa troisième conférence de presse depuis son élection en 2007. Et un dispositif un peu particulier puisque l’Elysée a choisi d’inviter en même temps journalistes et diplomates, et de limiter ainsi l’échange aux dossiers internationaux et à sa préparation du G20. Retrouvez ses principales déclarations en direct.
G20: «Nouvelles idées» pour «un nouveau monde»

L’ambition de notre présidence est simple: nous vivons dans un nouveau monde nous avons besoin de nouvelles idées. […] Tout ce qui a été créé en 1945 reposait sur des équlibres qui aujourd’hui ne sont plus les mêmes. Ces transformations, nous les avons prises en compte partiellement. […]

Le deuxième constat, c’est que nous vivons dans un monde totalement interdépendant, de plus en plus volatile. En préparant cette conférence de presse, j’ai voulu compter le nombre de crises bancaires, c’est extraordinaire. […] Ce qui me préoccupe c’est que cette volatilité, sur le marché des changes, sur les crises financières, bancaires, sur les matières premières énergétiques, s’accéère à une rapidité stupéfiante. […]

La troisième caractéristique, ce sont les défis globaux, changements climatiques, défis du développement qui demandent une réponse globale. La question des financements innovants est cruciale.
G8 et Internet

«Le G8 est un regroupement de huit économies extrêmement moderne où Internet a une place importante […] La France organisera donc un forum avec les grands opérateurs d’internet.»
Sur les financements innovants

«la France est favorable à la taxe sur les transactions financières. La France considère que cette taxe est morale, utile et efficace […] Je sais bien que cette taxe à de grands advservaires sur son chemin. La France confiera une mission à une personnalité de la socité civile.»
«Socle de protection sociale universelle»

«Les partenaires sociaux sont totalement associés aux travaux du G20. Comment donner davantage de poids à l’organisation internationale du travail dans la gouvernance mondiale? La France envisage un socle de protection sociale universelle.»
Système monétaire international et FMI

Le débat sur les monnaies et la suprématie du dollar. «L’année 2010 est marquée par le débat sur les monnaies. L’instabilité du système international monétaire, nous vivons dedans depuis 1971. La France ne souhaite pas revenir à un système de change fixe. Elle ne souhaite pas remettre en cause le dollar qui joue un rôle éminent et doit être une monnaie forte. Pour autant, y a-t-il une personne au monde pour affirmer que le système monétaire international fonctionne bien? […]

«J’apprécie beaucoup la possibilité de parler avec le président américain Obama, un homme ouvert avec qui le dialogue est facile. Le dollar restera une monnaie prépondérante, mais cela ne veut pas dire monnaie unique. On a le droit de réfléchir aux choses. On peut se poser la question de l’évolution du système monétaire. Au delà des positions de principe, il y a des intérêts communs. Si on n’en parle pas au G20 ou en parlerons-nous. Où parle-t-on monnaie ? La présidence française doit faire converger les intérêts et réconcilier les antagonismes.»

Gestion de flux de capitaux. Il nous faut améliorer notre coopération économique au service de la croissance. Et nous mettre d’accord sur les indicateurs qui permettent de mesures les déséquilibres persistants. […]

Nous proposerons un code de conduite en matière des gestion des flux de capitaux. Et une réforme des statuts du FMI est vitale pour des règles communes. On établit des critères de déséquilibres. On demande au FMI d’analyser ces critères de mettre en surveillance l’application de ces critères.»

La volatilité des prix des matières premières

«Si nous ne faisons rien, nous risquons des émeutes de la faim dans les pays les plus pauvres.
– Nous voulons une régulation sur les marchés des matières premières. Il nous faut des règles communes.

– Nous devons améliorer de la transparence sur les marchés physiques. Avec un code de bonnes conduites. Aujourd’hui, les organisations d’aides alimentaires sont obligées d’acheter au prix le plus fort, cela n’a aucun sens.

– Nous devons aussi développer l’offre agricole si nous voulons être en mesure de nourrir la population mondiale. […]»

Et de terminer, avant de répondre aux questions des journalistes: «Cela vous décrit une présidence française collective, l’agenda fait désormais consensus. Il faut à présent se mettre d’accord sur les solutions, les décisions à prendre.»
G20: des sujets déconnectés du quotidien?

«L’agenda retenu par la présidence française est de nature à reconnecter les opinions publiques et le G20. La régulation du prix des matières premières n’est-elle pas un problème quotidien? Les variations entre euro et dollar est de l’ordre de 80% ces dix dernières années. La volatibilité des monnaies n’est-elle pas, pour les chefs d’entreprises et leurs salariés, un sujet profondément quotidien? L’Europe est à 12 km de l’Afrique: si l’Afrique n’a pas accès à l’énergie et aux grandes infrastructures, personne n’arrêtera les flux migratoires. Les financements innovants: n’est-ce pas un sujet du quotidien? Il est difficile de faire la connection entre le national et l’international mais la planète est devenu un village! […] Tout dépendra des résultats concrets.»

Les stocks agricoles

«Sur le maïs, les stocks sont au plus bas depuis 1974. Et nous nous trouvons dans un système où la spéculation nourrit la pénurie et la pénurie nourrit la spéculation. […] On peut arriver à un accord pour éviter les décisions unilatérales qui renforcent la pénurie, la spéculation, l’attrait d’un certain nombre d’opérateurs financiers. Entre le tout libéralisme fou et le tout administratif compulsif, il y a peut-être une règle moyenne.

La France est favorable aux marchés financiers des produits dérivés. Il ne s’agit pas de les tuer mais de les réguler. Il n’y a pas de marché sans règles. Sinon c’est la foire d’empoigne!»
Elargir le rôle du FMI

Une journaliste de demander: «Est ce que le G20 pourrait se passer d’un homme comme Dominique Strauss Kahn s’il était appelé à occuper d’autres fonctions?»

Réponse de Sarkozy: «Et si on commençait l’année sans personnification à outrance? L’avenir du Fonds monétaire international (FMI) ne se réduit pas à la personne de son actuel directeur. Il convient d’élargir le rôle du FMI, en modifiant éventuellement ses statuts.

La France appelle au respect des peuples à se gouverner eux-mêmes. Quatre questions:

La Côte d’Ivoire. La Côte d’Ivoire a un seul gouvernement légal et légitime. Un seul, choisi par le peuple et reconnu par la communauté internationale.»

Le Liban. «La France veut préserver la diversité du Liban. C’est aux Libanais de choisir leur gouvernement.»
La Tunisie: «Une irrésistible volonté de liberté»

C’est un peuple frère qui a décidé de reprendre en main son destin. Derrière l’émancipation des femmes, l’effort d’éducation, le dynamisme économique, l’émergence d’une classe moyenne, il y avait un sentiment d’étouffer dont — il faut bien le reconnaître — nous n’avions pas pris la juste mesure. Il y avait une colère qui venait d’un sentiment d’injustice, une irrésistible volonté de liberté qui, trop longtemps étouffée, s’est libérée. Que le peuple tunisien soit assuré que le peuple français est à ses côtés. Une ère nouvelle s’ouvre, c’est dans cet esprit que j’ai demandé à François Fillon de prendre un certain nombre de mesures pour accompagner la Tunisie. Et pour certaines dès le prochain conseil des ministres.
La réaction du gouvernement à la révolution tunisienne

«S’agissant de pays qui ont été des colonies françaises – des protectorats, la Côte-d’Ivoire, l’Algérie, c’était la France -, vous comprendrez que le président de la République sur le jugement qu’il porte dans l’évolution de chacun de ces pays. On ne peut pas parler d’un pays qui, il y a 50, 60, 70 ans, ressentait la colonisation française comme une souffrance. […] Je revendique cette réserve lorsqu’il s’agit de commenter les événements de pays qui ont été la France et ne le sont plus. Je ne veux pas que l’on assimile la France à un pays qui a gardé des réflexes coloniaux. […]

La France abritait la quasi totalité de l’opposiaion démocratique tunisienne. […] Nous surveillons avec préoccupation les évolutions dans un certain nombre de pays en nous gardant bien de donner le sentiment de nous en mêler.»

Sur les déclarations de MAM: «Mme Alliot-Marie [avait] la volonté d’éviter qu’il y ait plus de drames. La forme a pu prêter à polémique. J’essaie de m’éloigner des polémiques.»
Sur l’intervention contre l’Aqmi au Niger pour libérer les deux otages français

«Après en avoir parlé avec le Premier ministre, le ministre de la Défense, je crois que c’était la seule décision à prendre, je ne vous le dis pas de gaieté de coeur. […] La France discute chaque fois qu’il y a une possibilité de discuter. Face au terrorisme, il n’y a que la fermeté ou alors c’est votre séucrité à tous qui sera gravement engagée.[…] Sur le fond, chaque fois que les démocraties se sont aplaties elle l’on payé trop cher et de beaucoup de morts.»

«La France est la cible du terrorisme et des terroristes. Le terrorisme assassine des innocents, tuent ceux qui ont pris des risques. Le terrorisme plonge les familles dans l’angoisse. La réponse : la fermeté et le courage.»

http://www.liberation.fr/politiques/01012315574-la-conference-de-presse-de-nicolas-sarkozy

Volti

Un Commentaire

  1. Je te l’avoue, je n’ai pas tout lu, c’est de la pure masturbation intellectuelle comme article, inutile pour bien comprendre l’arnaque! Déjà, qu’on ne me parle pas de Sarko et des journalistes, c’est quand même lui qui est allé comparer ceux-ci avec des pédophiles! Il n’a aucun respect pour eux, regardez juste le reportage “Sarkozy vampire des médias” disponible ici: http://www.tagtele.com/videos/voir/41905 C’est limpide, il y a deux mondes, celui de Sarko et celui de la liberté de la presse, et ils sont réellement différents! Rien de neuf sous le ciel français quoi…